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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: vertu

Cadeau d’anniversaire

11 samedi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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amitié, Ælred de Rielvaux, vertu

pour Abdelraouf

« Aelred. L’amitié est cette vertu qui lie les âmes par une douce alliance de prédilection et, de plusieurs, ne fait qu’un. Voilà pourquoi nu même les philosophes de ce siècle n’ont pas rangé l’amitié parmi les sentiments fortuits ou éphémères, mais bien au nombre des vertus qui sont éternelles. Salomon, à ce qu’il semble, leur fait écho au livre des Proverbes : « Il aime en tout temps, dit-il, celui qui est ami » « , déclarant ainsi clairement que l’amitié est éternelle si elle est véritable ; que si elle vient à cesser, c’est qu’elle n’était pas véritable, quoiqu’elle parût exister.

Yves. Mais comment se fait-il donc, qu’entre gens des plus amis s’élèvent quelquefois — l’histoire en est témoin — de très graves désaccords ?

Aelred. Nous reviendrons plus longuement là-dessus, en son lieu s’il plaît à Dieu. En attendant, crois-moi bien, il n’exista jamais un ami qui ait pu nuire à celui qu’il avait une fois reçu en son amitié ; je dirai plus : l’ami n’a pas goûté les douceurs de la véritable amitié, qui, même blessé, cesse d’aimer celui qu’il a une fois aimé : « C’est en tout temps que l’ami aime ». Accablé de reproches, outragé, livré aux flammes, mis en croix, « celui qui est ami, aime en tout temps ». Comme le dit notre Jérôme, « une amitié qui peut finir, n’a jamais été véritable » « .

Yves. Si telle est la perfection de la véritable amitié, il n’est pas étonnant que l’antiquité n’ait gardé le nom que de très rares vrais amis : c’est à peine, écrit Cicéron, si en tant de siècles s’est conservée la mémoire de trois ou quatre paires d’amis « . Si donc, à notre époque, en ces temps chrétiens si rares sont les amis, c’est en vain, semble-t-il, que je peine à scruter cette vertu dont je désespère d’atteindre jamais la merveilleuse et étonnante sublimité.

Aelred. L’effort vers de grandes choses, a-t-on dit, est déjà quelque chose de grand. C’est la marque d’une âme vertueuse de poursuivre sans cesse le sublime malgré ce qu’il offre d’ardu, soit qu’elle atteigne l’objet de ses aspirations, soit qu’elle comprenne plus clairement et connaisse davantage ce qu’il lui faut désirer. Ce n’est pas, crois-moi, un mince progrès que de se rendre compte, grâce à une plus exacte connaissance de la vertu, de la distance dont on en reste séparé. »

saint Æelred de Rielvaux, De spiritali amicitia in Sagesses de l’amitié II, p. 268 -269

Saint Aelred of Rievaulx | Cistercian monk | Britannica

Excellences oubliées

05 mardi Oct 2021

Posted by patertaciturnus in Fantaisie, Lectures

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excellence, Philip Kitcher, vertu

Exploiter au mieux nos capacités, d’accord, mais lesquelles ?

« Ceux qui tentent de déduire le bien objectif de l’essence de l’homme se plaisent à valoriser certains régimes physiques au motif qu’ils développent des organes et des systèmes dont le fonctionnement explique nos activités. Ils font l’éloge des programmes athlétiques qui améliorent nos fonctions musculaires et cardio-vasculaires, nos capacités pulmonaires et ainsi de suite, au motif que le mouvement humain s’explique en termes de muscles alimentés par le cœur et les poumons (et, bien sûr, ils peuvent invoquer des scénarios évolutionnistes expliquant pourquoi les cœurs et les poumons font ce qu’ils font). Il suffit de réfléchir un instant pour s’apercevoir qu’il existe toutes sortes d’organes et de systèmes dont nous ne valorisons pas intrinsèquement le développement. Ceux qui sont capables de manger de vastes quantités de nourriture témoignent de l’efficacité de leur système digestif, les concours d’étudiants révèlent des capacités différentes à métaboliser l’alcool et, avec un peu d’imagination, nous pouvons envisager des manifestations similaires des prouesses développementales des glandes sudoripares ou du système urinaire (avec, à l’appui de chacune, une histoire évolutionniste). Il n’y a aucune raison de considérer que les propriétés physiques sous-jacentes sont moins essentielles à notre espèce que celles que les objectivistes préfèrent typiquement mettre en avant — à moins, bien sûr, que l’on se soit déjà appuyé tacitement sur des jugements antérieurs définissant ce qui a de la valeur pour choisir ces aspects de notre biologie qui seront tenus pour essentiels, et qui seront invoqués dans notre définition de ce qui est intrinsèquement bon pour nous. »

Philip Kitcher, Science, vérité, démocratie, p. 252 -253

trouvé chez l’indispensable Agar

Rencontres aristotéliciennes

30 lundi Août 2021

Posted by patertaciturnus in Perplexités et ratiocinations, Tentatives de dialogues

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amitié, la philosophie comme manière de vivre, vertu

— C’est toujours un plaisir de passer du temps avec toi.

— C’est gentil, mais je recherche plutôt une amitié fondée sur la vertu.

*

C’est bien beau de faire découvrir à ses élèves la théorie aristotélicienne de l’amitié comme un vénérable monument de l’histoire de la philosophie, mais qu’en est-il de la mise en pratique ? Qui est prêt à trier ses relations en fonctions des distinctions aristotéliciennes des formes d’amitié, ainsi que nous y invitait Oscar Gnouros. Y a-t-il un seul authentique aristotélicien qui mette en pratique dans sa vie sociale les recommandations du stagirite parmi les plus érudits des aristotelian scholars ?

Vertu morale et vertu esthétique

25 dimanche Avr 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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éthique et esthétique, Friedrich von Schiller, vertu

« C’est une chose très digne de remarque que la laxité en matière esthétique soit toujours si étroitement associée à la laxité morale, et que la pure et sévère poursuite de la haute beauté, encore que pouvant fort bien aller de pair avec la plus parfaite largeur à l’égard de tout ce qui est conforme à la nature, s’accompagne normalement du rigorisme dans le domaine moral. »

Schiller, Lettre à Goethe du 2 mars 1798

Une comparaison inattendue pour louer la vertu

22 mercredi Juil 2020

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Marc-Aurèle, vertu

« Quelle perversité, quelle fausseté de dire J’ai décidé de jouer franc jeu avec toi.  – que fais-tu mon pauvre ami ? On n’emploie pas ce préambule ! Cela paraîtra sur l’heure ; cela doit être écrit sur ton visage ; immédiatement cela sonne  dans ta voix ; immédiatement cela éclate dans tes yeux, comme la personne aimée connaît immédiatement  à leurs regards tout ce qu’éprouvent ses amants. En définitive,  l’homme droit et vertueux doit ressembler à celui dont les aisselles puent le bouc, en sorte que quiconque s’approche de lui sente ce qu’il est dès le premier abord, bon gré mal gré. Mais affectation de droiture c’est un coutelas. Rien de plus odieux qu’une amitié de loup. Évite ce vice entre tous. L’homme de bien, l’homme droit, l’homme bienveillant portent ces qualités dans leurs yeux et elles n’échappent pas. »

Marc-Aurèle, Pensées pour moi-même, XI, 15

 

Les occasions ne manquent pas

04 mercredi Mar 2020

Posted by patertaciturnus in Lectures

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stoïcisme, vertu, Victor Goldschmidt

« Placer la vertu uniquement dans « ce qui dépend de nous » (or, ni la réussite de nos projets, ni ces buts mêmes, imposés par les circonstances, n’en dépendent), mais affirmer cepen­dant que la vertu est activité, et activité pratique, — c’est, semble-t-il, se contredire. Ici encore, c’est Plotin qui se charge de souligner la contradiction apparente : « Je demande (encore) comment l’acte courageux dépend de nous, parce que, s’il n’y avait la guerre, nous n’aurions pas à l’accomplir. Il en est de même de toutes les actions vertueuses ; la vertu est toujours forcée d’attendre des circonstances accidentelles pour agir selon l’occurrence. Si on donnait le choix à la vertu, en lui demandant si elle préfère qu’il y ait des guerres, afin de s’exercer, et des injustices pour définir et organiser les droits, ou si elle aime mieux rester tranquille parce que tout est dans l’ordre, elle préférera l’inaction à l’action, et elle aimera mieux que personne n’ait besoin de ses soins ». — A cette hypothèse optimiste, proposée au « choix » de la vertu, Epictète avait répondu par avance, répliquant à cette question d’un élève : « Héraclès, devait-il donc se préparer ces occasions et chercher le moyen d’introduire dans son pays un lion, un sanglier et une hydre ? », — « Sottise que cela et folie ! Mais puisqu’ils existaient et qu’ils étaient tout trouvés, ils étaient d’utiles instruments pour révéler et exercer Héraclès ».
Autrement dit, l’hypothèse est purement académique ; en maintenant l’exigence de l’action, les Stoïciens se conforment à l’ordre des choses, telles qu’elles sont, et telles qu’elles sont actuellement. Sur ce point, ils s’apparentent décidément à Socrate et s’opposent au platonisme. Socrate avait cru devoir remplir sa mission « politique » dans l’Athènes de son temps, au lieu de déplorer les circonstances défavorables par où la démocratie existante interdisait toute tentative de réforme, et au lieu d’attendre d’un avenir béni et imprévisible les conditions enfin propices à la construction d’une Cité idéales. En quoi il acceptait, comme les Stoïciens, le réel en même temps que le présent, ce même réel et ce même présent dont s’évade la vertu (néo-)platonicienne vers l’éternité des Idées. »

Victor Goldschmidt, Le système stoïcien et l’idée de temps, p. 151 – 152

Vertus montantes, vertus descendantes

13 mercredi Fév 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Sénèque, vertu

« Il ne faut pas que tu t’imagines qu’aucune vertu existe sans peine, mais certaines vertus ont besoin d’un aiguillon et d’autres d’un frein. De même qu’un corps doit être retenu dans une pente et poussé dans une montée, de même certaines vertus sont sur une pente descendante, d’autres sur une montée.  Y a-t-il le moindre doute  que la faculté d’endurer, le courage, la persévérance s’élèvent, font effort, luttent et de même pour toute vertu qui’ s’oppose aux difficultés et qui force le destin, N’est-il pas également manifeste que c’est sur une descente que vont la libéralité, la tempérance, la douceur ? Dans le cas de ces dernières, nous retenons notre âme pour qu’elle ne glisse pas en avant, dans le cas des premières nous l’exhortons et la poussons avec la dernière énergie. »

Sénèque, La vie heureuse
trad. Pellegrin, GF, p. 90

Mythologie comparée

04 vendredi Mai 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Karen Blixen, puissance et impuissance, vertu

« – Je me demande pourquoi nous n’avons pas compris jusqu’à présent combien notre mythologie nordique dépasse, par sa grandeur morale, celle de la Grèce et de Rome. N’eût été la beauté physique des anciens dieux, qui sont venus à nous sous la forme de statues de marbres, aucun esprit moderne ne les trouverait dignes d’être adorés, ni d’être l’objet d’un culte. Ils étaient médiocres, capricieux, perfides. Les dieux de nos ancêtres danois ont un caractère plus divin, de même que le Druide est plus noble que l’Augure. Car les dieux aux cheveux blonds d’Asgaard pratiquaient les plus sublimes vertus humaines ; ils étaient justes, dignes de confiance, bienveillants et même chevaleresques à une époque barbare.

Pour la première fois depuis leur rencontre, l’oncle parut s’intéresser réellement à la conversation. Il s’arrêta et releva un peu son nez majestueux :

— C’était plus facile pour eux, dit-il.

— Qu’entends-tu par là, mon oncle ? interrogea Adam.

Le vieux seigneur répéta :

— C’était beaucoup plus facile pour les dieux nordiques que pour ceux de la Grèce, d’être comme tu le prétends, justes et bienveillants. Quant à moi, je trouve que nos anciens Danois, en consentant à adorer des divinités pareilles, ont fait preuve d’une sorte de faiblesse d’esprit.

— Mon cher oncle, riposta Adam, qui souriait, j’ai toujours estimé que les modes et usages de l’Olympe te paraîtraient familiers. Mais, je t’en prie, dis-moi pourquoi, à ton avis, la vertu est plus facile à nos dieux danois qu’aux dieux de climats plus doux ?

— Parce qu’ils étaient moins puissants, répondit l’oncle.

— Mais le pouvoir barre-t-il donc la route à la vertu ?

— Non, répondit gravement le vieillard ; le pouvoir est, en fait, la vertu suprême. Mais les dieux dont tu parles ne furent jamais tout-puissants. Ils ne cessaient d’avoir à côté d’eux ces forces obscures qu’on appelle les « Géants », et qui étaient cause des souffrances, des désastres, de la ruine de notre monde. Les dieux pouvaient, sans danger, se consacrer à la tempérance et à la bonté. Un dieu tout-puissant n’a pas cette ressource ou cette facilité. Sa puissance l’oblige à se charger de tout. Il est responsable de la destinée de l’univers.
[…] L’esprit chevaleresque, dont tu parlais, n’est pas une vertu omnipotente ; il faut au chevalier des forces rivales puissantes qu’il puisse défier. Quelle figure ferait saint Georges en face d’un dragon dont la force serait inférieure à la sienne ? Le chevalier, qui ne trouve pas pour lui résister des forces supérieures, est obligé de les inventer et de se battre contre des moulins à vent. La qualité même de chevalier implique des dangers tout autour de lui : la bassesse, les ténèbres. Non ! crois-moi, mon cher neveu, en dépit de sa valeur morale, ton Odin chevaleresque d’Asgaard doit prendre rang derrière ce Jupiter, qui avoue et accepte le monde sur lequel il règne. Mais, tu es jeune, et l’expérience des vieilles gens doit te sembler pédantesque. »

Karen Blixen, Le champ de la douleur, in Contes d’hiver

Philosophie de l’imperfection … le retour

27 mardi Mar 2018

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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Joseph Joubert, perfection et imperfection, Rudyard Kipling, vertu

Un siècle avant l’émergence du concept de virtue signalling, Kipling recommandait déjà sagement à son fils :

Don’t look too good, nor talk too wise,

Et un siècle auparavant, Joubert expliquait pourquoi il valait mieux laisser voir ses défauts qu’afficher trop ostensiblement ses qualités :

« On n’aime souvent, on ne loue souvent nos belles qualités que parce que nos défauts en tempèrent l’éclat.

Il serait vrai de dire qu’on nous aime souvent plus pour nos nos défauts que pour nos bonnes qualités.

Un homme qui ne montre aucun défaut est un sot ou un hypocrite dont il faut se méfier.

Il est des défauts tellement liés à de belles qualités qu’ils les annoncent et qu’on fait bien de ne pas s’en corriger. »

Joseph Joubert, Cahiers I, 1776

Militons pour un ministère de la promotion de la vertu

02 mardi Mai 2017

Posted by patertaciturnus in devinette, Lectures

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politique, vertu

de la vertu

Ceci n’est ni un indice, ni de la propagande électorale

Les devinettes que je propose n’ont pas grand succès en raison de mon nombre restreint de lecteurs, mais je ne me résigne pas pour autant.

Quel est l’auteur du vigoureux plaidoyer ci-dessous en faveur de l’idée qu’un bon gouvernement doit s’attacher à entretenir la vertu des citoyens ?

« Si nous nous interrogeons sur les causes et les conditions d’un bon gouvernement dans tous les sens du terme, du plus modeste au plus élevé, nous voyons que la cause ou condition principale, celle qui transcende toutes les autres, réside dans les qualités des êtres humains qui composent la société sur laquelle s’exerce le gouvernement.

Nous pouvons prendre, en premier exemple, la façon dont la Justice est rendue. Cet exemple est d’autant plus approprié qu’il n’existe aucune autre affaire publique où la simple machinerie, les règles et  les dispositifs guidant le détail des opérations aient une importance aussi vitale. Pourtant, mêmes ces éléments ne sont pas aussi fondamentaux que les qualités des agents humains employés. Quelle peut bien être l’efficacité des règles de procédure pour garantir la réalisation des fins de la justice si la condition morale du peuple est telle que les témoins mentent la plupart du temps et que les juges et leurs subordonnés acceptent des pots-de-vin ? En outre, comment les institutions peuvent-elles fournir une bonne administration locale si l’indifférence est telle qu’il est impossible d’inciter les personnes honnêtes et compétentes à se mettre au service de la communauté et que les responsabilités échoient à ceux qui ne les prennent en charge que pour défendre un intérêt privé ? A quoi cela sert-il d’avoir un système représentatif aussi largement populaire que possible si les électeurs ne se soucient aucunement de choisir le meilleur député mais se contentent de choisir celui qui va consacrer le plus d’argent à se faire élire? Comment une assemblée représentative peut-elle œuvrer pour le bien si ses membres peuvent être achetés ou si leur tempérament nerveux, non corrigé par la discipline publique ou le sang-froid individuel, les rend incapables de délibérer calmement et qu’ils en viennent aux mains ou qu’ils se tirent dessus à coups de carabine dans l’enceinte du Parlement? De plus, comment un gouvernement, ou n’importe quelle affaire commune, peut-il être dirigé convenablement quand le peuple est tellement envieux que, si l’un de ses membres semble proche de réussir dans un domaine, ceux qui sont censés coopérer avec lui se liguent tacitement pour le faire échouer? Quand la disposition générale du peuple fait que chacun ne prend en compte que ses intérêts égoïstes et ne pense pas à la part qu’il a à l’intérêt général ou n’y prête aucune attention, alors un bon gouvernement est impossible. »

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