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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

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Archives de Tag: Urabe Kenkô

La lune a-t-elle déjà parlé à ton cœur ?

04 mercredi Nov 2015

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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lune, Nietzsche, Urabe Kenkô

Peu de temps après avoir cité la semaine dernière cet extrait des Heures oisives du moine Kenkô, je suis tombé sur ce texte du premier Livre d’Humain trop humain que je suis tenté de rapprocher du précédent.

§ 586. La petite aiguille de la vie

« La vie se compose de rares instants isolés, suprêmement chargés de sens, et d’intervalle infiniment nombreux dans lesquels nous frôlent tout juste les ombres de ces instants. L’amour et le printemps, une belle mélodie, une montagne, la lune, la mer – toutes choses ne parlent pleinement au cœur qu’une fois, à supposer qu’elles trouvent jamais à s’exprimer pleinement. Car beaucoup de gens ne connaissent absolument aucun de ces moments et sont eux-mêmes des intervalles, des silences dans la symphonie de la vie. »

Au mépris aristocratique exprimé par Nietzsche à l’égard de ceux qu’il présume incapables de telles expériences, on pourra préférer la commisération du bon moine Kenkô.

Émouvante nature

26 lundi Oct 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures

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émotion, esthétique, japonaiseries, lune, nature, Urabe Kenkô

« En toutes circonstances, contempler la lune est une consolation. A quelqu’un qui disait : « Rien n’a pas de charmes que la lune », un autre de répliquer : « C’est la rosée qui est plus émouvante » – et ce fut une belle dispute. Est-il rien, à son heure, qui n’éveille l’émotion? La lune, la fleur, il va sans dire, mais le vent surtout excelle à toucher le cœur humain. Le spectacle d’un flot limpide se brisant aux rochers est délicieux en toute saison. »

Urabe Kenkô, Les heures oisives XXI

Conversations amicales avec les morts

22 mardi Sep 2015

Posted by patertaciturnus in Food for thought

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amitié, conversation, Descartes, lectures, Sénèque, Urabe Kenkô

« que la lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés, qui en ont été les auteurs, et même une conversation étudiée, en laquelle ils ne nous découvrent que les meilleures de leurs pensées »

René Descartes, Discours de la méthode, première partie

*

« Solitaire sous la lampe, c’est une joie incomparable de se faire des amis avec les hommes d’un passé que je n’ai point connu. »

Urabe Kenkô, Les heures oisives XIII, trad. C. Grosbois et T. Yoshida

*

« Nous pensons, quoique nous en disions, que seuls s’attardent à leurs véritables devoirs, les hommes qui tous les jours, voudront avoir Zénon, Pythagore, Démocrite, tous les prêtres de la science du bien, Aristote, Théophraste, comme amis intimes. Aucun d’eux ne sera occupé, aucun ne renverra un visiteur sans qu’il soit plus heureux, plus ardent à l’aimer, aucun ne le laissera partir les mains vides. De nuit comme de jour, tous les mortels peuvent aller les trouver. »

Sénèque, De la brièveté de la vie, XIV, 5, tra. J. Kany-Turpin (GF)

L’art de démotiver

26 mercredi Août 2015

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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brièveté de la vie, Urabe Kenkô, vanité des vanités

Bouddha neige

Source

« Quand j’observe ces hommes qui mettent toute leur application à un ouvrage, cela me fait penser à ceux qui voudraient essayer de faire une statue de Bouddha en neige, par un jour de printemps, qui la pareraient d’ornements, d’or, d’argent, de perles et de pierreries, et qui construiraient un sanctuaire dans l’espoir d’y abriter l’image.

On se croit toujours vivant, alors que notre vie éphémère est semblable à la neige qui fond de l’intérieur sans qu’on s’en aperçoive. Et cependant, combien de résultats n’attendons-nous pas, en nous entêtant dans notre vaine assiduité. »

Urabe Kenkô, Les heures oisives CLXVI

Triste étrangeté

21 jeudi Mai 2015

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nostalgie, Urabe Kenkô

« Point n’est besoin du souffle de la brise pour que, du cœur humain, la fleur s’effeuille. Pensé-je aux mois et aux années d’une ancienne tendresse, l’oubli ne saurait abolir aucun mot émouvant autre fois entendu, mais la personne est devenue étrangère à ma vie, et cela est plus triste que l’adieu de la mort. »

Urabe Kenkô, Les heures oisives, XXVI

Savoir admirer

24 vendredi Avr 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures

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esthétique, hanami, Hegel, indélicatesse, Urabe Kenkô

« Un homme de qualité ne fait point montre de goûts exclusifs, et, jusqu’en ses plaisirs apporte quelque détachement. Ce sont rustres  qui prennent tout plaisir lourdement. Ils se frayent un passage et se plantent devant les arbre fleuris ; ils les regardent de tous leurs yeux, boivent du saké enchaînent des vers, et, pour finir, dans leur grossièreté ils cassent et emportent de grosses branches.  Ils trempent mains et pieds dans les sources, piétinent dans la neige pour y laisser des traces, et ainsi de tout. Il n’est rien qu’ils ne puissent admirer de loin. »

Urabe Kenkô, Les heures oisives, CXXXVII

*

ToyoharaShikanobu

Ce texte fait suite à un passage particulièrement remarquable que j’ai déjà cité. C’est le rituel du hanami qui est ici pris pour exemple, mais le thème est ensuite plus longuement développé avec l’exemple de la fête Aoi Matsuri. Comme j’avais la flemme de recopier un extrait plus long je ne voulais pas abuser du droit de citation, je vous invite à passer à l’offre premium et à acheter ce livre pour en savoir plus.

*

On transposerait sans peine ce propos du XIVe siècle dans le monde contemporain  : le rustre d’aujourd’hui c’est le touriste (je parle évidemment des autres quand ils font du tourisme, ni vous, ni moi ne nous conduisons ainsi bien entendu). Ceux qui seraient tentés de conclure de ce texte que le tourisme de masse n’a rien inventé en terme de rustrerie devront cependant concéder que les séances de photos (avec éventuellement les mises en scènes de l’ego en cariatide) remplacent avantageusement les déclamations de poèmes.

Joconde

paquebot

*

Que ceux que le snobisme et le mépris des manières du peuple révulsent se rassurent, il est possible de donner une dignité philosophique au désir, dénoncé à la fin du texte, de laisser sa marque dans le spectacle. Il suffira de rapprocher les traces dans la neige déplorées par Kenkô, des ronds dans l’eau évoqués par Hegel dans un passage fameux de l’Esthétique :

« L’homme obtient cette conscience de soi-même de deux manières différentes: premièrement de manière théorique, dans la mesure où il est nécessairement amené à se rendre intérieurement conscient à lui-même, où il lui faut contempler et se représenter ce qui s’agite dans la poitrine humaine, […] Deuxièmement, l’homme devient pour soi par son activité pratique, dès lors qu’il est instinctivement porté à se produire lui-même au jour tout comme à se reconnaître lui-même dans ce qui lui est donné immédiatement et s’offre à lui extérieurement. Il accomplit cette fin en transformant les choses extérieures, auxquelles il appose le sceau de son intériorité et dans lesquelles il retrouve dès lors ses propres déterminations. L’homme agit ainsi pour enlever, en tant que sujet libre, son âpre étrangeté au monde extérieur et ne jouir dans la figure des choses que d’une réalité extérieure de soi-même. La première pulsion de l’enfant porte déjà en elle cette transformation pratique des choses extérieures; le petit garçon qui jette des cailloux dans la rivière et regarde les ronds formés à la surface de l’eau admire en eux une œuvre, qui lui donne à voir ce qui est sien. Ce besoin passe par les manifestations les plus variées et les figures les plus diverses avant d’aboutir à ce mode de production de soi-même dans les choses extérieures tel qu’il se manifeste dans l’œuvre d’art’. »

trad. J.P. Lefebvre

Si vous n’êtes pas convaincu que laisser des marques dans la neige relève du même besoin que la création artistique je vous suggère de (re)lire ceci.

Explicitation et bonnes manières

03 vendredi Avr 2015

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implicite, Urabe Kenkô

« Quelqu’un vous pose une question. N’est-il pas vrai  qu’on pense souvent : « Il ne doit pas être si ignorant que cela et bien sot qui lui répondrait en toute clarté? » Et alors notre réponse est ambiguë. C’est une mauvaise attitude.

Si quelqu’un vous pose des questions, c’est peut-être qu’il veut acquérir plus de certitude sur des affaires dont il a déjà quelques connaissances. D’autre part n’y a-t-il pas des cas où les gens ne savent vraiment rien? Répondre par de franches explications me semblerait approprié. »

Urabe Kenkô, Les heures oisives, CCXXXIV

Le retour du printemps

20 vendredi Mar 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures

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japonaiseries, printemps, Urabe Kenkô

« La suite changeante des saisons révèle toutes choses émouvantes. « Émouvante intimité avec les choses en automne », dirait chacun, « plus sensible que jamais ». Cela est vrai, sans doute, mais davantage encore l’allégresse du cœur naît au spectacle du printemps. Dans le chant même des oiseaux éclate le renouveau ; aux rayons sereins du soleil surgissent les herbes des haies. Déjà le printemps s’affirme ; les brumes s’étendent, l’heure apparaît où les fleurs enfin vont s’ouvrir; mais voici la pluie, le vent incessant et les voilà bvien vite dispersées. Jusqu’à la verte frondaison, il n’est au coeur que mille tourments.

On reconnaît le nom de la fleur d’oranger ; mais c’est mieux encore au parfum des pétales de prunier que reviennent, si touchant, les souvenirs du temps passé. Fraîche kerrie, glycine incertaine, – que de choses partout, que de choses inoubliables !

[…]

Poursuivrai-je tout ceci ? le Roman de Genji et les Notes de l’oreiller ne l’ont-ils pas ressassé? Mais ces mêmes choses, de nouveau, maintenant, les redire, il n’y a là aucun mal. Si l’on exprime point ce qu’on sent, cela vous reste sur l’estomac … »

Urabe Kenkô, Les heures oisives, XIX

Par delà la plénitude

06 vendredi Mar 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures

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amour, lune, nostalgie, perfection et imperfection, plénitude, Urabe Kenkô

Kiyonaga_Le_neuvième_mois_(Minami_juni_ko)

Source

« N’admire-t-on les fleurs qu’épanouies et la lune qu’immaculée? Devant la pluie tombante se languir de la lune, ignorer, stores clos, le passage du printemps, cela même suscite une tendre émotion. En un jeune rameau sur le point de fleurir, en un jardin jonché de pétales flétris, que de spectacles admirables! Si un poème a comme légende : « Pour être allé voir les floraisons, mais elles étaient déjà effeuillées et passées » ou: « Pour avoir été empêché de visiter les floraisons », est-ce moins bien que s’il est dédié au « Spectacle des floraisons » ? Ressentir le regret de l’effeuillement des fleurs et du déclin de la lune est une pente fort naturelle, mais il faut être un homme bien obtus pour dire : « Cette branche, cette autre sont effeuillées; plus rien à voir maintenant. »

En toutes choses c’est dans le début et la fin qu’est le charme. Entre homme et femme, l’amour même, est-ce de se voir tout à loisir? Les regrets de rencontres manquées, le chagrin des vaines liaisons, la mélancolie des longues nuits de solitude, la nostalgie des cieux lointains, le souvenir des jours d’autrefois en une demeure délabrée, c’est cela, pourrait-on dire, savoir goûter le sentiment de l’amour. »

Urabe Kenkô, Les heures oisives, CXXXVII

Fin de l’histoire et culture japonaise (2)

19 vendredi Déc 2014

Posted by patertaciturnus in Fantaisie

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cérémonies, fin du monde, Urabe Kenkô

En contrepoint aux considérations de Kojève évoquées hier, un texte qui lie fin du monde et goût des cérémonies.

« On a beau dire que le monde va déclinant et touche à sa fin, il n’en reste pas moins que le divin spectacle du Palais Impérial à l’abri des atteintes de ce monde, est une chose bien réconfortante. 

« Terrasse de la Rosée », salon du repas matinal » – comme ces noms, ou ceux de telle salle ou de tel portail, résonnent de façon exquise! […] « Dans la salle d’apparat qu’on se prépare pour la cérémonie de nuit » – comme ce commandement, lui aussi sonne bien ! […] Quand les grands Seigneurs conduisent ces cérémonies, il va sans dire que le spectacle réconforte le cœur. » 

Urabe Kenkô, Les heures oisives, XXIII

*

Pas de megalothymia ici (mais le moine Kenkô évoque ailleurs ce sujet) ; c’est un réconfort qu’apporte le spectacle des cérémonies. Il est vrai que la fin du monde dont il est ici question n’est pas non plus la fin de l’histoire de Kojève-Hegel : il semble s’agir de l’effondrement de la civilisation et son retour au chaos plutôt que de son aboutissement. Dans les deux perspectives pourtant, l’idée que l’être civilisé est un animal cérémonieux.

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