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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: tentation

Le fantasme d’Ulysse

12 dimanche Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Idea Vilariño, perdition, tentation

Decir no
decir no
atarme al mástil
pero
deseando que el viento lo voltee
que la sirena suba y con los dientes
corte las cuerdas y me arrastre al fondo
diciendo no no no
pero siguiéndola.

Idea Vilariño, Última Antología

*

Dire non
dire non
m’attacher au mât
mais
désirant que le vent le renverse
que la sirène monte et qu’avec ses dents
elle coupe les cordes et m’entraîne au fond
moi disant non non non
mais qui la suit

trad. Eric Sarner

Double bind

15 jeudi Fév 2018

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Omar Khayyâm, tentation

D’un côté, Il nous dote de passions que l’on peut prendre pour autant d’invites.
De l’autre côté, Il nous défend de donner libre cours à nos désirs.
Nous sommes incapables de faire notre choix entre l’invite et la défense :
C’est comme si on nous disait : « Retournez la coupe pleine, mais gardez-vous d’en renverser la substance! »

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad. Rezvanian : 533

Téléphone

27 dimanche Déc 2015

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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Ramón Gómez de la Serna, tentation

« Quel plus beau téléphone que la grille du jardin pour parler d’amour. »

Ramón Gómez de la Serna, Greguerías
Editions Cent pages, p. 128

That Obscure Object 2

Toxicomanes et anachorètes : même dilemme

22 jeudi Oct 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Patrick Pharo, tentation, toxicomanie

Au détour de la lecture de la Philosophie pratique de la drogue, je retrouve le thème de la tentation et le dilemme que j’avais évoqué cet été : s’exposer à la tentation pour faire l’épreuve de sa force morale ou fuir la tentation pour s’assurer de ne pas chuter.

La première option du dilemme peut être illustrée par ce témoignage rapporté par Patrick Pharo :

(Christian T)  – Je n’ai pas arrêté du jour au lendemain sous méthadone. J’ai eu des rechutes. J’ai d’ailleurs essayé d’expliquer ça au médecin. Il fallait que je me confronte encore une fois au produit … Une fois que j’avais pris la décision d’arrêter c’était trop facile de me dire « j’arrête » parce que je n’avais plus d’opportunité de me procurer ce produit … Je me disais : « Après tout, tu te fais des idées, tu n’as pas arrêté de ton plein gré, tu as arrêté parce que tu as eu peur des flics, que ton gamin se retrouve à la DDASS, qu’on arrête sa mère, tout ça c’est des prétextes. » Je voulais être sûr d’être assez fort en étant confronté au produit et me dire : « J’arrête », même si j’aime ça.  C’est ce qui a été le cas. C’est pour ça que ce produit, je ne le diabolise pas. J’ai eu cette petite fierté de faire ce contact avec le produit. C’était un combat entre lui et moi, mais il n’a pas eu le dessus.

p. 303 – 304

Dans le propos de Christian T on retrouve deux éléments caractéristiques de la position des partisans de l’exposition à la tentation, précédemment rencontrés dans le contexte religieux.

1 – l’idée que ne pas (re)chuter n’a de valeur que si c’est l’effet de l’exercice de la force d’âme et non l’effet de facteurs extérieurs contingents ( ne pas être confronté à la tentation, ne pas avoir le « produit » à disposition).

2- la dédiabolisation de ce qui peut nous faire chuter, quand on l’envisage en tant qu’occasion de faire l’épreuve de notre propre force.

Dans la Philosophie pratique de la drogue, on trouve bien sûr des représentants du point de vue opposé à celui de Christian T ; on peut notamment mentionner l’association Narcotiques Anonymes. Il y a deux éléments dans ce qu’en dit Patrick Pharo (du moins ce que je crois en avoir compris) qui m’intéressent ici : d’une part NA  prône une stricte abstinence, d’autre part le parcours qu’elle propose inclut une étape de reconnaissance de sa propre faiblesse  : on ne se sauve pas seul, une référence est faite à une puissance supérieure :

« Le programme des douze étapes n’est pas toujours aussi religieux qu’il l’a été chez ses fondateurs ou qu’il le paraît à ses critiques, mais il entretient toujours un certain rapport à la transcendance (la « puissance supérieure ») susceptible de donner du sens au retour dans l’immanence, si difficile à supporter dans la vie sans drogue.

p. 272

Tentations : apostille iconographique

13 jeudi Août 2015

Posted by patertaciturnus in Non classé

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tentation

tentation de saint Antoine - Lovis Corinth

Mon Dieu, où trouverai-je les moyens de vêtir toutes ces demoiselles ! Lovis Corinth, La tentation de saint Antoine.

Je tenais à signaler deux pages qui rassemblent des illustrations du thème de la tentation : l’une est plus spécialement consacrée aux représentations de la tentation de saint Antoine, l’autre (en russe) se veut généraliste (mais saint Antoine est quand même prédominant). A parcourir ces tableaux on comprend qu’être tenté c’est être confronté soit à des monstres ou des démons soit à des femmes nues (si une alternative pareille un de ces quatre jours m’échoit, c’est, j’en suis convaincu, la seconde qui sera l’objet de mon choix).

Il est à noter que la représentation de tentations de saintes est plutôt rare. On peut signaler une Tentation de sainte Madeleine par Jordaens

tentation de sainte Madeleine

Source : Palais des Beaux-Arts de Lille.

 On notera également que les saintes ne semblent pas avoir la chance d’être tentées par des beaux gosses dénudés, elle sont seulement confrontées à des démons comme sainte Catherine de Sienne représentée l’autre jour, ou Sainte rose de Lima ci-dessous.

Tentaticiones de santa Rosa de Lima

Lienzo de Cristóbal de Villalpando, Rosa atacada por el demonio.

Tentations : la révélation

11 mardi Août 2015

Posted by patertaciturnus in Mysticismes, Perplexités et ratiocinations

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Catherine de Sienne, le diable et le Bon Dieu, tentation, théodicée

Pour y voir plus clair sur les débats  à propos de la tentation le mieux était de s’adresser à l’expert des experts, l’être omniscient : Dieu lui-même. Il se trouve qu’il a tenu, sur le sujet qui nous occupe, des propos très clairs dans une interview exclusive qu’il a accordé à Catherine de Sienne (entretiens publiés dans le Livre des dialogues, de cette dernière).

Lesser_Poland_St._Catherine_of_Siena

Notre intervieweuse est allée sur le terrain pour expérimenter personnellement les tentations. Source de l’image.

« En cette vie, j’ai placé [le démon] pour tenter, pour provoquer mes créatures, non pour que mes créatures soient vaincues, mais pour qu’elles triomphent de lui et reçoivent de moi la gloire de la victoire après avoir fourni la preuve de leur vertu. Personne ne doit avoir peur d’aucune bataille, d’aucun assaut du démon, parce que j’ai fait de tous des forts. Je leur ai donné une volonté intrépide, en la trempant dans le sang de mon Fils. Cette volonté, ni démon, ni aucune puissance créée ne la peut ébranler. Elle est à vous, uniquement à vous : c’est Moi qui vous l’ait donnée avec le libre arbitre. C’est donc à vous qu’il appartient d’en disposer, par votre libre arbitre, et de la retenir ou de lui lâcher la bride suivant qu’il vous plaît. La volonté, voilà l’arme que vous livrez vous-même aux mains du démon : elle est vraiment le couteau avec lequel il vous frappe, avec lequel il vous tue. Mais si l’homme ne livre pas au démon ce glaive de la volonté, je veux dire, s’il ne consent pas aux tentations, à ses provocations, jamais aucune tentation ne pourra le blesser et le rendre coupable de péché : elle le fortifiera au contraire, en éclairant son intelligence sur ma charité et en lui faisant comprendre que c’est par amour que je vous laisse tenter, pour vous faire aimer et pratiquer la vertu. Car l’on en vient à aimer la vertu que par la connaissance que l’on prend de soi-même et de moi. Et cette connaissance c’est surtout dans le temps de la tentation qu’elle s’acquiert. C’est alors que l’homme apprend bien qu’il n’est pas l’être même, puisqu’il ne peut faire disparaître des ennuis et des embarras qu’il souhaiterait pourtant d’éviter ; et il me connaît aussi Moi dans sa volonté, que ma Bonté rend assez forte pour ne pas consentir à ces pensées. Il voit bien que c’est ma charité qui en dispose ainsi : car le démon est faible ; il ne peut rien par lui-même, sinon qu’autant que je lui permets. Et moi, c’est par amour que je vous laisse tenter et non par haine, pour votre triomphe, non pour votre défaite ; et c’est pour que vous parveniez à la parfaite connaissance de vous-même et de moi ; c’est pour que votre vertu fasse ses preuves, et elle ne peut être éprouvée que par son contraire. »

Source : traduction publiée chez Téqui partiellement lisible ici.
voir le chapitre XIII, p. 142-143

*

Ce texte me paraît dispenser un enseignement qui converge avec celui de l’apophtegme XCI cité avant-hier, mais il est plus riche notamment du fait de l’introduction du thème de la connaissance de soi et de la connaissance de Dieu.  Un point qui me semble caractéristique de cette position qui valorise la tentation comme occasion de révéler sa vertu c’est qu’elle a pour conséquence logique – aux prix de redoutables problèmes de théodicée – l’attribution à Dieu de la responsabilité de la tentation. Dans l’apophtegme XCI cela se traduisait par le fait de prier Dieu d’ordonner qu’une lutte quelconque s’élève en nous, ce qui paraît étrange quand on se souvient que le tentateur est censé être l’Adversaire de Dieu. Dans le texte de Catherine de Sienne, le démon n’est pas éludé comme dans l’apophtegme sus-mentionné mais il est transformé en exécuteur inconscient de la volonté divine. On peut s’interroger sur la nécessité de poser cet acteur secondaire.

Dilemme de la tentation

09 dimanche Août 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures, Perplexités et ratiocinations

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confiance, confiance en soi, Jean-Jacques Rousseau, tentation

Le dilemme que j’évoquais hier : « faut-il fuir les tentations pour éviter d’y succomber ou les rechercher comme des occasions d’éprouver sa force d’âme ? » est mis en scène dans une autre de mes lectures de l’été : La nouvelle Héloïse. Le problème est posé dans la Lettre XII de la quatrième partie, lorsque Monsieur de Wolmar non content d’avoir accueilli Saint-Preux l’ancien amant de sa femme Julie, décide de les laisser seuls quelques jours, leur témoignant ainsi sa confiance et leur donnant l’occasion de faire l’épreuve de leur « guérison ». Devant les réticences de sa femme, voici comment il justifie l’exposition volontaire à la tentation :

« Julie, nous avons réussi mieux que vous ne pensez peut-être. Le seul tort que je vous trouve est de n’avoir pu reprendre en vous la confiance que vous vous devez et de vous estimer moins que votre prix. La modestie extrême a ses dangers ainsi que l’orgueil. Comme une témérité qui nous porte au delà de nos forces les rend impuissantes, un effroi qui nous empêche d’y compter les rend inutiles. La véritable prudence consiste à les bien connaître et à s’y tenir. Vous en avez acquis de nouvelles en changeant d’état. Vous n’êtes plus cette fille infortunée qui déplorait sa faiblesse en s’y livrant; vous êtes la plus vertueuse des femmes, qui ne connaît d’autres lois que celles du devoir et de l’honneur et à qui le trop vif souvenir de ses fautes est la seule faute qui reste à reprocher. Loin de prendre encore contre vous-même des précautions injurieuses, apprenez donc à compter sur vous pour pouvoir y compter davantage. Écartez d’injustes défiances capables de réveiller quelquefois les sentiments qui les ont produites. »

« Quoi donc! […] aurais-je inutilement plaidé votre cause contre vous-même et Madame de Wolmar se contenterait-elle d’une vertu qui eût besoin de choisir ses occasions? Pour moi, je suis plus difficile ; je veux devoir la fidélité de ma femme à son cœur et non pas au hasard ; et il ne me suffit pas qu’elle garde sa foi, je suis offensé qu’elle en doute. »

Quant aux réticences de l’épouse, elles reposent sur une mise en doute de la confiance que l’on peut avoir dans la confiance en soi. Cette confiance en soi que l’on éprouve face à la tentation, ne relèverait-elle pas de la duperie de soi?

« Plus je veux sonder l’état présent de mon âme, plus j’y trouve de quoi me rassurer. Mon cœur est pur, ma conscience est tranquille, je ne sens ni trouble ni crainte; et dans tout ce qui se passe en moi, la sincérité vis-à-vis de mon mari ne me coûte aucun effort. […] Mais, mon ange, est-ce assez que mon cœur me rassure quand la raison doit m’alarmer? J’ai perdu le droit de compter sur moi. Qui me répondra que ma confiance n’est pas encore une illusion du vice? Comment me fier à des sentiments qui m’ont tant de fois abusée? Le crime ne commence-t-il pas toujours par l’orgueil qui fait mépriser la tentation et braver des périls où l’on a succombé n’est-ce pas vouloir succomber encore? »

The temptation of sir Percival - Arthur Hacker

Arthur Hacker, The temptation of sir Percival

Soumettez-moi à la tentation … que j’y résiste

09 dimanche Août 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures, Perplexités et ratiocinations

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apophtegmes, tentation

Parce que Canetti en cite quelques uns, je me suis intéressé aux Apophtegmes des pères du désert. N’ayant pas osé investir directement dans les trois tomes aux éditions du Cerf j’ai cherché à me faire une idée à partir d’un florilège proposé par Thomas Merton chez Albin Michel. Un des thèmes qui a retenu mon attention est celui de la tentation ; je l’évoquerai en citant quelques textes et en formulant les questions que leur rapprochement soulève selon moi. Pour clore les préalables, je dois confesser ma totale ignorance de la littérature théologique sur le sujet.

Tentation de saint Antoine - AL Leloir

Alexandre-Louis Leloir, La tentation de saint Antoine

*

LVI

L’un des Anciens disait : ce n’est pas parce que de mauvaises pensées nous viennent à l’esprit que nous sommes coupables, mais seulement parce que nous nous y complaisons. Ces pensées peuvent causer notre perte ou notre gloire.

Ce premier apophtegme nous explique qu’être tenté n’est pas être coupable. Si les mauvaises pensées « nous viennent », comment en serait-on responsable? Cependant être tenté, à défaut d’être un acte fautif, pourrait être envisagé comme le signe d’une déficience de notre nature morale. Il ne semblerait pas absurde de soutenir, par exemple,  que la fidélité de celui qui ne ressent même pas la tentation de l’infidélité est plus parfaite que la fidélité de celui qui résiste à la tentation de l’infidélité. Une telle conception  ne pourrait-elle pas se  réclamer de l’apophtegme suivant ?

XXI

Un moine rencontra, au cours d’un voyage, un groupe de servantes du Seigneur. Et à leur vue, il quitta la route et s’éloigna autant qu’il put. Mais l’Abbesse lui dit : « Si vous étiez un moine parfait, vous ne nous auriez même pas regardées assez attentivement pour reconnaître que nous sommes des femmes.

Mais dans l’apophtegme LVI surmonter la tentation n’est pas présenté comme un bien moindre que ne pas y être accessible. Au contraire, la tentation est qualifiée de cause de gloire ou de perdition, en effet elle est l’occasion de révéler la force (si nous la surmontons) ou la faiblesse de notre d’âme  (si nous y succombons). Loin d’être un signe de déficience morale, la tentation serait l’occasion de révéler sa vertu. Cette interprétation est étayée par un autre apophtegme  :

XXV

L’abbé Poemen disait : c’est dans les tentations que se manifeste la vertu d’un moine.

Il me semble cependant qu’une tension au sein de cette conception est susceptible d’apparaitre si nous prenons en considération un élément de l’apophtegme LVI que j’ai négligé jusqu’ici. Il nous est en effet expliqué que, s’il n’y a pas de faute à être tenté, le mal commence avant qu’on succombe à la tentation quand on s’y complait. Que faut il entendre par se complaire dans la tentation. Si la simple tentation consiste en « mauvaises pensées » qui se présentent indépendamment de notre volonté, on peut supposer que la complaisance implique suffisamment d’activité de la part du sujet pour qu’il puisse être considéré comme responsable. On peut penser qu’il y a complaisance quand on maintient son attention sur une « mauvaise pensée » … on peut notamment penser aux cas où on prend plaisir à imaginer la satisfaction d’un désir interdit . La difficulté est alors la suivante : comment concilier l’idée d’un danger de la complaisance pour la tentation avec l’idée que la tentation est l’occasion de révéler sa force d’âme? Comment être sûr qu’en cherchant à éprouver sa vertu on n’est pas en réalité en train de se complaire dans la tentation du vice? Mater Taciturna, que j’ai consulté en tant qu’experte en tentation, soutient qu’il n’y a pas ici de difficulté  : il suffirait de dire que nous n’avons pas à fuir les tentations, mais que nous ne devons pas non plus les rechercher. Cette interprétation est fort tentante, je note cependant qu’un apophtegme va au delà de cette position raisonnable et pousse explicitement à demander des tentations :

XCI

L’Abbé Poemen racontait que l’Abbé Jean Colobos avait supplié le Seigneur d’extirper toutes ses passions, si bien qu’il était devenu impassible. Et, dans cet état, il alla trouver un des Anciens et lui dit :

« Vous voyez devant vous un homme entièrement en paix et qui n’a plus de tentations. » L’Ancien répondit, « Allez prier le Seigneur d’ordonner qu’une lutte quelconque s’élève en vous, car l’âme ne mûrit que dans les combats. »

Et lorsqu’il se remit à être tenté, il ne demanda plus à être délivré, mais se contenta de dire : « Seigneur, donnez moi la force de supporter la lutte. »

tentation de Saint Hilarion

Parce qu’il n’y a pas de raison que toutes les tentations soient pour saint Antoine. La tentation de saint Hilarion par Dominique Papety

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