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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: surprise

Choses étonnantes en cette rentrée (2)

03 samedi Sep 2022

Posted by patertaciturnus in Mon métier ma passion

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surprise, vieillir

Bonne surprise

— Maman, tu sais, finalement c’est pas si mal le CP !

Coup de vieux

A la fin du premier cours une élève vient trouver son professeur.

— Madame, est ce que vous vous souvenez de Géraldine Dugenou ?

— Oui bien sûr. C’était une petite brune aux cheveux frisés, c’est ça ?

— Oui !

— C’est votre sœur ?

— Non, c’est ma mère !

Surprise éventée

05 vendredi Juin 2015

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Emily Dickinson, surprise

The Riddle that we guess

We speedily despise –

Not anything is stale so long

As Yesterday’s Surprise.

Emily Dickinson

Pourquoi il ne faut pas non plus anticiper le meilleur

26 dimanche Oct 2014

Posted by patertaciturnus in Lectures, Perplexités et ratiocinations

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désir, Marcel proust, surprise

« … je n’ai pas l’idée que la réalité puisse ressembler tant à mon désir, comme autrefois, quand j’espérais une lettre de ma maîtresse, je l’écrivais en pensée telle que j’aurais voulu la recevoir.  Puis sachant qu’il n’était pas possible, le hasard n’étant pas si grand, qu’elle m’écrive juste ce que j’imagine, je cessais d’imaginer, pour ne pas exclure du possible ce que j’avais imaginé, pour qu’elle put m’écrire cette lettre. Si même le hasard avait fait qu’elle me l’écrivît, je n’aurais pas  eu de plaisir, j’aurais cru lire une lettre écrite par moi-même. Hélas, dès le premier amour passé, nous connaissons si bien les choses qui peuvent nous faire plaisir en amour, qu’aucune, la plus désirée, ne nous apporte rien d’extérieur à nous. Il suffit qu’elles soient écrites avec des mots qui sont aussi bien des mots à nous qu’à notre maîtresse, avec des pensées que nous pouvons créer  aussi bien qu’elle, pour qu’en les lisant nous ne sortions pas de nous, et qu’il y ait peu de différence pour nous entre les avoir désirées et les recevoir, puisque l’accomplissement parle le même langage que le désir. »

Marcel Proust, Contre Saint-Beuve (Folio essais, p. 90)

*

Comme le titre de l’article l’indique, il s’agit, avec ce texte, de faire pendant à celui d’hier.

Le premier motif invoqué par Proust pour ne pas anticiper le meilleur relève manifestement de la superstition. Mais c’est une superstition assez sophistiquée qui prétend se fonder sur un raisonnement : il est très improbable que les choses se produisent exactement comme nous les avons imaginées, donc, en imaginant un événement, nous réduisons la probabilité qu’il se produise. Je ne vous ferai pas l’affront de vous expliquer en quoi l’inférence est spécieuse. Cette même superstition est mentionnée dans une des Fictions de Borges : Le miracle secret, mais elle y opère en sens inverse : le héros condamné à mort cherche à empêcher l’exécution d’avoir lieu en imaginant toutes les circonstances possibles de sa mise en œuvre.

Le second motif est davantage digne de prise en considération. L’argument consiste à soutenir qu’anticiper un événement heureux n’est pas souhaitable, non pas car cela réduirait la probabilité qu’il se produise, mais parce que cela réduirait sa capacité à nous rendre heureux. En savourant l’événement par anticipation on supprimerait le plaisir de la bonne surprise ; plus on aurait joui par avance d’imaginer l’événement heureux, moins il resterait à jouir au moment où l’événement se produit. A quoi on pourrait ajouter qu’en anticipant ainsi le meilleur on accroit le risque de déception au cas où il ne se produirait pas.

Cette raison de ne pas anticiper le meilleur peut sembler incohérente avec l’explication de l’inutilité d’anticiper le pire donnée par Pessoa dans le texte cité hier.  En effet, dans un cas on nous explique que l’anticipation annule l’effet de surprise de l’événement (heureux), dans l’autre  on nous explique au contraire que l’anticipation ne nous empêche pas d’être pris par surprise par l’événement (malheureux). Soutenir que les deux ont raison revient à dire qu’on peut se priver des bonnes surprises sans pouvoir se prémunir des mauvaises surprises. Mais comment justifier une telle asymétrie? Pourquoi les événements malheureux garderaient ils un effet de surprise que perdraient les événements heureux? Faut-il invoquer une providence maligne comme le suggère Pessoa à la fin de l’extrait cité hier? Pour justifier une éventuelle asymétrie entre l’anticipation des événements heureux et celle des événements malheureux peut-être est il préférable de considérer d’abord les mécanismes psychologiques qui pourraient en rendre compte. On peut imaginer l’argument suivant : l’anticipation des événements malheureux ne nous prémunit pas contre l’effet de (mauvaise) surprise comme l’anticipation de événements heureux nous prive de l’effet de (bonne) surprise car la souffrance de l’anticipation d’un événement malheureux n’est pas homogène à la souffrance procurée par l’événement réel comme la satisfaction procurée par l’anticipation de la satisfaction à venir est homogène à la satisfaction procurée par l’événement réel. Pour reprendre une formule de Proust, si « l’accomplissement parle le même langage que le désir », il ne parlerait pas le même langage que la crainte. Pour le dire autrement, si la souffrance nous prend toujours par surprise, ce serait parce que l’anticipation de celle-ci ne nous a pas fait suffisamment souffrir par avance. A la lumière de cette hypothèse on pourrait reconsidérer le procédé stoïcien d’anticipation des événements susceptibles de troubler l’âme et défendre l’idée que les conditions qui rendraient ce procédé efficace pour nous permettre de garder notre impassibilité face à un événement le rendraient également nuisible (pour éviter la souffrance causée par un événement il faudrait se torturer par anticipation). On notera pour finir que l’hypothèse psychologique que j’envisage pour expliquer l’asymétrie entre l’anticipation du meilleur et celle du pire n’implique pas l’adoption d’une cosmologie pessimiste, l’adhésion à l’hypothèse d’une providence maligne. Le fait fâcheux qu’il soit plus facile de se priver d’une bonne surprise que de se prémunir d’une mauvaise serait le sous-produit du fait avantageux que l’imagination serait plus adaptée à nous délecter par anticipation qu’à nous torturer. Mais trêve de spéculations au conditionnel, il faut désormais que je comble mon ignorance des travaux empiriques en psychologie qui doivent bien exister sur le sujet.

De l’inutilité de se préparer au pire

25 samedi Oct 2014

Posted by patertaciturnus in Perplexités et ratiocinations, Pessoa est grand

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Epictète, Fernando Pessoa, souffrance, stoïcisme, surprise

LeBrun- étonnement

« L’âme humaine est victime de la douleur de façon si inéluctable qu’elle éprouve de la douleur à une surprise pénible, même dans le cas où il aurait dû s’y attendre. Tel homme, qui a discouru sa vie entière sur l’inconstance et la légèreté des femmes comme de choses naturelles et typiques, va éprouver toute l’angoisse d’une amère surprise lorsqu’il se trouvera trahi en amour – absolument comme si la fidélité et la constance de la femme avaient toujours été pour lui un dogme intangible, et son plus sûr espoir. Tel autre, pour lequel tout est creux et tout est vide, va sentir la foudre s’abattre sur lui le jour où il découvre que le monde tient pour nul tout ce qu’il écrit, que ses efforts pour enseigner sont parfaitement vains, ou que l’idée de transmettre son émotion est totalement irréalisable.

N’allez pas croire que les hommes à qui ce genre de malheur arrive (ces malheurs là ou d’autres) aient manqué de sincérité lorsque, dans leur discours ou leurs écrits, ils laissaient prévoir que ce type de malheur était prévisible, voire certain. La sincérité d’une affirmation intelligente n’a rien à voir avec le naturel d’une émotion spontanée. Pourtant les choses semblent bien se passer ainsi, l’âme semble bien connaître de ces surprises, simplement pour que la souffrance ne vienne jamais à lui manquer, que l’opprobre ne cesse de la marquer et que le chagrin ne se fasse jamais trop rare, part égalitaire de chacun dans la vie. […] « 

Fernando Pessoa, Le livre de l’intranquillité, §. 245, p.255

*

Le propos de Pessoa dans cet texte revient à frapper de nullité une pratique recommandée par les stoïciens : anticiper les événements qui peuvent troubler l’âme pour accroître sa capacité à conserver sa sérénité lorsque l’événement se produira réellement. On peut penser à ces deux recommandations du manuel d’Epictète :

« Lorsque tu dois entreprendre quelque chose, rappelle-toi ce qu’est la chose dont il s’agit. Si tu vas te baigner, représente-toi ce qui arrive au bain, les gens qui vous éclaboussent, qui vous bousculent, qui vous injurient, qui vous volent. Ainsi, tu seras plus sur de toi en allant baigner, si tu te dis aussitôt ·:  «  Je veux me baigner, mais je veux encore maintenir ma volonté dans un état conforme à la nature.» Et qu’il en soit ainsi pour toutes actions. De cette manière, s’il te survient au bain quelque traverse, tu auras aussitôt présent à l’esprit : « Mais je ne voulais pas me baigner seulement, je voulais encore maintenir ma volonté dans un état conforme à la nature. Je ne la maintiendrais pas, si je m’irritais contre ce qui arrive. »

Manuel, chapitre IV

« Que la mort, l’exil et tout ce qui semble redoutable soient présents à tes yeux tous les jours; la mort surtout, et jamais tu n’auras de pensées lâches, ni de désirs immodérés. »

Manuel, chapitre XXI

*

Je n’ai pas encore recherché ce qui a pu être écrit sur la relation de Pessoa au stoïcisme. A première vue la relation ne me semble pas simple à décrire. D’une part, on ne peut qu’opposer à la recherche stoïcienne de la tranquillité de l’âme la complaisance de Pessoa (sous l’hétéronyme de Bernardo Soares) pour la description de l’intranquillité et du taedium vitae (ce qui va ponctuellement jusqu’au souhait, bien peu stoïicen de répandre cette intranquillité). Mais d’autre part Pessoa avait conçu un autre hétéronyme  : le baron Teive, dont aucun texte ne fut publié de son vivant mais dont les écrits publiés depuis ont été réunis sous le titre : L’éducation du stoïcien (il s’agit d’un des titres envisagés par Pessoa pour un ouvrage qu’il n’acheva pas). On pourrait envisager de comprendre la relation de Pessoa au stoïcisme en fonction de l’opposition entre deux de ses hétéronymes : Bernardo Soares et le Baron Teive :

« On ne peut publier le Baron de Teive sans évoquer aussitôt Bernardo Soares : ces deux « hétéronymes » ont été tour à tour les « auteurs », prévus par Pessoa, du Livre de l’intranquillité, et le parallèle s’impose de lui-même. Ou plus exactement l’opposition comme en miroir. Le Baron de Teive / Bernardo soares ; L’éducation du stoïcien / Le livre de l’intranquillité. L’antithèse est flagrante et pourtant […] les deux termes sont intimement liés. Le Baron de Teive connaît un sort tragique et fascinant ; une quête de la perfection qui peut rappeler l’exigence mallarméenne, mais qui ira « jusqu’au bout », selon une logique inflexible.

C’est ce côté implacable du baron de Teive qui contraste si fortement avec les atermoiements, auto-analyses et introspections sans fin de Bernado Soraes. Le Livre de l’intranquillité est le livre du désespoir ; L’éducation du stoïcien est le livre du suicide – non seulement d’un homme, amis d’un créateur se heurtant à ses propres limites. « 

Présentation par Françoise Laye de sa traduction de L’éducation du stoïcien
Christian Bourgois 2000, p 7-8

Outre l’effet de brouillage lié au fait que les deux hétéronymes ont été envisagés pour le Livre de l’intranquillité, il faut signaler que parmi les textes de cet ouvrage certains ont une tonalité stoïcienne.

« Le sage véritable adopte intérieurement une attitude telle que les événements extérieurs ne viennent l’affecter que de manière absolument minime. Il doit dans ce but se cuirasser en s’entourant de réalités qui soient plus proches de lui que les faits eux-mêmes, et qui les filtrent pour les mettre en accord avec elles-mêmes avant qu’ils ne lui parviennent. »

Le livre de l’intranquillité, §. 97, p. 128

*

Pour revenir au §. 245 du Livre de l’intranquillité, il me semble que son opposition aux stoïciens concerne non le caractère désirable de leur idéal mais l’efficacité d’un moyen proposé pour l’atteindre. La divergence porte en particulier sur la relation entre jugement et émotion : l’efficacité des procédés stoïciens présuppose une relation entre jugement et émotion que conteste le texte qui m’occupe. On pourrait ainsi opposer l’affirmation de Pessoa / Soares selon laquelle : « la sincérité d’une affirmation intelligente n’a rien à voir avec le naturel d’une émotion spontanée » avec ce principe inlassablement répété par Epictète : « lorsque quelqu’un te met en colère, sache que c’est ton jugement qui te met en colère ». Mais le désaccord avec les stoïciens ne se limite pas à un point de psychologie il se manifeste également dans la « cosmologie » : on assiste à la fin de l’extrait à une sorte de retournement pessimiste de la providence stoïcienne  :

« Pourtant les choses semblent bien se passer ainsi, l’âme semble bien connaître de ces surprises, simplement pour que la souffrance ne vienne jamais à lui manquer, que l’opprobre ne cesse de la marquer et que le chagrin ne se fasse jamais trop rare, part égalitaire de chacun dans la vie. »

Je ne creuserai pas davantage ce point aujourd’hui car la relation de Pessoa au pessimisme mériterait un article à part entière.

Tu travailles trop…

21 mardi Jan 2014

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Bukowski, fatigue, surprise

 » … on ne s’y faisait pas, on devenait simplement de plus en plus crevé. J’allais toujours chercher mon paquet-de-six avant de rentrer, et un matin j’étais vraiment rétamé. J’ai monté les escaliers (y’avait pas d’ascenseur) et j’ai mis la clé dans le bazar. La porte s’est ouverte toute grande. Quelqu’un avait changé tout le mobilier de place, installé un tapis neuf. Non, le mobilier était neuf lui aussi.

II y avait une femme sur le canapé. Elle avait l’air au poil. Jeune. Bonnes jambes. Une blonde.

« Salut », j’ai fait, « voulez une bière ? »

« Salut ! » elle a fait. « D’accord, j ‘en prendrai bien une. »

« J’aime bien la façon dont cette piaule est arrangée », je lui ai dit.

« J’ai fait ça moi-même. »

« Mais pourquoi ? »

« J’en avais envie », elle a fait.

On a bu chacun notre bière.

« Vous êtes au poil », j’ai dit. J’ai posé ma bière et je l’ai embrassée. J’ai mis la main sur un de ses genoux. Elle avait un beau genou.

Ensuite j’ai repris une gorgée de bière.

« Oui », j’ai dit, « j’aime bien l’allure de cette piaule. Ça va vraiment me remonter le moral. »

« Chic alors. Mon mari aussi l’aime bien. »

« Et pourquoi votre mari ne… Hein ? Votre mari? Dites, c’est quoi le numéro de cet appartement ? »

« 309. »

« 309. Nom de Dieu ! Je me suis gouré d’étage! J’habite au 409. Ma clé ouvre votre porte. »

« Assieds-toi, mon chou », qu’elle m’a dit comme ça.

« Non, non… »

J’ai ramassé les quatre bières qui restaient.

« Y’a pas le feu », elle a dit.

« Y’a des hommes qui sont cinglés », j’ai dit en me rapprochant de la porte.

« Qu’est-ce que tu veux dire ? »

« Je veux dire, il y a des hommes qui sont amoureux de leur femme. »

Elle a rigolé. « Tu sais où me trouver. »

J’ai refermé la porte et j ‘ai monté encore un étage. J’ai ouvert ma porte. Il n’y avait personne là-dedans. Le mobilier était vieux et dépenaillé, le tapis avait presque plus de couleur. Boîtes de bière vides par terre. J’étais au bon endroit.

Je me suis déshabillé, me suis mis au lit tout seul et j’ai ouvert une autre bière. »

Charles Bukowski, Le postier
Grasset, Les cahiers rouges,  p. 114 – 115

*

C’est parce qu’un camarade de régiment m’a raconté cet épisode que j’ai eu envie d’acheter et de lire Le postier, alors que je ne connaissais de Bukowski que l’anecdote d’Apostrophe. J’espère que cet extrait créera d’autres vocations.

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