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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

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Archives de Tag: stupidité

Ambiguïtés inaperçues

19 mercredi Juin 2019

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ambiguïté, créativité, Steven Pinker, stupidité

Poursuivant ma lecture de L’instinct du langage de Steven Pinker, je tombe sur ce passage fascinant qui peut attirer notre attention sur le potentiel créatif d’une certaine forme de stupidité :

« Les analyseurs d’ordinateurs sont très pointilleux, et c’est tant mieux. Ils trouvent des ambiguïtés tout à fait légitimes en ce qui concerne la grammaire, mais dont aucune personne saine d’esprit n’aurait l’idée. L’un des premiers analyseurs d’ordinateur, mis au point à Harvard dans les années 1960, nous en donne un exemple célèbre : la phrase Time flies like an arrow est sûrement sans ambiguïté si tant est qu’il y ait jamais eu une phrase sans ambiguïté (sans tenir compte de la différence entre sens littéral et sens métaphorique, ce qui n’a rien à voir avec la syntaxe). Or, à la grande surprise des programmeurs, l’ordinateur à l’œil vif a trouvé pour cette phrase cinq arbres différents :

Time proceeds as quickly as an arrow proceed. C’est ce qu’on a voulu dire

Measure the speed of the flies in the same way you measure the speed of an arrow. Time devient le verbe mesurer le temps.

Measure the speed of flies in the same way that an arrow measures the speed of flies. Ambiguîté du premier terme de la comparaison comme dans « Je vous traiterai comme mon fils ».

Measure the speed of flies that resemble an arrow. Alternative de l’ambiguïté précédente.

Flies of a particular kind, time-flies, are fond of an arrow.

Steven Pinker, L’instinct du langage, Odile Jacob 2008, p. 207 – 208

Festivisme vs commémorationnite

21 samedi Mai 2016

Posted by patertaciturnus in SIWOTI or elsewhere

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commémoration, festivisme, LMSI, mauvaise foi, stupidité

« On ne peut pas brouiller le message en organisant des festivités pour un jour si important. […] En revanche, il m’est difficile d’imaginer – et attention, je ne suis pas en train de faire de compétition des mémoires – de chanter pour célébrer la fin de la Shoah. Dans ce cas, la douleur est trop grande et la commémoration se doit d’être solennelle. »

Quel est l’auteur de ces propos ?

Un artiste sollicité pour remplacer Black M à Verdun et qui a décliné l’invitation pour éviter les ennuis?

Nullement, il s’agit de Claudy Siar. Et ces propos ne se réfèrent pas à la commémoration du centenaire de la bataille de Verdun, ils ont été tenus il y a dix ans à l’occasion d’une polémique autour de la première célébration de la journée de commémoration de l’abolition de l’esclavage, le 10 mai. L’animateur protestait contre la tenue, à cette occasion, d’un concert organisé par le CRAN. On trouvera ici l’intégralité de l’interview dont j’ai extrait ce passage (article découvert via le fil Twitter d’Anna Guèye).

J’en conclus que, lorsque l’extrême-droite ne s’en mêle pas, l’idée qu’une commémoration demande du recueillement plutôt que des festivités, peut échapper à l’accusation de censure fasciste.

Sur la récente polémique, cet article de Nicolas Lebourg me semble plutôt juste, même si je ne suis pas sûr que le Front National ait, comme l’affirme l’auteur, seulement suivi le mouvement de protestation. Je partage en particulier son diagnostic quant au singulier manque de discernement de ceux qui ont eu l’idée d’un tel concert (au point qu’on croirait qu’elle a été suggérée par un disciple facétieux de Philippe Muray).  Qu’on me comprenne bien, je reconnais à chacun le droit de n’avoir rien à faire de la commémoration de Verdun (moi-même je ne m’en soucie guère), mais, quand on se charge d’organiser cette commémoration, on peut difficilement ne pas faire cas des sentiments de ceux à qui elle importe. La faute politique n’est pas d’avoir cédé aux pressions de l’extrême-droite en annulant le concert, mais de lui avoir offert un champ de bataille où elle avait quelque chose à gagner qu’on lui cède ou qu’on lui résiste.

A l’opposé, l’article de Karim Hammou et Laurence De Cock publié par LMSI succombe au défaut prévisible de sacrifier l’honnêteté intellectuelle aux nécessités de la lutte contre l’extrême-droite. Si les auteurs soulignent à juste titre la mauvaise foi des dénonciations de l’antisémitisme ou de l’homophobie de Black M de la part de militants d’extrême-droite :

« Les accusations d’homophobie ou d’antisémitisme sont d’autant plus absurdes qu’elles viennent de fractions du champ politique qui n’ont pas manqué de s’illustrer dans ce registre. »

Ils ne sont pas eux-mêmes exempts de reproches en la matière  : ils utilisent pour dédouaner Black M des arguments (par exemple le fait qu’il n’était pas l’auteur des paroles qu’il interprétait) dont on doute qu’ils les aient acceptés s’ils avaient servi à disculper un « souchien » suspect de sympathies frontistes (et on n’a pas connu LMSI aussi charitable dans l’interprétation quand il s’agissait d’accuser Charlie Hebdo d’islamophobie).

De même les auteurs cherchent à nous enfermer dans une fausse alternative  : soit on ne trouve rien à redire à l’idée du concert de Black M soit on est partisan de commémorations patriotardes exaltant le sacrifice etc… comme si la réconciliation franco-allemande n’était pas passée par là.

A ceux qui opposent au festivisme la nécessité du recueillement, les auteurs opposent ceci :

« Black M invitait, par son concert, à un temps de rencontre et d’amusement populaires. Mais on ne rit pas à Verdun, on ne danse pas à Verdun. Qu’y fait-on alors ? D’après ces gardien·ne·s de la réaction et du conservatisme patriotique et moral, on y honore des morts dont ils et elles confisquent la parole. Ces dernier·e·s ont tôt fait d’oublier plusieurs choses : la première est celle de l’amour de la musique populaire des jeunes morts au front, et c’eût été un bien bel hommage que d’honorer l’impertinence d’une jeunesse fauchée trop tôt … »

Je ne pense pas que cet amour de la musique populaire était moins présent chez les victimes de tous les massacres du XXe siècle, faut-il en conclure que ce serait un bel hommage d’organiser une rave party au Struthof   ou de charger Patrick Sébastien d’animer les festivités en hommage aux victimes d’Oradour ?

Mea culpa

12 jeudi Mai 2016

Posted by patertaciturnus in Choses vues ou entendues, SIWOTI or elsewhere

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complotisme, stupidité

Parmi les trésors du musée de la tératologie herméneutique du site Le cinéma est politique, j’avoue m’être beaucoup gaussé de ce commentaire  sous un article consacré à Mad max,  Fury Road, où Paul Rigouste nous explique qu’on peut inférer que ce film est islamophobe du fait que l’action se déroule dans le désert. Je réservais mes railleries les plus acerbes à l’ignorance pontifiante dont me semblait témoigner cette remarque :

« Et en ce qui concerne plus précisément la religion, ce n’est pas juste « une religion» qu’on nous montre. C’est une religion fortement connotée comme « orientale » (cf. les portes du Valhalla).

Le Valhalla, oriental  ???

Las, je viens de découvrir que mes moqueries ne reflétaient peut-être que ma propre ignorance d’une vérité historique méconnue que ce site a le courage de dévoiler :

« Les scandinaves ne sont devenus chrétiens que trés récemment dans l’histoire aprés avoir perdu des guerres on nous raconte qu’ils étaient adorateur de thor et pensaient qu’un paradis avec 72 walkyries 72 vierges les attendaient au paradis le Val Allah. En fait beaucoup étaient musulmans mais cela le Vatican le cache de peur qu’ils ne retournent à la vraie religion de leur ancêtres ! »

Le Val Allah ! Bon sang, mais c’est bien-sûr !

Va, Lala !

Va, Lala !

 

 

 

Aggiornamento conceptuel

20 dimanche Mar 2016

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identitarisme, stupidité, Xphobies

Anti-FranceJe découvre que des identitaires français continuent de recourir à la notion maurassienne d’Anti-France en dépit de sa ringardisation par Superdupont.

S’ils souhaitent se mettre au goût du jour, on ne saurait trop leur recommander de dénoncer plutôt la « francophobie systémique ».

Si tous les abrutis identitaires du monde se donnaient la main

03 dimanche Jan 2016

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identitarisme, Israel, judéité, mariage mixte, politique du PIR, stupidité

Le ministre israélien de l’éducation vient d’écarter de l’enseignement des lycées Gader Haya , un roman de Dorit Rabinyan qui met en scène une histoire d’amour entre une israélienne et un palestinien. Peut-être après tout n’est ce qu’un ouvrage sans qualité littéraire et dégoulinant de bons sentiments … mais le souci de faire prévaloir un haut degré d’exigence littéraire ne semble pas le motif principal de la décision du ministre  :

« Among the reasons stated for the disqualification of Dorit Rabinyan’s “Gader Haya” (literally “Hedgerow,” but known in English as “Borderlife”) is the need to maintain what was referred to as “the identity and the heritage of students in every sector,” and the belief that “intimate relations between Jews and non-Jews threatens the separate identity.” The Education Ministry also expressed concern that “young people of adolescent age don’t have the systemic view that includes considerations involving maintaining the national-ethnic identity of the people and the significance of miscegenation.” »
Source : Haaretz

Une telle décision devrait réjouir l’égérie du PIR, Houria Bouteldja, qui partage avec ses adversaires-complices les identitaires juifs ou « souchiens » le souci de résister à l’injonction au métissage :

« La perspective décoloniale, c’est s’autoriser à se marier avec quelqu’un de sa communauté. Rompre la fascination du mariage avec quelqu’un de la communauté blanche. C’est tout sauf du métissage — une notion que je ne comprends pas d’ailleurs, je ne sais pas ce que c’est. Pour des générations de femmes et d’hommes, je parle surtout des maghrébins, le mariage avec un blanc était vu comme une ascension sociale. Pour les filles, les hommes blancs étaient vus comme moins machos que les arabes ; pour les garçons, une fille blanche, c’était une promotion. La perspective décoloniale, c’est d’abord de nous aimer nous-même, de nous accepter, de nous marier avec une musulmane ou un musulman, un noir ou une noire. Je sais que cela semble une régression, mais je vous assure que non, c’est un pas de géant. »

Source : Vacarme

Construction sociale de l’islamophobie

22 mardi Déc 2015

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gauchisme décérébré, islamophobie, Kenan Malik, stupidité

Les amalgames c’est très mal, sauf quand cela permet de mettre les apostats ou les croyants déviants dans la même catégorie mal définie que les abrutis qui vandalisent des mosquées ou agressent des femmes voilées. On trouvera des idiots-utiles à gauche prêts à se laisser prendre à la manœuvre pour s’assurer un certificat de non-X-phobie. Kenan Malik explique cela beaucoup mieux que moi dans un article qui revient sur les déboires de Maryam Namazie avec les étudiants de diverses universités britanniques (déboires comparables à ceux qu’avait rencontré Germaine Greer, et dont j’avais parlé là). Je citerai juste un petit paragraphe, que je dédie à tous les gauchistes qui retwittent AlKanz.

« Just as Mr. Trump seems unable to distinguish between Muslims and terrorists, do many on the left seem unable to distinguish between criticism of Islam and bigotry against Muslims. And just as Mr. Trump views Muslims as an undifferentiated lump, all potential terrorists, those on the left also often view Muslims as a homogeneous community speaking with a single voice. Both ignore progressive Muslim voices as not being truly of that community, while celebrating the most conservative voices as authentic. »

*

Pour un aperçu des procédés utilisés sur Twitter par les entrepreneurs de morale de la lutte contre l’islamophobie réelle ou supposée, je recommande cet article.

Le plus imbécile des deux

18 vendredi Déc 2015

Posted by patertaciturnus in Perplexités et ratiocinations

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imbécillité, prise de conscience, stupidité

Que A prenne B pour un imbécile sans apercevoir que B se rend compte qu’il le prend pour un imbécile, voilà qui, à la réflexion, ne devrait pas paraître surprenant. Supposer l’autre incapable de discerner la manière dont on le considère, c’est justement le créditer d’une forme d’imbécillité. Mais on risque de se méprendre si on croit que l’erreur de A, dans ce genre de cas, consiste seulement à surestimer l’imbécillité de B. L’aveuglement de A est souvent plus profond :  il ne se rend même pas même compte du fait qu’il prend B pour un imbécile. Faut-il en conclure qu’en l’occurrence c’est A le plus imbécile des deux, ou ne faut-il pas plutôt admettre qu’il est plus facile de se rendre compte qu’on est pris pour un imbécile que de se rendre compte qu’on prend l’autre pour un imbécile?

Liste d’imbéciles

28 samedi Nov 2015

Posted by patertaciturnus in Fantaisie

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bellicisme ou pacifisme, guerre, stupidité

… qui n’avaient pas compris que la violence et la guerre ne résolvaient rien.

Hô Chí Minh et Giap qui croyaient naïvement que la guerre les débarrasserait du colonialisme français (de dangereux récidivistes puisqu’ils s’imaginèrent ensuite qu’elle permettrait la réunification du Vietnam).

Winston Churchill dont l’entêtement à poursuivre la guerre contre le nazisme fit perdre de nombreuses années à la recherche d’une solution politique négociée.

William Pitt, Metternich et quelques autres naïfs qui s’imaginèrent que la guerre résoudrait le « problème Napoléon ».

Mehmet II qui crut en finir avec les questions byzantines par des moyens militaires.

Scipion Emilien qui se fourvoya au point de penser qu’une troisième guerre punique mettrait définitivement fin au problème carthaginois, alors que les deux précédentes n’y avaient pas réussi.

 

Pourquoi?

27 dimanche Sep 2015

Posted by patertaciturnus in Fantaisie, SIWOTI or elsewhere

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absurdité, grande cause nationale, indignation, stupidité, SVT

Comme le disait Schopenhauer, « c’est la connaissance des choses de la mort et la considération de la douleur et de la misère de la vie, qui donnent la plus forte impulsion à la pensée philosophique et à l’explication métaphysique du monde ». Il est cependant des absurdités de moindre portée dans notre existence qui n’en donnent pas moins le vertige.

Pourquoi ?

Pourquoi  ? je vous le demande mes chers lecteurs.

Pourquoi ? éclaire moi, ô Dieu omniscient !

Pourquoi certaines personnes, parfois estimables par ailleurs, s’acharnent-elles à traduire l’acronyme SVT, en usage dans l’enseignement secondaire, par l’expression « sciences et vie de la terre », ce qui ne veut rien dire, au lieu d’utiliser l’expression correcte « sciences de la vie et de la terre », qui désigne parfaitement son objet : la biologie et la géologie ? L’usage de l’expression fautive exprime-t-il une adhésion à l’hypothèse Gaïa ? s’explique-t-il par un effet d’attraction du titre du magazine Sciences et vie.

Toujours est-il, mes chers lecteurs, qu’il est de notre devoir de nous opposer à cette aberration. Je vous invite à faire comme moi, la prochaine fois que quelqu’un dira « science et vie de la terre », éclatez d’une indignation qui pétrifie d’effroi l’assistance. Peut-être, ainsi, pourrons nous ramener un peu d’ordre dans le chaos du monde.

Un chaudron pour les migrants

13 dimanche Sep 2015

Posted by patertaciturnus in SIWOTI or elsewhere

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argument du chaudron, stupidité

Un argument du chaudron (ainsi nommé en référence à une histoire racontée par Freud dans Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient) est un procédé argumentatif consistant à faire feu de tout bois  au point d’associer pour soutenir une même conclusion, des prémisses logiquement incompatibles entre elles.

Par exemple si vous souhaitez soutenir que les Syriens qui affluent vers l’Europe ne méritent pas que nous les accueillions, et que la cohérence n’est pas la première chose qui vous préoccupe vous pourrez faire valoir simultanément les arguments suivants :

Ils embarquent sur des rafiots de fortune avec des enfants.

Il sont vraiment irresponsables.

Ces sont surtout des hommes seuls qui, arrivent, ce ne sont donc pas de vrais réfugiés mais des migrants économiques.

©Arno ©Marine

*

Astuce  !

Donnez une touche de culture scientifique à vos arguments du chaudron, en les habillant d’une référence au chat de Schrödinger.

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