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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: souvenir

Taciturnus toujours au top – semaine 3

16 dimanche Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Taciturnus toujours au top

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blogs, souvenir

Top 5 des blogs disparus

Je qualifie de blogs disparus  les blogs dont le contenu a été supprimé et dont les auteurs – du moins à ma connaissance – n’ont pas continué à bloguer sur une autre plateforme (ce qui m’évite une discussion laborieuse sur les critères d’identité des blogs). Je les classe non pas en fonction d’une qualité intrinsèque que je ne saurais mesurer mais en fonction d’une combinaison pifométrique de la durée pendant laquelle je les ai lus et de l’assiduité avec lesquels je les ai fréquentés (et y ait parfois laissé des commentaires sous le pseudo « Elias »).

1. Radical Chic

C’était quand ? c’était quoi ? : Blog d’opinion sur la politique et la société, orienté à gauche (soce-dem avec mauvaise conscience pourrait-on dire). Un des premiers blogs que j’ai lu assidûment à partir 2005, et vraisemblablement le 1er où j’ai laissé des commentaires. C’est grâce à sa blogroll que j’ai découvert d’autres blogs, notamment l’ancien blog de Phersu (mais aussi vraisemblablement les n°2 et 4 de l’actuel classement).

Comment ça a fini ? : J’ai souvenir de l’avoir lu à la fin des années Chirac et au début de la présidence Sarkozy. Je ne saurais plus dire si son activité a décliné avant ou après l’élection de François Hollande. L’auteur (pseudo : Guillermo) est passé ensuite sur twitter où il a cessé d’être actif depuis 2018.

2. CSP (Comité de Salut Public)

C’était quand ? c’était quoi ? : Militant toulousain du NPA, Thierry surnommé CSP (pour Comité de Salut Public) vitupérait contre la politique de Sarkozy et le libéralisme (des haters du camp d’en face avaient d’ailleurs créé un contre-blog pour le railler, blog qui lui est toujours accessible). Gauchisme oblige, il rompait aussi des lances avec un écrivain communiste (dont je ne retrouve plus le nom) tenant un blog rival.

Comment ça a fini ? : L’auteur est passé sur Twitter où il était actif pour conspuer la politique de Hollande, s’enthousiasmer pour Varoufakis et s’en prendre aux prémices de ce qu’on appelle aujourd’hui le wokisme (contrairement à ce qu’on entend souvent dire les premières critiques des SJW sont venues en France non pas de l’extrême droite mais de gauchistes-cassoulets) . Après diverses péripéties il a supprimé son compte.

3. Philotropes

C’était quand ? c’était quoi ? : Un blog animé par Julien Dutant et Florian Cova jeunes chercheurs en philosophie analytique, dans la première moitié de la décennie 2010. Le blog valait non seulement pour les articles écrits par les deux auteurs mais pour les discussions qui se développaient en commentaire.

Comment ça a fini ? : le blog est devenu moins actif puis son contenu a (malheureusement) été supprimé, je ne saurais plus dire quand.

4. Tom Roud

C’était quand ? c’était quoi ? : Le blog d’un chercheur en biologie expatrié aux Etats-Unis. J’ai commencé à le lire peu après Radical Chic.

Comment ça a fini ? : L’auteur a changé une ou deux fois de plateforme de blog. Comme d’autres il est devenu moins actif après être passé sur Twitter. Il a supprimé son compte Twitter et son blog en 2017 suite à la campagne présidentielle.

5. La vie est mal configurée

C’était quand ? c’était quoi ? : le blog de David Monniaux chercheur en informatique, découvert dans le courant des années 2010.

Comment ça a fini ? : le blog a été supprimé par l’hébergeur free assez récemment, si j’ai bien compris ce que l’auteur a raconté sur Twitter.

Taciturnus toujours au top – semaine 2

09 dimanche Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Taciturnus toujours au top

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Heinrich Böll, Rainer Maria Rilke, souvenir, Stendhal, Yachar Kemal

Top 5 des livres lus en terminale dont j’ai tout oublié

Lorsque j’étais en terminale (il y a 31 ans) je m’étais imposé de lire au moins un livre par semaine. J’ai oublié la plupart de ceux que j’ai lus cette année là (j’avais pourtant tenu une liste qui doit toujours être dans un carton chez ma mère). Pour certains je me souviens de les avoir lus et c’est – presque – tout. C’est de ceux-ci que je vous livre mon top 5, réalisé sans tricher c’est à dire sans faire aucune recherche sur le contenu de l’ouvrage pour me rafraîchir la mémoire (j’ai juste vérifié l’exactitude du titre et de l’orthographe du nom de certains auteurs).

1. Stendhal, Le rouge et le noir

Circonstances de lecture : Lu en vitesse avant d’entrer hypokhâgne après deux mois de vacances à faire du terrassement en chantier de bénévole (oui, c’est limite hors-délais, mais comme c’est le plus gros morceau, on fera une exception).

Ce dont je me souviens : le héros s’appelle Julien Sorel, il y a deux femmes Mathilde de La Mole et Madame de Rénal, il tue la seconde (je crois), il est condamné à mort.  [Remarque de la conscience critique : « attends, c’est bien toi qui nous bassine avec ton légitimisme culturel ? et tu ne te souviens de rien  d’autre dans ce classique ? » Réponse : « j’ai dit que je l’avais lu en vitesse, non ? »]

Est-ce que je le relirai ? Il faudrait

2. Rainer Maria Rilke, Histoires pragoises

Circonstances de lecture : Je suis tombé sur ce livre au CDI (je ne savais alors rien de Rilke). D’une part il correspondait à mon fort tropisme de l’époque pour l’Europe centrale et orientale, d’autre part, étant très court il me facilitait la tâche pour tenir le rythme d’au moins un livre par semaine.

Ce dont je me souviens : Rigoureusement rien du contenu du livre. Je suppose que ça se passe à Prague. En revanche je me souviens que mon meilleur ami de l’époque, qui m’avait fait découvrir Lovecraft, m’avait chambré en me traitant de snob de lire des trucs pareils.

Est-ce que je le relirai ? C’est pas que ce soit long, mais ça m’étonnerait.

3. Yachar Kemal, Meurtre au marché des forgerons

Circonstances de lecture : comment ai-je découvert l’existence de ce livre, que j’ai fait acheter à ma mère (je l’ai encore dans ma bibliothèque)? Voilà dont je n’ai plus aucune idée. Le titre donnait envie, il faut le reconnaître.

Ce dont je me souviens : ça se passe en Anatolie. Je suppose qu’il doit y avoir un meurtre sur un marché, mais qui tue qui ? et pourquoi ?et à quel moment dans ce gros bouquin? je n’en ai plus la moindre idée. J’ai souvenir que cette lecture a alimenté de divers noms de plantes et d’ustensiles, le carnet où je notais les mots que ne connaissais pas .

Est-ce que je le relirai ? C’est très peu probable mais pas rigoureusement impossible car j’en ai déjà eu de vagues velléités.

4. Tchinguiz Aitmatov, Une journée plus longue qu’un siècle

Circonstances de lecture : livre trouvé en furetant au CDI.

Ce dont je me souviens : ça se passe au Kazakhstan, je crois qu’il est fait référence à la base spatiale. Il y a une scène avec un aigle qui vole … J’ai aussi le souvenir d’une scène où des personnages (sur un banc public ?) apprennent la mort de Staline, mais je ne suis plus sûr que ce soit dans ce bouquin plutôt que dans un Kadaré, que j’ai beaucoup lu à l’époque.

Est-ce que je le relirai ? A moins qu’on ne découvre le secret de l’immortalité, c’est très peu probable. En revanche si je retombe un jour dessus je le feuilletterai volontiers pour voir d’autres éléments me reviennent.

5. Heinrich Böll, L’honneur perdu de Katharina Blum

Circonstances de lecture : livre lu sur la recommandation de mon professeur d’allemand de l’époque.

Ce dont je me souviens : L’héroïne se fait pourrir par la presse à scandale (je crois me rappeler que c’est  Bild qui est visé par l’auteur, mais peut-être le journal n’est-il n’est-il pas nommément désigné) en raison d’une relation ( de quelle nature ?) avec un (ou des ?) gauchistes (des membres supposés de la RAF ? … je ne sais plus). Je ne me souviens donc de rien de plus que ce qu’on avait déjà dû me dire du livre avant que je le lise. J’ai un souvenir beaucoup plus net (mais peut-être faux) du fait que Böll est mentionné dans la liste des auteurs overrated par les amis du héros au début de Manhattan de Woody Allen … je suis d’accord avec eux !

Est-ce que je le relirai ? Je ne vois pas ce qui pourrait m’y pousser.

Je suis inoubliable

10 dimanche Oct 2021

Posted by patertaciturnus in confession

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casse-pied, souvenir

La scène se passe avant la conférence de clôture d’un événement philosophico-culturel de ma province. K. me rejoint dans les gradins et me présente E.M. qu’elle a eu comme prof en prépa agreg quelques années auparavant. Après les salutations d’usage, je me risque à évoquer un possible souvenir commun. 

— J’ai assisté à une conférence très intéressante que vous aviez donné, lors d’une journée consacrée au scepticisme dans le cadre du plan académique de formation.

—  Une formation qui avait lieu à R. c’est ça ?

—  Oui, exactement.

—  Oui je me souviens. Cela avait été un peu houleux, il y avait des gens assez virulents dans le public.

Je m’abstiens de relancer sur le sujet, et la conversation dévie alors sur la carrière de la conférencière du jour.

Même si E.M. n’avait gardé aucun souvenir de m’avoir déjà vu, je peux pourtant affirmer, qu’en un sens elle se souvenait de moi puisque j’étais vraisemblablement le plus opiniâtre de ceux qui lui avaient posé des questions à cette occasion. J’espère, lecteur, que tu mesures mon « mérite », car sept ans s’étaient écoulés depuis l’événement, et entre temps E.M. avait vraisemblablement eu affaire à nombre d’étudiants casse-pieds, et participé à moult colloques avec leur cohorte de fâcheux en mode  » ce n’est pas vraiment une question mais plutôt une remarque ». Si je ne peux récuser l’image de casse-pied qui m’a été renvoyé par cet échange de souvenirs, je peux faire valoir pour ma défense que j’avais été passionné par cette intervention et que mon opiniâtreté tenait au désir sincère de clarifier un embarras intellectuel. D’ailleurs à peine rentrer chez moi, j’avais immédiatement commandé l’ouvrage dont elle avait fait l’éloge … ouvrage que je n’ai cependant toujours pas lu, le charme ayant eu le temps de retomber.  

 

Par où es-tu malheureux ?

28 mardi Août 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures

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espoir, Kierkegaard, malheur, souvenir

« Les être malheureux par l’espoir ne portent jamais, comme les êtres malheureux par le souvenir, cette empreinte douloureuse. Les êtres qui vivent dans l’espoir ressentent toujours une déception moins cruelle. c’est pourquoi le plus malheureux sera toujours à rechercher parmi les êtres malheureux par souvenir. »

S. Kierkegaard, Ou bien … ou bien …, Tel, p. 175

Souvenirs à venir

28 mercredi Fév 2018

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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Cesare Pavese, maturité, souvenir

« Il vient une époque où l’on se rend compte que tout ce que nous faisons  deviendra en son temps souvenir. C’est la maturité. Pour y arriver, il faut justement avoir déjà des souvenirs. »

Cesare Pavese, Le métier de vivre, 1er octobre 1944

*

Pouvons nous transposer cette observation à l’échelle de de l’histoire collective et considérer que c’est un signe que l’humanité a atteint une forme de maturité quand les hommes ont commencé  à accomplir des actions pour qu’elles restent dans l’histoire ? Ce serait là une manière de définir le passage de la préhistoire à l’histoire.

Que vais-je te laisser en souvenir?

16 samedi Déc 2017

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Anna Akhmatova, rupture, souvenir

Toi-même tu le sais : je ne vais pas fêter
Le jour très amer de notre rencontre.
Que vais-je te laisser en souvenir?
Mon ombre ? Que ferais-tu de mon ombre?
La dédicace d’un drame que j’ai brûlé
Et dont la cendre a disparu ?
Ou bien ce terrible portrait de l’an nouveau
Qui vient de sortir de son cadre?
Ou le frisson à peine audible
Des bouleaux dans les coins perdus?
Ou bien ce faute de temps
Nous n’avons pas dit sur l’amour des autres?

Anna Akhmatova, Cinque, 4

Comme une corde vibre

01 vendredi Déc 2017

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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souvenir, Varlam Chalamov

Par ta volonté arrêter
Ce torrent d’aveux tardifs
Et rompre par ta volonté
Le fil de nos souvenirs.

Mais le rompre tout à fait,
En sorte que si le destin
Ne réunit plus nos cœurs,
Ce fil comme une corde vibre.

Varlam Chalamov, Cahiers de la Kolyma
trad. Christian Mouze

 

Souvenirs d’enfance et révolution

13 lundi Nov 2017

Posted by patertaciturnus in Lectures

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force d'âme, lectures, souvenir, Varlam Chalamov

« Je me souviens de la révolution de février et comme l’immense aigle de fonte noué de câbles, arraché du fron­ton du lycée de garçons, s’écroula.

Je me rappelle le coup d’État d’Octobre et Vologda plus maussade que pour le renversement de l’autocratie, les conversations des adultes plus nourries et l’inquiétude générale…

Je me souviens très bien de Kedrov, un commandant d’armée, et de son wagon. Je revois des Lettons en culottes bouffantes bleues; ils dansaient sans cavalières dans un jar­din public, les uns avec les autres.

A peine avais-je fini de préparer mes leçons que je me mettais à un jeu mystérieux… À l’aide d’éclats de bois et de boîtes d’allumettes j’évoquais Gogol, Pouchkine et sur­tout Hugo et Alexandre Dumas…

Cette mise en scène de ce que je lisais dura toute mon enfance. La bibliothèque de mon père était toujours à ma disposition. Du reste Alexandre Dumas n’en venait pas.

En 1918 on confisqua les bibliothèques seigneuriales et on créa à l’emplacement de la prison, dans le centre ville, une bibliothèque ouvrière. La découverte de cette biblio­thèque fut une année d’illumination pour moi. Dumas, Conan Doyle, Victor Hugo — tous dans des reliures dorées — m’attendaient chaque jour. Je lisais et jouais tou­tes mes lectures à la suite.

Je me souviens des ci-devant dans la grande vogue des débats contradictoires aux réunions antireligieuses. Je par­ticipais moi-même à ces assemblées. Mon père — prêtre aveugle — allait se battre pour la cause de Dieu. Je suis privé de tout sentiment religieux. Mais mon père était croyant et se faisait une obligation morale d’intervenir. Je lui servais de guide. Et j’apprenais la force d’âme. »

Varlam Chalamov, Fragments de mes vies
in Cahiers de la Kolyma et autres poèmes,
ed. Maurice Nadeau

L’autre silence de la mer

04 samedi Mar 2017

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Adam Mickiewicz, souvenir

CISZA MORSKA

Na wysokości Tarkankut.

Już wstążkę pawilonu wiatr zaledwie muśnie,
Cichymi gra piersiami rozjaśniona woda;
Jak marząca o szczęściu narzeczona młoda
Zbudzi się, aby westchnąć, i wnet znowu uśnie.

Żagle, na kształt chorągwi gdy wojnę skończono,
Drzemią na masztach nagich; okręt lekkim ruchem
Kołysa się, jak gdyby przykuty łańcuchem;
Majtek wytchnął, podróżne rozśmiało się grono.

O morze! pośród twoich wesołych żyjątek
Jest polip, co śpi na dnie, gdy się niebo chmurzy,
A na ciszę długimi wywija ramiony.

O myśli! w twojej głębi jest hydra pamiątek,
Co śpi wpośród złych losów i namiętnej burzy;
A gdy serce spokojne, zatapia w nim szpony.

Adam Mickiewicz, Sonety Krymskie 

Silence de la mer

Sur les hauteurs de Tartankut

Le pavillon frémit sous la brise affaiblie ;
Diaphane, apaisé, se meut le sein des eaux :
La fiancée, ainsi, rêve au bonheur nouveau,
Se réveille, soupire, et retombe assoupie.

Tels des drapeaux roulés, la bataille finie,
Sur les mats nus, les voiles dorment ; le bateau
Doucement comme à l’ancre, oscille sur le flot ;
Le marin reprend souffle, et les passagers rient.

Mer ! parmi tes vivants qu’on voit se réjouir,
La pieuvre, au fond, dort, quand grondent les nuages
Mais, par beau temps, sort dérouler ses longs bras sans fin …

Âme ! en tes profondeurs, l’hydre du souvenir
Dort, pendant les malheurs et les ardents orages
Mais, d’un ongle cruel, déchire un cœur serein.

Sonnets de crimée
trad. Roger Legras, L’Age d’homme

Restes d’amour perdu

13 jeudi Août 2015

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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image de soi, jeunesse, Pier Paolo Pasolini, souvenir, vieillesse

…

E umano che voglia lasciarci di me un bel ricordo;
il ricordo di quello ch’è stato ragazzo con voi,
che vi ha dato, che, come voi dite,

vi a insegnato a parlare – Non voglio che abbiate
di me l’immagine di un vecchio disperato
il cui unico modo di avervi è tormentarvi.

*

…

Il est humain que je veuille vous laisser de moi un beau souvenir ;
Le souvenir de celui qui a été jeune avec vous,
Qui vous a tant donné, qui, comme vous dites,

Vous a appris à parler – Je ne veux pas que vous ayez
De moi l’image d’un vieux désespéré
Dont l’unique manière de vous avoir est de vous tourmenter.

 

Pier Paolo Pasolini, Sonnets [67]
trad. René de Ceccatty, Gallimard

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