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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: sexualité

Sans engagement (3)

28 mardi Sep 2021

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Chritopher Lasch, engagement, liberté sexuelle, possessivité, sexualité

« La promiscuité sexuelle est la façon la plus courante d’échapper à la complexité des sentiments : elle marque une volonté de séparer nettement sexualité et affectivité. Là encore, la fuite en progrès. L’idéologie progressiste des « engagements libres » et du « sexe désentimentalisé » fait du désengagement affectif une vertu alors même qu’elle prétend s’ériger en critique de la dépersonnalisation de la sexualité. Des sommités comme Alex Comfort, Nena et George O’Neill et Anna Francœur soulignent la nécessité  de donner une dimension humaine à l’acte sexuel en en faisant une « expérience complète » et non un acte mécanique ; mais, dans le même temps, ils condamnent des émotions humaines comme la jalousie et la possessivité et s’insurgent contre les « illusions romantiques ». Dans leur sagesse, les thérapeutes d’avant-garde invitent hommes et femmes à exprimer leurs besoins et leurs désirs sans réserve — partant du principe qu’ils sont tous également légitimes — mais ils les mettent en garde contre l’illusion qui leur ferait croire qu’un seul partenaire peut les satisfaire tous. Cette éthique cherche à apaiser les tensions affectives, en fait, en limitant les exigences mutuelles, et non en renforçant la capacité des hommes et des femmes d’y faire face. Encourager la sexualité en tant que composante « saine » et « normale » de la vie masque un désir de la dépouiller de l’intensité affective qui s’y rattache inévitablement, tant à cause du souvenir des relations avec les parents au cours de l’enfance que de la tendance « malsaine » à réintroduire le même schéma dans les rapports amou­reux. L’insistance avec laquelle les experts affirment que la sexualité n’a rien de « sale » trahit la volonté de l’asep­tiser, en la débarrassant de toutes ses associations inconscientes. »

Christopher Lasch, La culture du narcissisme, p. 316 – 317

Génie du paganisme

21 dimanche Avr 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

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christianisme, Denis Diderot, esthétique, paganisme, sexualité

En contrepoint de l’extrait du salon de 1767 que je citais dimanche denier, je vous propose un autre texte de Diderot qui invoque, de nouveau, les fesses et les tétons de la Vierge.  L’hétérogénéité esthétique du christianisme et du paganisme qu’établissait le deuxième extrait cité la semaine dernière est ici présupposée. Le propos de Diderot est ici d’affirmer la supériorité esthétique du paganisme qui permet de lier spiritualité et sensualité.

« Si notre religion n’était pas une triste et plate métaphysique ; si nos peintres et nos statuaires étaient des hommes à comparer aux peintres et aux statuaires anciens (j’entends les bons ; car vraisemblablement ils en ont eu de mauvais, et plus que nous, comme l’Italie est le lieu où l’on fait le plus de bonne et de mauvaise musique) ; si nos prêtres n’étaient pas de stupides bigots ; si cet abominable christianisme ne s’était pas établi par le meurtre et par le sang ; si les joies de notre paradis ne se réduisaient pas à une impertinente vision béatifique de je ne sais quoi, qu’on ne comprend ni n’entend ; si notre enfer offrait autre chose que des gouffres de feux, des démons hideux et gothiques, des hurlements et des grincements de dents ; si nos tableaux pouvaient être autre chose que des scènes d’atrocité, un écorché, un pendu, un rôti, un grillé, une dégoûtante boucherie ; si tous nos saints et nos saintes n’étaient pas voilés jusqu’au bout du nez, si nos idées de pudeur et de modestie n’avaient proscrit la vue des bras, des cuisses, des tétons, des épaules, toute nudité ; si l’esprit de mortification n’avait flétri ces tétons, amolli ces cuisses, décharné ces bras, déchiré ces épaules ; si nos artistes n’étaient pas enchaînés et nos poètes contenus par les mots effrayants de sacrilège et de profanation ; si la vierge Marie avait été la mère du plaisir, ou bien, mère de Dieu, si c’eût été ses beaux yeux, ses beaux tétons, ses belles fesses, qui eussent attiré l’Esprit–Saint sur elle, et que cela fût écrit dans le livre de son histoire ; si l’ange Gabriel y était vanté par ses belles épaules ; si la Madeleine avait eu quelque aventure galante avec le Christ ; si, aux noces de Cana, le Christ entre deux vins, un peu non–conformiste, eût parcouru la gorge d’une des filles de noce et les fesses de saint Jean, incertain s’il resterait fidèle ou non à l’apôtre au menton ombragé d’un duvet léger : vous verriez ce qu’il en serait de nos peintres, de nos poètes et de nos statuaires ; de quel ton nous parlerions de ces charmes, qui joueraient un si grand et si merveilleux rôle dans l’histoire de notre religion et de notre Dieu ; et de quel œil nous regarderions la beauté à laquelle nous devrions la naissance, l’incarnation du Sauveur, et la grâce de notre rédemption.

Nous nous servons cependant encore des expressions de charmes divins, de beauté divine : mais, sans quelque reste de paganisme, que l’habitude avec les anciens poètes entretient dans nos cerveaux poétiques, cela serait froid et vide de sens. »

Denis Diderot, Essai sur la peinture

La casuistique c’est fantastique (4)

26 dimanche Fév 2017

Posted by patertaciturnus in Lectures

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casuistique, sexualité

Quand les lieux sacrés deviennent des baisodromes lieux de débauches.

Peut-être vous êtes-vous déjà demandé s’il était permis d’avoir des relations sexuelles dans une église. Et bien, si l’on en croit le bon père Antonin Diana, dans certaines conditions – et en premier lieu à condition que ce soit avec son conjoint légitime – la réponse est oui. Voilà qui conforte la réputation de latitudinarisme des casuistes.

« Si deux époux copulent en un lieu sacré où ils sont enfermés, à condition que de soit longtemps c’est-à-dire quatre ou cinq jours, ce n’est pas une circonstance qu’il faille nécessairement révéler en confession. Bien plus, il est probable qu’il faille dire la même chose, même s’ils ne sont pas enfermés pourvu que cela se fasse en cachette (Vasquez et Pontius) ; mais le contraire est plus probable (Tanner). Le coït dans un oratoire privé, aux portes d’une église (du côté de l’extérieur), dans un monastère ou dans une sacristie, n’est pas une circonstance changeant l’espèce de l’acte (Sanchez et autres). »

Antonin Diana, Practicae resolutiones lectissimorum casuum
§. 16 de l’article DEVOIR CONJUGAL
in Anthologie pataphysique de l’Antiquité à nos jours

Évidemment les actes prohibés en dehors de l’église ne le sont pas moins à l’intérieur, mais le fait qu’ils soient accomplis dans une église n’est une circonstance aggravante que dans certaines conditions.

« Les attouchements impudiques accomplis dans une église, mais sans dangers de pollution, n’entrainent pas, eu égard au lieu saint, une malice sacrilège et spéciale, dont il faille s’ouvrir en confession. Car l’église n’est violée que par le sang et la semence (Sanchez et autres). Mais la pollution et la fornication dans une église, mêmes secrètes, contiennent la malice du sacrilège : bien qu’il n’y ait aucun scandale, la sainteté du lieu est violée (Suarez et autres). Mais Vasquez et Pontius  enseignent le contraire avec probabilité. »

§. 12 de l’article LUXURE

Un point qui me surprend (mais peut-être cette impression serait elle corrigée par les articles que l’Anthologie pataphysique ne cite pas) c’est que ne soient pas ici prises en compte les raisons pour lesquelles les actes susmentionnés sont accomplis dans une église. On s’attendrait à ce que les casuistes distinguent les cas dans lesquels la raison est accidentelle (le hasard a fait que c’est dans ce lieu que les amants ont été saisis d’une envie irrépressible, ou encore c’était le seul espace sans témoins à des lieues à la ronde …) des cas où c’est la recherche d’un surcroît d’excitation sexuelle qui a conduit les amants en ces lieux.

J’ai gardé la meilleur pour la fin : les cas où le confesseur devient un protagoniste et le confessionnal le décor des actes de débauche.

« Un confesseur qui connaît charnellement un pénitent n’est pas tenu d’avouer cette circonstance,  car elle n’aggrave le péché que notablement et sans changer son espèce. En effet le sacrement  de pénitence ne produit pas à proprement parler une parenté spirituelle. C’est le contraire s’il a péché avec un pénitent au cours même d’une confession ou à peu de temps de celle-ci, à cause de la profanation du sacrement. »

§. 22 CIRCONSTANCES QU’IL FAUT EXPOSER EN CONFESSION

moine

Comment les casuistes en sont-ils venus à examiner des situations pareilles ? Se sont-ils contentés de compiler des cas réels qui leur avaient été rapportés ou s’attachaient-ils (du moins certains d’entre eux) à anticiper toutes les situations possibles ? Quelle tournure d’esprit faut-il avoir pour parcourir « à froid » la multitude des combinaisons que la fantaisie sexuelle découvre « à chaud ». Peut-être que toutes ce que les écrivains licencieux ont pu imaginer en la matière avait déjà été anticipé les casuistes (je ne suis sûrement pas le premier à établir ce parallèle).

Add. Pour les amateurs, un article (illustré!) sur la littérature érotique anticléricale.

Banquet érotique

01 dimanche Nov 2015

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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christianisme, Karl Kraus, sexualité

« Le christianisme a enrichi le banquet érotique  du hors d’œuvre de la curiosité et l’a gâté par le dessert du repentir. »

Karl Kraus, Aphorismes, Rivages p. 68

Le sage ne dédaigne pas les filles faciles

29 jeudi Oct 2015

Posted by patertaciturnus in Insatiable quête de savoir, Perplexités et ratiocinations

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Aristippe, Diogène, Diogène Laërce, Laïs d'Hyccara, sexualité

« Chaque année Aristippe passait deux mois avec Laïs à Egine, lors du festival de Poseidon; un habitant le lui reprocha en lui disant, « Tu lui donnes tellement l’argent, tandis qu’elle se vautre avec Diogène le cynique pour rien. » Il lui répondit: « Je dépense beaucoup pour Laïs afin que je puisse en tirer profit moi-même, et non pour empêcher d’autres d’en faire ainsi. » Diogène lui dit: « Aristippe, tu habites avec une simple putain. Ou bien, conduis-toi en cynique comme moi, ou bien cesse totalement,  » Aristippe lui disait :  » Ne penses-tu pas, Diogène qu’il est absurde de vivre dans une maison où d’autres hommes ont vécu avant? » « Pas du tout, » répondit Diogène. « N’est-il pas non plus absurde de naviguer dans un bateau dans lequel beaucoup ont navigué? » « Encore moins. » dit-il. « Dans ce cas, il n’est pas absurde de coucher  avec une femme qui a déjà servi. »

Athénée, XIII, 588 E-F

Je ne présente pas Diogène, mais peut-être faut il dire quelques mots des deux autres protagonistes. Aristippe de Cyrène, disciple de Socrate, est le fondateur de l’école cyrénaïque, il soutient des thèses hédonistes. Il fut au service du tyran de Syracuse, ce que, aux dires de Diogène Laërce, lui aurait reproché Diogène le cynique. Quant à Laïs, il s’agit d’une courtisane, voici ce qu’en dit le Athénée de Naucratis dans le passage qui précède celui que j’ai cité :

« Laïs d’Hyccara, (c’est une ville sicilienne, d’où elle avait été conduite en tant que captive à Corinthe) [1] […]  elle devint la maîtresse d’Aristippe, de l’orateur Démosthène et de Diogène le cynique. […] comme Xenophon l’indique dans ses Mémorables: « quelqu’un disait qu’elle était très belle et qu’elle avait des seins indescriptibles : Socrate dit, ‘Il faut que nous allions voir cette femme; il n’est pas possible de juger sa beauté par la rumeur.' » Laïs était si belle que les peintres vinrent chez elle pour reproduire ses seins et son buste. Dans sa rivalité avec Phryné, elle eut un grand nombre d’amants, ne faisant aucune distinction entre riche et pauvre et sans aucun dédain. »

lais d hyccara

Laïs d’Hyccara (source)

Je dois avouer que je ne comprend pas bien le sens de l’injonction de Diogène à Aristippe : « conduis-toi en cynique comme moi, ou bien cesse totalement ». En quoi consisterait le fait de se conduire en cynique comme Diogène ? continuer à bénéficier des faveurs de Laïs sans la payer ?

Diogène Laërce, dans le chapitre qu’il consacre à Aristippe évoque la même comparaison entre une femme et une maison qu’Athénée, mais il ne la présente pas comme une réponse à Diogène le cynique :

« Un autre lui reprochait de vivre avec une fille de joie. Aristippe lui demanda : « Voyez-vous une différence entre une maison qui a eu beaucoup de locataires, et une qui n’a jamais été habitée ? — Non. — Entre un bateau qui a porté des milliers de gens et un où personne n’est jamais monté ? — Non. — Pourquoi donc y aurait-il une différence entre coucher avec une femme qui a beaucoup servi, et coucher avec une femme intacte ? »

Un peu plus loin Diogène Laërce évoque une autre justification donnée par Aristippe de ses relations avec Laïs :

« Il fréquentait aussi la fameuse courtisane Laïs […] Aux gens qui l’en blâmaient, il avait coutume de dire : « Je possède Laïs, mais je n’en suis pas possédé, et j’ajoute que s’il est beau de vaincre ses passions et de ne pas se laisser dominer par elles, il n’est pas bon de les éteindre tout à fait. »

On aura bien compris que les relations sexuelles avec la courtisane ne détournent pas nos philosophes de la sagesse. Mais ce qu’on aimerait savoir, et que ces textes androcentrés ne nous disent pas, c’est ce qu’il en est des relations de  Laïs avec la sagesse. Que devrait-elle changer à sa conduite pour suivre, par exemple,  la voie de Diogène ? Je suis embarrassé pour répondre à cette question notamment parce que j’ignore ce que les cyniques ont pu dire de la différence entre homme et femme : qu’est ce qui ,pour eux, tient à la nature, qu’est ce qui relève de la convention en cette matière.

 [1] En fait il semble qu’il y ait eu deux courtisanes nommées Laïs : une Laïs d’Hyccara et une Laïs de Corinthe, entre lesquelles Athénée opère ici une confusion.

Être difficile est-ce être vertueux ?

28 mercredi Oct 2015

Posted by patertaciturnus in Perplexités et ratiocinations

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alimentation, Diogène, Diogène Laërce, sexualité

« Il [Diogène le cynique] avait l’habitude de tout faire en public, les œuvres patronnées par Déméter aussi bien que celles d’Aphrodite. […] Se masturbant même en public, il disait : « Ah! si seulement on pouvait faire cesser la faim en se frottant le ventre! »

Diogène Laërce, VI, 69

Je me propose de poursuivre le parallèle entre les œuvres patronnées par Déméter et celles d’Aphrodite, en considérant non plus les différences de conditions de satisfaction des besoins qui relèvent de la nature, mais celles qui relèvent de la convention.

grande bouffe2

La grande bouffe, Marco Ferreri

 

grande_bouffe 06

Traditionnellement être « difficile » en matière alimentaire est considéré comme un défaut : les parents qui s’efforcent de diversifier l’alimentation de leur rejeton se réjouissent qu’il mange de tout et au contraire déplorent qu’il refuse certains aliments. Au cours du processus éducatif l’enfant est encouragé à faire un effort pour manger ce qu’il prétend ne pas aimer (« goûte au moins ! »), le refus d’un tel effort est frappé d’un blâme dont la teneur morale est plus ou  moins marquée (« pense aux petits enfants qui meurent de faim et qui seraient bien contents d’avoir des épinards »). Une fois parvenue à l’âge adulte, les personnes difficiles d’un point de vue alimentaire sont source d’embarras pour ceux qui leur préparent à manger, et sans les blâmer ouvertement, on sait le leur faire sentir.

A l’opposé il semble qu’en matière sexuelle c’est être « facile » qui soit un vice. La comparaison entre le registre alimentaire et le registre sexuel est compliquée par la forte disproportion entre les blâmes frappant respectivement la « facilité » masculine et la « facilité » féminine : être un « chaud lapin » n’est pas spécialement un compliment mais c’est certainement moins infamant qu’être « une salope qui a le feu au cul ». Au delà de cette asymétrie il demeure qu’être considéré comme « peu regardant » sur les personnes avec qui on a des relations sexuelles était plutôt considéré avec mépris.

On pourrait donc s’étonner de cette différence de traitement entre le domaine alimentaire et le domaine sexuel : pourquoi les filles faciles sont elles méprisées y compris par ceux qui bénéficient de leur facilité, alors qu’on pourrait au contraire louer leur contribution au bonheur collectif ? pourquoi inversement ne dit-on pas « il ne se respecte pas, il mange même des choux de Bruxelles »? On pourrait même rêver d’un monde où on pourrait assumer publiquement son appétit sexuel aussi aisément que sa gourmandise.

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