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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: rêve

Double réveil

16 vendredi Avr 2021

Posted by patertaciturnus in Père castor

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rêve, sommeil

J’étais au volant de ma voiture, sur une route départementale, en forêt, au beau milieu de la nuit. Ma plus jeune fille était sur le siège arrière et me parlait par intermittence. Pour ma part je luttais contre le sommeil. De plus en plus souvent mes yeux se fermaient l’espace de quelques instants. Pourquoi donc ne m’arrêtais-je pas sur le bord de la route ? Et c’est au moment où je plongeai définitivement  … que je me suis réveillé de ce rêve.

Un Lied pour l’hiver

22 dimanche Déc 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers, Paroles et musiques

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Anton Webern, espoir, rêve, Stefan George

Lieder

Kahl reckt der baum
Im winterdunst
Sein frierend leben ·
Lass deinen traum
Auf stiller reise
Vor ihm sich heben!
Er dehnt die arme –
Bedenk ihn oft
Mit dieser gunst
Dass er im harme
Dass er im eise
Noch frühling hofft! 

Stefan George, Der siebente Ring

Chants

Roide, effeuillé l’arbre
Aux brumes d’hiver
Tend sa vie glacée.
Passant, que ton rêve
Chemine en silence
Monte devant lui!
Il étend les bras –
Songe, en le voyant,
A ce privilège
Qu’en l’affliction
L’arbre et sous la neige
Espère un printemps.

trad. Maurice Boucher

Rêve assassin

20 vendredi Déc 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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rêve, Reiner Kunze

Nocturne

Schlaf du kommst nicht

Auch du
hast angst

In meinem gedanken erblickst du
den traum deinen
mörder

Reiner Kunze, Dem wind sagen allen das gleiche

*

Nocturne

Sommeil tu ne viens pas

Toi aussi
tu as peur

Dans mes pensées tu aperçois
le rêve ton
assassin

trad. Muriel Feuillet

 

L’ombre de ton ombre

10 jeudi Oct 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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amour, rêve, Robert Desnos

J’ai tant rêvé de toi que tu perds ta réalité.
Est-il encore temps d’atteindre ce corps vivant et de baiser sur cette
bouche la naissance de la voix qui m’est chère?
J’ai tant rêvé de toi que mes bras habitués en étreignant ton ombre à se
croiser sur ma poitrine ne se plieraient pas au contour de ton corps, peut-être.
Et que, devant l’apparence réelle de ce qui me hante et me gouverne
depuis des jours et des années je deviendrais une ombre sans doute,
Ô balances sentimentales.
J’ai tant rêvé de toi qu’il n’est plus temps sans doute que je m’éveille.
Je dors debout, le corps exposé à toutes les apparences de la vie et
de l’amour et toi, la seule qui compte aujourd’hui pour moi, je
pourrais moins toucher ton front et tes lèvres que les premières
lèvres et le premier front venu.
J’ai tant rêvé de toi, tant marché, parlé, couché avec ton fantôme qu’il ne
me reste plus peut-être, et pourtant, qu’à être fantôme parmi les
fantômes et plus ombre cent fois que l’ombre qui se promène et se
promènera allègrement sur le cadran solaire de ta vie.

Robert Desnos, A la mystérieuse

Un homme qui rêve

24 dimanche Mar 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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rêve, Tahar Ben Jelloun

Un homme qui rêve nous engage tous.
Soudain il nous révèle à nous-mêmes : aimant l’amitié et l’amour, la sieste l’après-midi, le vin frais le soir, le pain chaud et les paroles simples comme « merci d’exister », « grâce à la vie », les promenades au bord de l’eau, un enfant qui sourie, une belle poitrine de femme, un vent doux, une pluie fine, l’odeur du café le matin, un vieil homme riant avec sa petite-fille, le silence infini de la paix qui nous manque.

Tahar ben Jelloun, L’oeil de Boubat

Dans tes rêves

21 lundi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour, Tentatives de dialogues

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amitié, Karl Kraus, rêve

– J’ai l’impression que tu me fais la gueule ces derniers temps.
– Si tu le dis …
– Qu’est-ce que je t’ai fait pour que tu réagisses comme ça ?
– ….
– J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ?
– …
– Non, mais sérieusement qu’est-ce qu’il se passe ?
– C’est assez embarrassant à expliquer.
– Vas-y, je suis près à tout entendre. Il faut qu’on crève l’abcès, là !
– Eh bien voilà, j’ai rêvé que je marchais en centre ville, tu arrivais en face et tu as bifurqué à gauche pour ne pas avoir à me parler.
-Attends, tu es entrain de me faire la gueule pour un truc que tu RÊVES que j’ai fait ?
– Tu as oublié que je tiens Karl Kraus pour mon maître ?
– Non, et alors ?
– J’ai toujours en mémoire cet aphorisme de lui : « tu veux un avis clair sur tes amis : questionne tes rêves. »

A quoi rêves-tu ?

02 lundi Jan 2017

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Jacek Podsiadło, rêve

[…]
Nie marzę, żeby orgazm dłużył się jak godzinki ani o eliksirze
młodości, choć marzę: niech będzie jak dawniej, tylko troszeczkę mniej.

Jacek Podsiadło, Przychodzi baba do lekarza i mówi : nie czuję bólu

*

[…]
Je ne rêve pas d’orgasme qui durerait comme les matines ni à l’élixir
d’éternelle jeunesse, et cependant je rêve : que tout soit comme naguère, juste un peu moins.

La bonne femme vient chez le médecin et lui dit : je n’ai pas mal
trad.Jacques Burko
in 3 poètes polonais, Editions du murmure, 2009

*

Note : il semble que le titre du poème Przychodzi baba do lekarza … fasse référence à une l’amorce de blague d’une série de blagues.

Marxisme et toxicomanies (2)

13 dimanche Nov 2016

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Ernst Bloch, rêve, toxicomanie

On a vu la semaine dernière comment la relecture de Marx par Gilbert Achcar permettait de distinguer la religion-cocaïne et la religion-opium. Nous allons voir aujourd’hui comment un autre marxiste, Ernst Bloch, peut nous aider à nous orienter dans le monde des stupéfiants. Cette fois c’est le cannabis, et non pas la cocaïne, qui se trouve opposé à l’opium et valorisé par rapport à lui. Le texte qui suit est tiré du maître ouvrage de Bloch : le Principe espérance. La deuxième partie de l’ouvrage pose les fondements théoriques d’une défense de la dimension utopique du marxisme. Cette fondation a un versant anthropologique et un versant ontologique. La composante anthropologique-psychologique du propos de Bloch consiste, en particulier, à défendre, contre Freud, l’idée d’une opposition fondamentale entre le rêve éveillé et le rêve nocturne. Alors que les rêves nocturnes renvoient à un passé enfoui, les rêves éveillés anticipent un avenir ; alors que le contenu du rêve nocturne est dissimulé, le contenu du rêve éveillé est manifeste, car le moi du rêve éveillé est un moi adulte qui ne connaît pas la censure. De même, contrairement au rêve nocturne, le rêve éveillé n’est pas hallucinatoire, il est maîtrisé par le rêveur, qui garde le contact avec le monde. Aussi, loin d’être nécessairement compensatoire le rêve éveillé peut être animé d’une intention de réalisation et englober les autres. C’est au détour de l’exposé de cette opposition que Bloch est conduit à établir un parallèle avec l’opposition entre les effets du haschich et ceux de l’opium.

« La différence des modes d’être du Moi dans les deux sortes de rêves est telle que le relâchement : éprouvé par le Moi diurne peut se changer en un sentiment subjectif d’élévation, d’ailleurs assez contestable. Car c’est le Moi lui-même qui devient l’objet imaginaire du souhait, délivré de toute censure, profitant lui aussi du feu vert offert à toutes les autres représentations. Le Moi nocturne sombre dans la détente, tandis que le Moi diurne s’y élève, comme une abeille emportée par son essaim. Les drogues susceptibles elles aussi de provoquer artificiellement ces deux genres de rêves, peuvent être réparties en  deux groupes distincts ; c’est-à-dire qu’au sein même du monde hallucinatoire engendré artificiellement par des moyens pharmacologiques, il y a lieu de distinguer également les fantasmes d’un cerveau engourdi et de son Moi affaibli, de ceux du jour: les rêves provoqués par l’opium, s’apparenteront aux rêves nocturnes, ceux provoqués par le haschisch aux rêves éveillés, ivres de liberté et éperdus de ravissement. Dans l’ivresse cannabique (celle du haschisch) l’ego n’est guère altéré, l’individualité et la raison du sujet ne sont pas impliquées. Le Moi est isolé du monde extérieur, mais pas de la même manière que dans le sommeil nocturne, ou dans le sommeil-opiacé, car le monde réel ne lui est étranger que dans la mesure où il s’accorde mal avec les visions hallucinatoires, et où les interférences extérieures lui semblent stupides et même pitoyables. Le décor le plus approprié aux visions cannabiques est de la classe du Parnasse ou du pays de Cocagne, il est fait de jardins, de châteaux et de rues aussi belles que vieilles. Il existait au Moyen Age une secte arabe dissidente, celle des « Haschischin » ou assassins, meurtriers à la solde du Vieux de la montagne ; les jeunes gens qui avaient été élus pour l’accomplissement d’actes sanglants, suivaient le Cheik, les yeux grands ouverts, malgré l’ivresse dans laquelle le haschisch les tenait plongés ; il les conduisait dans ses jardins merveilleux qui regorgeaient d’une profusion de plaisirs pour les sens. Les visions cannabiques s’accordaient parfaitement avec ce décor réel, des plus appropriés à leur rêve éveillé, mais elles l’exaltaient à ce point que les jeunes gens dont le corps était parcouru par le poison de l’utopie, croyaient déjà goûter au paradis, et étaient prêts à faire don de leur vie au Cheik pour gagner définitivement le paradis véritable. Ceux qui, plus proches de nous, ont goûté au haschisch, parlent de la même légèreté enivrante ; dans leurs visions tout plane à la manière des elfes, l’asphalte de la rue se change en tapis de soie bleue, tandis que les passants prennent les traits de Dante ou de Pétrarque conversant dans un décor anachronique ; bref le monde entier devient une symphonie de souhaits pour l’amateur de haschisch suffisamment doué. Une autre sorte de légèreté caractérise également l’ivresse cannabique : « Des projets confus que l’individu n’était pas encore parvenu à démêler, lui apparaissent soudain dans toute leur clarté et semblent sur le point de se réaliser » (Lewin, Phantastica, 1927, p. 159 sq.). Même la folie des grandeurs s’y nourrit provisoirement d’exploits anticipés, presque comme dans la paranoïa. Bien différente est l’ivresse opiacée, car tout y est engourdi, aussi bien le monde extérieur que l’ego ; tout y rappelle le rêve nocturne, même le sol sur lequel il évolue. L’ascension illusoire du Moi, la Métamorphose du monde ambiant en un univers utopique et aérien font place aux profondeurs de l’abîme, et les portes du sommeil s’ouvrent sur un monde obscur et confus où femmes, voluptés, cavernes, torches et ténèbres s’entremêlent dans une atmosphère lourde et épaisse. Le premier don de l’opium  est l’oubli, non la lumière ; c’est la nuit qui dispense à Morphée, sur un tapis de gemmes antiques, les pavots de l’opium. Les prêtresses chthoniennes tenaient dans leurs mains les graines de pavot qu’elles utilisaient pour endormir la douleur, et dans les mystères de Cérès, on recherchait les eaux du Léthé, fleuve opiacé de l’oubli ; la haute antiquité enfin représentait Isis-Cérès avec des têtes de pavot à la main. Si Baudelaire baptise ces deux régions de l’ivresse, l’une cannabique et l’autre opiacée, du même nom de « paradis artificiels », il n’en reste pas moins vrai que de ces deux extases maudites, seule celle suscitée par le haschisch peut pathologiquement être associée aux rêves éveillés. Voilà donc illustrée la différence qui sépare les deux espèces de relâchements oniriques, inspiré l’un par Morphée et l’autre par Phantasus. »

Ernst Bloch, Le principe espérance, Tome I p. 112 – 114
trad. F. Wuilmart, Gallimard 1976

Inavouable larcin

17 jeudi Mar 2016

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Hugo von Hofmannstahl, rêve

Nicht zu der Sonne frühen Reise,
Nicht wenn die Abendwolken landen,
Euch Kindern, weder laut noch leise,
Ja, kaum uns selber sei’s gestanden,
Auf welch geheimnisvolle Weise
Dem leben wir den Traum entwanden
Und ihn mit Weingewinden leise
An unsres Gartens Brunnen banden

Hugo von Hofmannstahl

*

Ni sous la coupe matinale du soleil,
Ni quand accostent les nuages du soir,
A vous enfants, ni à voix haute ni à voix basse,
Nous n’avouerons (et nous ne l’avouons guère)
De quelle façon toute secrète
Nous avons dérobé le rêve à la vie,
Et par des guirlandes de vigne, à voix basse,
L’avons lié à la fontaine de notre jardin.

trad.Jean-Yves Masson

Même pas en rêve

19 samedi Avr 2014

Posted by patertaciturnus in Fantaisie, Pessoa est grand

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Fernando Pessoa, possession physique, rêve

« Je ne rêve pas de te posséder. A quoi bon? Ce serait une traduction plébéienne de mon rêve. Posséder un corps, c’est être banal. Rêver de le posséder, c’est peut-être encore pire (quoique cela soit difficile) : c’est se rêver banal – horreur suprême. »

F. Pessoa, Le livre de l’intranquillité, §345, p.339

*

Cet extrait est le premier élément de la tentative pour éclairer le dilemme évoqué mercredi dernier avec des textes de Pessoa.

J’espère que vous apprécierez la qualité de l’argument proposé.

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