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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: perfection et imperfection

Philosophie de l’imperfection … le retour

27 mardi Mar 2018

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Joseph Joubert, perfection et imperfection, Rudyard Kipling, vertu

Un siècle avant l’émergence du concept de virtue signalling, Kipling recommandait déjà sagement à son fils :

Don’t look too good, nor talk too wise,

Et un siècle auparavant, Joubert expliquait pourquoi il valait mieux laisser voir ses défauts qu’afficher trop ostensiblement ses qualités :

« On n’aime souvent, on ne loue souvent nos belles qualités que parce que nos défauts en tempèrent l’éclat.

Il serait vrai de dire qu’on nous aime souvent plus pour nos nos défauts que pour nos bonnes qualités.

Un homme qui ne montre aucun défaut est un sot ou un hypocrite dont il faut se méfier.

Il est des défauts tellement liés à de belles qualités qu’ils les annoncent et qu’on fait bien de ne pas s’en corriger. »

Joseph Joubert, Cahiers I, 1776

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Génie du défaitisme

28 mardi Fév 2017

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défaitisme, Fernando Pessoa, perfection et imperfection

« Ma vie tout entière se résume à une bataille perdue sur une carte ; ma lâcheté ne s’est même pas fait jour sur un champ de bataille, où d’ailleurs elle ne se serait peut-être pas manifestée, mais dans le cabinet du chef d’état-major, en tête à tête avec son intime conviction d’aller à la défaite. On n’a pas osé dresser de plan, parce qu’il aurait été de toute façon imparfait ; on n’a pas osé le rendre parfait, même s’il ne pouvait l’être réellement, parce que la conviction qu’il ne le serait jamais a brisé la volonté qui aurait permis à ce plan, même imparfait, d’être essayé malgré tout. Il ne m’est jamais venu à l’idée que ce plan, quoique imparfait, pouvait être plus parfait que celui de l’ennemi. Ni que mon ennemi véritable, victorieux contre moi depuis Dieu même, c’était précisément cette idée de perfection qui marchait contre moi, en tête de toutes les légions du monde, avant-garde tragique de toutes les armées de l’univers. »

Fernando Pessoa (sous l’hétéronyme « baron de Teive »),
L’éducation du stoïcien, traf. F Laye, Christian Bourgois éditeur

*

La caractère « inhibant » de l’idée de perfection est un thème récurrent chez Pessoa (voir notamment des extraits du Livre de l’intranquillité que j’avais cités ici et là).

Beau spécimen (2)

06 dimanche Sep 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures

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esthétique, morale, perfection et imperfection, Thomas de Quincey

Je soutenais hier qu’on ne saurait reprocher à un médecin d’être sensible à l’intérêt de connaissance d’un cas auquel il est confronté tant que cela n’est pas au détriment de l’intérêt du patient. Je viens de me souvenir que Thomas de Quincey évoque une question connexe dans la génialissime conférence qui constitue la partie principale de L’assassinat considéré comme un des beaux arts. Il y défend l’idée qu’il n’y a rien de moralement  répréhensible en soi à tirer un plaisir esthétique du spectacle d’un mal (incendie, crime, maladie …).

« Je prétends que l’homme le plus vertueux, dans les circonstances posées en prémisses, avait le droit de faire de l’incendie un objet de jouissance et de le siffler, comme il aurait sifflé tout autre spectacle qui eût éveillé, puis déçu les espoirs du public. Maintenant, pour citer une autre grande autorité, que dit le Stagirite ? Il décrit (au Livre Cinquième de sa Métaphysique, je crois) ce qu’il appelle κλεπτήν τέλειον, c’est-à-dire un voleur parfait et quant à M. Howship, dans un de ses ouvrages sur l’indigestion, il ne se fait pas scrupule de parler avec admiration de certain ulcère qu’il a vu et qu’il qualifie de « magnifique ulcère ». Or, est-il personne pour prétendre que, considéré abstraitement, un voleur pût apparaître à Aristote comme un individu parfait, ou que M. Howship pût s’enamourer d’un ulcère ? Aristote, cela est bien connu, était lui-même un individu si moral que, non content d’écrire son Éthique à Nicomaque en un volume in-8 il créa encore un autre système sous le nom de Magna Moralia ou Grandes Ethiques. Or il est impossible qu’un homme qui compose quelque éthique que ce soit, grande ou petite, puisse admirer un voleur per se ; quant à M. Howship, c’est chose bien connue qu’il fait la guerre à tous les ulcères et que, sans se laisser séduire par leurs charmes, il s’efforce de les bannir du comté de Middlesex. Mais la vérité est que, si répréhensibles qu’ils soient per se, relativement aux autres spécimens de leur genre, aussi bien un voleur qu’un ulcère peuvent avoir d’infinis degrés de mérite. Tous deux sont des imperfections, c’est vrai, mais être imparfait étant leur essence, la grandeur même de leur imperfection devient leur perfection. Spartam nactus es, hanc exorna [1] . Un voleur comme Autolycus ou le jadis fameux George Barrington et un sinistre ulcère phagédénique, superbement déterminé et évoluant régulièrement par toutes ses phases naturelles, peuvent être regardés non moins justement comme l’idéal de leur espèce que la plus irréprochable rose d’entre les fleurs, dans son développement du bouton à « l’éclatante fleur épanouie » ; ou que, parmi les fleurs humaines, la plus magnifique jeune femme dans tout l’appareil de sa gloire féminine. Ainsi donc, non seulement on peut imaginer l’idéal de l’encrier (comme M. Coleridge l’a mis en lumière dans sa célèbre correspondance avec M. Blackwood) ce qui, soit dit en passant, n’est pas de tant de conséquence, car un encrier est un objet d’espèce louable et un précieux membre de la société, — mais l’imperfection elle-même peut avoir son idéal ou son état parfait. »

Thomas DE QUINCEY, De l’assassinat considéré comme un des Beaux-Arts
Traducteur : P. Leyris, Gallimard — l’imaginaire, p. 27 -34

[1] « Tu as pris Sparte, embellis-la » (N.d.T.)

Par delà la plénitude

06 vendredi Mar 2015

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amour, lune, nostalgie, perfection et imperfection, plénitude, Urabe Kenkô

Kiyonaga_Le_neuvième_mois_(Minami_juni_ko)

Source

« N’admire-t-on les fleurs qu’épanouies et la lune qu’immaculée? Devant la pluie tombante se languir de la lune, ignorer, stores clos, le passage du printemps, cela même suscite une tendre émotion. En un jeune rameau sur le point de fleurir, en un jardin jonché de pétales flétris, que de spectacles admirables! Si un poème a comme légende : « Pour être allé voir les floraisons, mais elles étaient déjà effeuillées et passées » ou: « Pour avoir été empêché de visiter les floraisons », est-ce moins bien que s’il est dédié au « Spectacle des floraisons » ? Ressentir le regret de l’effeuillement des fleurs et du déclin de la lune est une pente fort naturelle, mais il faut être un homme bien obtus pour dire : « Cette branche, cette autre sont effeuillées; plus rien à voir maintenant. »

En toutes choses c’est dans le début et la fin qu’est le charme. Entre homme et femme, l’amour même, est-ce de se voir tout à loisir? Les regrets de rencontres manquées, le chagrin des vaines liaisons, la mélancolie des longues nuits de solitude, la nostalgie des cieux lointains, le souvenir des jours d’autrefois en une demeure délabrée, c’est cela, pourrait-on dire, savoir goûter le sentiment de l’amour. »

Urabe Kenkô, Les heures oisives, CXXXVII

Certains l’aiment gibbeuse (2)

05 jeudi Mar 2015

Posted by patertaciturnus in Fantaisie

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Ito Naga, japonaiseries, lune, perfection et imperfection

gibbeuse

« Au Japon, la lune juste avant ou juste après la pleine lune est plus charmante que la pleine lune elle-même. le cercle n’est pas parfait, une douceur et une délicatesse en émanent. »

Ito Naga, NGC 224, p.17

*

Pour découvrir le vocabulaire japonais à propos de la lune, c’est ici et là.

Philosophie de l’imperfection (suite)

25 mercredi Fév 2015

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Joseph Joubert, perfection et imperfection, style

« Ce qui est inachevé, si exact par l’expression et, en un mot, si parfait a une espèce de forme tellement déterminée et solide que l’imagination du lecteur, qui n’a rien à y faire et à y influer, ne s’y ouvre point comme la mémoire pour se l’approprier et le retenir. On laisse ce mémoire devant soi, pour l’admirer, mais hors de soi. On est frappé et non pénétré. Il n’y a rien là de fluide ou de moelleux, à moins que la pensée n’ait par elle même une telle éthéréité qu’elle en dématérialise la parole.

Ajoutez : ce qui est parfait, si achevé se retient et se fait peu relire. (Comment réunir ces deux mérites?) »

Joseph Joubert, 17 avril 1799, Carnets I, p. 291

Eloge de l’imperfection

30 lundi Juin 2014

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perfection et imperfection, Urabe Kenkô

« Quelque soit l’objet, sa perfection est un défaut. Laissez les choses inachevées, comme elles sont, sans fignoler, j’y trouverai de l’intérêt et je me sentirai à l’aise. On me l’a dit : Quand on construit une demeure impériale, il est coutume de laisser un endroit inachevé. Dans les textes religieux, bouddhiques ou autres, écrits par les sages de jadis, n’est-il pas vrai qu’on trouve des exemples de chapitres qui manquent? »

Urabe Kenkô, Les heures oisives, LXXXII

Philosophie de l’imperfection 2

03 lundi Fév 2014

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Fernando Pessoa, perfection et imperfection

Une nouvelle pièce au dossier ouvert avec la litanie de la désespérance.

*

« Nous n’adorons la perfection que parce que nous ne pouvons la posséder ; nous la repousserions si nous la possédions. Être parfait, c’est être inhumain, parce que l’humain est imparfait. […]

Pour atteindre la perfection, il nous faudrait une froideur hors de portée de l’âme humaine ; et dans ce cas il n’y aurait plus de cœur humain capable d’aimer cette perfection.

Nous nous émerveillons, en l’adorant, de cette tension vers la perfection qui fait les grands artistes. Nous aimons cet effort vers la perfection, mais nous l’aimons, précisément, de n’être qu’un effort. »

Pessoa, Le livre de l’intranquillité, p. 293 -294

 

Philosophie de l’imperfection

01 samedi Fév 2014

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Fernando Pessoa, perfection et imperfection

On se souvient que l’imperfection est le thème premier de la litanie de la désespérance développée dans le Livre de l’intranquillité de Pessoa (le second thème important est l’incompréhension d’autrui dont j’ai aussi l’intention de reparler). Je souhaite éclairer le premier extrait que j’avais cité avec un autre passage qui a de surcroît l’intérêt d’établir un lien avec un autre thème phare du Livre de l’intranquillité : la condamnation de l’action au nom du rêve. Mais trève de préliminaires, laissons la parole au maître.

*

« Je reste toujours ébahi quand j’achève quelque chose. Ébahi et navré. Mon instinct de perfection devrait m’interdire d’achever ; il devrait même m’interdire de commencer. Mais voilà : je pêche par distraction et j’agis. Et ce que j’obtiens est le résultat, en moi, non pas d’un acte de ma volonté, mais bien d’une défaillance de sa part. Je commence parce que je n’ai pas le courage de m’interrompre. Ce livre est celui de ma lâcheté.

[…]

 » Pourquoi donc écrire, si je n’écris pas mieux? Mais que deviendrais-je si je n’écrivais pas le peu que je réussis à écrire, même si, se faisant, je demeure très inférieur à moi-même? Je suis un plébéien de l’idéal, puisque je tente de réaliser ; je n’ose pas le silence, tel un homme qui aurait peur d’une pièce obscure »

Le livre de l’intranquillité, p.174

*

J’hésite à commenter Pessoa – a fortiori sur le sujet évoqué dans ce fragment – car je l’ai découvert trop récemment. Je crains d’écrire des choses que la relecture du Livre de l’intranquillité, ou la lecture d’autres œuvres de Pessoa, me ferait regretter. Je risquerai juste une remarque.

Nous qui l’admirons ne pouvons que nous réjouir qu’il n’ait pas eu le courage de s’interrompre. Mais le paradoxe est que nous l’admirons justement pour sa manière de déplorer de ne pas avoir eu ce courage. Bien sûr, on peut se demander dans quelle mesure cette déploration est « jouée ». Réfléchir à cette question implique de se pencher sur le rôle des hétéronymes : ces personnalités fictives auxquelles Pessoa a attribué ses œuvres (le Livre de l’intranquillité est attribué à Bernardo Soares, mais d’autres oeuvres sont attribuées à Alvaro de Campos, Ricardo Reis ou Alberto Caeiro). J’essaierai d’y revenir … à moins que j’ai le courage de m’interrompre!

Litanie de la désespérance

24 vendredi Jan 2014

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désespérance, Fernando Pessoa, incommunicabilité, perfection et imperfection

PESSOA1

« Joins les mains, place les entre les miennes et écoute-moi, ô mon amour.

Ce que je veux te dire, c’est, d’une voix douce et berceuse comme celle d’un confesseur distillant ses conseils, combien le désir d’obtenir est en deçà de ce que nous obtenons.

Je veux réciter, ma voix mêlée à ton esprit attentif, la litanie de la désespérance.

Il n’est aucune œuvre, d’aucun artiste, qui n’aurait pu être plus parfaite. Lu vers par vers, le plus grand des poèmes contient bien peu de vers qui ne pourraient être meilleurs, bien peu d’épisodes qui ne pourraient connaître une plus grande intensité, et l’ensemble n’atteint jamais à une perfection telle que celle-ci n’ait pu être encore bien supérieure.

 Malheur à l’artiste qui s’en aperçoit ! qui, un beau jour, se met à y réfléchir ! Il n’aura plus jamais de joie dans son travail, ni de repos dans son sommeil Il traverse la jeunesse sans jamais être jeune, et vieillit insatisfait.

Et puis, pourquoi exprimer ? Le peu de chose que l’on dit se trouverait bien mieux de n’avoir jamais été dit.

Si seulement je pouvais me persuader de la beauté du renoncement, comme je serais, à tout jamais, douloureusement heureux !

Car tu n’aimes pas ce que je dis avec les oreilles dont je m’entends moi-même le dire. Si je m’écoute parler tout haut, les oreilles dont je m’entends parler ne m’écoutent pas de la même façon que cette oreille intime dont je m’entends penser les mots. Si je me trompe sur moi-même en m’écoutant, au point de me demander souvent ce que j’ai bien pu vouloir dire, combien plus éloignés seront les autres de me comprendre !

De quelles complexes mésintelligences n’est pas faite la compréhension que les autres ont de nous !

Le plaisir délicieux de se voir compris reste interdit à ceux qui, précisément, ne veulent pas l’être — ce qui est le propre des êtres complexes et incompris ; quant aux autres, ces gens simples que tout le monde peut comprendre — ceux-là n’éprouvent jamais le besoin d’être compris… »

Fernando Pessoa, Le livre de l’intranquillité,
Christian Bourgois 1999, traduit du portugais par François Laye

*

J’ai reproduit l’intégralité du fragment 328 (p. 325 – 326 ) de la traduction de 1999 et j’ai l’intention de redonner souvent la parole à Pessoa. D’ailleurs le seul suspense concernant ce blog concerne la question de savoir qui de Canetti ou de Pessoa y sera le plus présent.

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