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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: Omar Khayyâm

Je cherche un homme

27 mardi Fév 2018

Posted by patertaciturnus in Divers vers, Lectures

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Nietzsche, Omar Khayyâm, sacrifice

Puissé-je être sacrifié à celui qui me paraît digne :
Se jeter aux pieds d’un tel homme me serait chose facile.
Veux-tu savoir ce qu’est le vrai enfer?
C’est la compagnie des hommes indignes dans le monde.

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad. Rezvanian : 434

*

« Car la question est en effet celle-ci : comment ta vie, qui est vie individuelle, acquiert-elle la plus haute valeur, la plus profonde signification ? Comment est-elle le moins gaspillée ? Ce n’est sûrement que dans la mesure où tu vis au profit de l’exemplaire le plus rare et le plus précieux et non au profit du plus grand nombre, c’est-à-dire de ceux qui, pris isolément, sont les exemplaires de la moindre valeur. Et l’état d’esprit qu’il faut justement implanter et cultiver chez un jeune homme, c’est qu’il se comprenne somme toute lui-même comme une œuvre manquée de la nature, mais en même temps comme un témoignage des intentions les plus grandes et les plus merveilleuses de cette artiste : elle a échoué, devrait-il se dire ; mais je veux honorer sa grande intention en me mettant à son service, afin qu’une autre fois elle réussisse mieux. »

NIETZSCHE, IIIe considération inactuelle, §. 6, Gallimard Folio, p. 59

Double bind

15 jeudi Fév 2018

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Omar Khayyâm, tentation

D’un côté, Il nous dote de passions que l’on peut prendre pour autant d’invites.
De l’autre côté, Il nous défend de donner libre cours à nos désirs.
Nous sommes incapables de faire notre choix entre l’invite et la défense :
C’est comme si on nous disait : « Retournez la coupe pleine, mais gardez-vous d’en renverser la substance! »

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad. Rezvanian : 533

Geworfenheit

31 mercredi Jan 2018

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existentialisme, Omar Khayyâm, sens de la vie

Il m’a créé d’abord par contrainte ;
La vie n’a augmenté que ma surprise.
Je suis parti malgré moi sans avoir su
Quel était le but de ma venue, de mon séjour, de mon départ !

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian : 50

C’est celui qui le dit qui l’est

20 samedi Jan 2018

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autrui, médisance, miroir, Omar Khayyâm

Que m’importe si chacun médit sur mon compte
Ou si l’on multiplie par cent un défaut que je n’ai pas
Je suis un miroir : quiconque me regarde
Y trouve tout le bien et tout le mal qu’il me présente

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad. Rezvanian : 528

*

Je me propose de comparer brièvement la manière dont opère ici la métaphore du miroir avec la manière dont elle est mobilisée dans deux textes d’auteurs persans que j’ai précédemment cités.

D’une part on pourrait ainsi mettre « en miroir » ce quatrain attribué à Khayyâm avec ce texte dans lequel Rûmî nous explique que ce sont nos propres défauts que nous voyons en autrui. Dans le premier cas je suis un miroir pour autrui et ses médisances révèlent ses défauts, dans le second, autrui est un miroir pour moi et mes médisances révèlent mes défauts. On a donc affaire à deux déclinaisons symétriques d’un même principe : chacun est un miroir pour l’autre. Mais il y a une autre manière (plus originale ?) de mobiliser la métaphore du miroir pour traiter le thème de la médisance qui nous est proposée par ce quatrain de Djamâl d’Ispahan : s’il ne faut pas médire ce n’est plus parce que celui dont on médit est un miroir, mais pour être soi-même un bon miroir.

7 janvier

07 dimanche Jan 2018

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Omar Khayyâm

Tout ce que tu me dis procède de ta haine.
Tu ne cesse de m’appeler hérétique, homme sans foi.
Moi, j’avoue être tel que je suis.
Sois juste, peux-tu en dire autant quant à toi ?

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian : 616

 

Ne pas contrarier les ânes ou l’art de cohabiter avec les idiots

29 samedi Oct 2016

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Omar Khayyâm

Avec ces deux ou trois ignorants qui, dans leur aveuglement,
Se prennent pour les plus savants de l’univers!
Fais l’idiot, car ceux-ci dans leur idiotie
Prennent pour infidèle quiconque n’est point âne comme eux !

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian : 414

Lettres persanes et destin des chairs

28 dimanche Août 2016

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brièveté de la vie, métaphore, Omar Khayyâm, sens de la vie, vin

J’avais cité, l’année dernière, un extrait de La chouette aveugle de Sadegh Hedayat dans lequel le narrateur s’inquiétait que les atomes composant son corps se mêlent, après sa mort, aux atomes de la canaille. Je retrouve un souci comparable du sort des composantes du corps parmi les quatrains attribués à Omar Khayyâm avec une différence majeure cependant : le poète exprime à ce sujet un souhait plutôt qu’un crainte :

Si vous êtes mes amis, mettez un terme à vos balivernes.
Soulagez mes chagrins avec le vin !
Quand je serai mort, faites une brique de ma poussière
Et placez là dans une fente du mur de la taverne !

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian : Quatrain n°353

Le jour où l’on m’aura rendu étranger à moi-même ;
Où l’on se souviendra de ma vie comme d’une légende ;
Alors j’aimerais – oserai-je le dire ? –
Que l’on fasse de mon argile la coupe et la cruche !
363

Ces souhaits du poète quant au destin de ses cendres couronnent une célébration du vin omniprésente dans ses quatrains ; on peut d’ailleurs les placer dans le prolongement des vœux concernant les rites funéraires :

Quand je serai mort, lavez-moi avec du vin.
Que mon extrême onction ne soit faite que de vin pur.
Si vous venez me trouver au jour de la Résurrection,
Venez me chercher dans la poussière au seuil de la taverne.
156

Veillez à me sustenter de vin,
Et changez en rubis l’ambre de mon visage,
Quand je serai mort, lavez-moi de vin,
Et faites mon cercueil du bois de la vigne !
216

omar-khayyam1Ces souhaits n’ont rien de foncièrement surprenants : on pense aux marins ou aux alpinistes qui demandent à ce que leurs cendres soient dispersées en mer ou en montagne pour rejoindre par delà leur mort le lieu ou s’exerçait l’activité qui donnait sens à leur vie (il est vrai que dans le cas Khayyâm, il s’agit plutôt, en buvant du vin, de conjurer l’absence de sens de l’existence). Ce qui peut davantage nous étonner, c’est que cette continuité entre la vie et la mort se réalise par la « réincarnation » en un objet utilitaire : cruche ou coupe ; d’une part nous sommes plus habitués à des vœux de dispersion dans un espace naturel, d’autre part la transformation de restes humains en objets fonctionnels ou de consommation nous apparaît plutôt comme un manque de respect envers le défunt (il est vrai que dans les cas réels ou fictifs auxquels on pense, cette transformation n’est pas la réalisation d’un vœu du défunt).  Certains quatrains suggèrent que cette « réincarnation »  en cruche ouvre la voie à une forme de résurrection lorsque l’objet entrera en usage :

Lorsque, la tête basse, je me trouverai au pied de la mort
Et que celle-ci m’aura déplumé comme un pauvre oiseau,
Alors, gardez-vous de faire de mon argile autre chose qu’une carafe ;
Car, peut-être alors, pris de vin, je recommencerai un instant de vivre !
203

Le jour ou le jet de l’arbre de ma vie sera déraciné ;
Et que les molécules de mon corps seront dispersées aux quatre vents
Alors, si l’on refaisait une carafe de mon argile,
Elle reprendrait vie dès qu’on l’aurait remplie de vin.
209

On doit également signaler des quatrains dans lesquels cette prolongation de la vie par delà la mort se réalise en affectant les autres, que ce soit matériellement en les enivrant :

Je vais boire tant et tant de vin que l’odeur
En montera de ma tombe.
Et lorsqu’un buveur y passera
Du seul parfum il tombera ivre mort !
157

ou psychologiquement en donnant un exemple de la vie à mener :

Quand je serai mort, faites disparaître ma poussière.
Et faites en sorte que je serve d’exemple aux gens.
Pétrissez mes cendres avec du vin
Et faites en une brique pour couvrir la cruche.
155

Mais les vœux concernant le sort post mortem des atomes du poète-buveur ne forment qu’un des aspects du traitement du thème de la destinée des restes humains (leur devenir-argile ou poussière). Examinons les autres perspectives sous lesquelles cette question est abordée.

Notons d’abord que le devenir-brique ou le devenir-cruche des restes du poète ne sont pas évoqués seulement en tant qu’objet de souhait mais aussi en tant qu’objet de prévisions. Certains quatrains expriment cette anticipation sans en tirer explicitement de conclusion (48, 329, 532) mais d’autres font de l’anticipation de ce destin une incitation à profiter du temps dont nous disposons :

Livre-toi à la gaieté, car le chagrin sera immense :
Il y aura dans le ciel la conjonction des étoiles.
La brique que l’on fera de ta poussière
Servira à construire le mur de la demeure d’autrui.
177

La boucle se retrouve bouclée quand la considération de notre destin de cruche devient une justification de l’acte de boire du vin :

Bois du vin car ton corps sera réduit en poussière.
De cette poussière on fera des coupes et des cruches.
Ne te soucie guère de l’enfer, du paradis ;
Pourquoi le sage tirerait-il vanité d’une telle vie ?
291

Jusqu’à quand la mosquée, la prière et le jeûne ?
Dusses-tu mendier, enivre-toi à la taverne.
O Khayyâm ! Bois du vin, car de cette terre (dont tu es pétri)
On fera tantôt des jarres, tantôt des coupes, tantôt des cruches !
374

Jusqu’à quand serons-nous prisonniers de notre raison de tous les jours ?
Qu’importe que nous demeurions cent ans ou un seul jour en ce monde ?
Donne moi du vin dans un bol avant que
Nous ne soyons transformés en cruche dans l’atelier des potiers !
459

omark2

Dans les quatrains précédemment cités, le devenir-argile et le devenir-poussière (et indirectement le devenir brique ou cruche) sont envisagés dans le sens amont-aval : le poète se projette, sur le mode du souhait ou de l’anticipation, dans l’avenir des composantes de son corps. Mais on peut également considérer une autre série de quatrains  qui appréhendent ce devenir dans le sens aval-amont : le  poète part du spectacle d’une cruche, du travail d’un potier ou simplement de la terre et de la poussière et « remonte » à l’humain qui est devenu  – ou a pu devenir – cela. La clairvoyance qui permet de discerner l’humain dans l’argile n’est pas donnée à tout le monde (même ceux qui se souviennent que l’homme deviendra poussière oublient la relation converse) :

Je suis passé, avant-hier, près d’un potier,
Dont les doigts, modelant l’argile, ne cessaient de faire merveille.
J’ai vu comme tout un chacun, même si l’aveugle n’a rien su voir,
La poussière de mon père entre les mains du potier!
106

Dans les quatrains qui traitent ce thème de l’identification de l’humain dans l’argile, ce sont souvent des hommes puissants ou de belles femmes que le poète reconnaît :

Ô sage vieillard ! lêve-toi le matin de bonne heure ;
Et regarde bien cet enfant qui crible la terre.
Conseille le de cribler doucement
Le cerveau de Key-Qobad et l’oeil de Parviz !
49

Chaque molécule que l’on retrouve sur terre
Fut jadis un minois aussi beau que le soleil, une vénusté.
Époussette pudiquement de ta manche la poussière,
Car elle fut aussi visage et chevelure d’une douce créature!
314

Cet exercice de de reconnaissance de l’humain dans l’argile, ne pourrait-il pas être rapproché des procédés stoïciens de redescription,  chaque fragment du sol comme chaque objet en terre cuite adressant à qui sait voir un memento mori ? En fait deux types d’enseignement sont étayés sur cette « remontée » de la terre à l’homme. D’une part en effet, cette identification de l’humain dans l’argile sert à rappeler à l’homme le caractère éphémère des puissances et des beautés d’ici-bas qui sont vouées à l’abaissement :

La terre foulée sous le pied de tout ignorant
provient de la chevelure d’une idole, des sourcils d’une femme aimée.
Toute brique que l’on voit sur le créneau d’un palais
Fut le doigt d’un vizir, la tête d’un sultan !

181

Cette cruche dont se sert à boire tout tâcheron
Se compose de l’œil d’un roi et du cœur d’un ministre
Chaque coupe de vin que prend en main toute ivrogne
provient de la joue d’un homme ivre, des lèvres d’une femme pudique !

69

Mais d’autres quatrains semblent inverser la perspective : il ne s’agit plus de rabaisser par avance les grandeurs et les beautés vouées à devenir argile mais de conserver pour ce qui est devenu argile quelque chose du respect qu’on avait pour la forme antérieure :

Cette coupe, fabriquée avec tant d’art,
(A présent) est brisée et jetée dans tous les coins de rue.
Garde-toi de la fouler avec dédain :
C’est une coupe faite de crânes.
71

Plusieurs quatrains donnent même la parole à l’argile ou à la cruche pour réclamer le respect et rappeler à celui qui les « maltraite » qu’elles furent ce qu’il est ou qu’il sera ce qu’elles sont :

Je vis un homme seul sur la terrasse d’un manoir
Qui foulait avec dédain, sous ses pieds de l’argile.
Et cette argile, dans son propre langage, semblait lui dire :
« Hé ! arrête ; tu seras foulé aussi comme moi tant. »
190

Hier, au bazar, j’ai vu un potier,
Donnant force coups de pied à l’argile.
et celle-ci semblait lui dire dans son propre langage :
« j’ai été comme toi. traite-moi bien! »
207

Hier soir, j’ai brisé une cruche de faïence sur une pierre.
J’étais ivre quand je me suis livré à une voie de fait.
La cruche semblait me dire dans son propre langage :
« J’étais comme toi ; tout ce que je veux, c’est que tu sois réduit à mon état! »
105

Problème de théodicée en dix quatrains

19 vendredi Août 2016

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour, Divers vers

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Omar Khayyâm, théodicée

jugement dernierLe jour où fut scellé le coursier du ciel,
Où furent parés les pléiades et Jupiter ;
C’est ce jour là que la Cour du Destin fixa notre lot.
A qui donc la faute si telle est la part qui nous échut !

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian : Quatrain n°8

La Plume ayant tracé mon destin à mon insu,
Pourquoi donc est-ce que l’on m’attribue le bien et le mal?
Hier, sans moi, aujourd’hui comme hier, sans moi ni toi ;
Pourquoi, demain, serai-je appelé devant le Juge suprême?

ibid. 112

C’est Toi le Créateur ; tu m’as créé tel que je suis :
Tout épris du vin et de la chanson.
Puisque c’est Toi qui m’as façonné ainsi au jour de la création,
Pourquoi donc m’as-Tu damné, pourquoi ?

ibid . 180

A nous le vin et l’aimée ; à vous le couvent et le temple.
Nous sommes promis au feu de l’enfer ; vous autres vous aurez votre place au paradis!
Dites ! Est-ce ma faute si au jour de la création,
Le Peintre éternel a ainsi croqué mon image sur la tablette céleste ?

ibid. 295

O Dieu ! c’est Toi qui a pétri mon argile, qu’y puis-je faire ?
Cette laine et ce lin, c’est toi qui les a filés, qu’y puis-je faire ?
Tout bien et tout mal qui procèdent de moi,
C’est Toi qui les a inscrits sur mon front, qu’y puis-je faire ?

ibid. 340

Bien que l’amour soit un fléau, ce fléau procède de la volonté de Dieu.
Ainsi, pourquoi les hommes reprennent-ils la volonté divine?
Si le bien et le mal commis par les créatures ont leur origine dans les décrets de la Providence,
Pourquoi, donc, dois-je rendre des comptes au Jour du jugement ?

ibid. 462

Le Chasseur éternel, après avoir tendu son piège
Y prit un gibier auquel il donna le nom d’Adam.
Bien qu’il soit à l’origine de tout bien et de tout mal perpétré ici-bas,
Il rend responsable tout un chacun !

ibid. 484

Lorsque Dieu a pétri l’argile de mon corps,
Il connaissait les actes auxquels je me livrerai.
Tout péché que je commets procède de son commandement.
Pourquoi donc me brûler au jour du jugement?

ibid. 505

C’est Toi qui sais arranger les affaires des vivants et des morts.
C’est Toi qui disposes de cette roue désordonnée des cieux,
Bien que je sois répréhensible, c’est Toi qui es mon maître.
A qui donc la faute ? N’est-Tu pas, Toi le Créateur ?

ibid. 540

Le chant du coq réinterprété

28 jeudi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour, Divers vers

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brièveté de la vie, Omar Khayyâm

A l’aube, le coq matinal, sais-tu pourquoi
Il entonne à chaque instant son chant funèbre ?
C’est pour te dire que l’on vient d’indiquer dans le miroir du matin :
Qu’une nuit est retranchée de ta vie et que tu l’ignores.

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian : 498

Mise en garde

13 mercredi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour, Divers vers

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désillusion, Omar Khayyâm

Prends garde : le monde est là pour nous plonger dans la détresse ;
Ne dors point sur tes deux oreilles : le glaive du temps est acéré.
Si le sort met dans ta bouche des sucreries,
Garde toi de les avaler : elles sont empoisonnées.

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian 327

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