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Archives de Tag: nazisme

Les gens sont rancuniers quand même …

06 lundi Mai 2019

Posted by patertaciturnus in 7e art

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nazisme, rancune, Roberto Rosselini

Roberto Rosselini, Allemagne année zéro

Le personnage qui parle est un ancien soldat de la Wehrmacht qui a combattu jusqu’au dernier moment et qui vit caché dans sa famille de peur d’être envoyé en camp de prisonnier.

Je ne suis pas convaincu qu’une personne dans cette situation se serait exprimée de cette manière. L’expression « victime du fascisme » me semble impliquer un point de vue extérieur : c’est pour les adversaires du IIIe Reich que le nazisme est une variante du fascisme.

La conscience artistique de Leni

17 dimanche Mar 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

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art, Leni Riefenstahl, Lilian Auzas, nazisme, propagande

Revenons à La Trilogie de Nuremberg de Lilian Auzas, dont j’ai parlé hier, pour examiner deux extraits qui illustrent ce qu’on pourrait nommer le primat de la conscience artistique de la réalisatrice allemande sur sa conscience idéologique.

D’une part Lilian Auzas souligne que Leni Riefenstahl est restée artistiquement insatisfaite de son premier film pour les nazis en dépit de la satisfaction de ses commanditaires.

La cinéaste fut toujours mécontente de ce film [Triomphe de la foi] d’un point de vue artistique. Elle le qualifie de « pellicules exposées autrement dit de gaspillage. Il est certain que comparé au prochain film sur le Congrès de 1934, Triumph des Willens(Triomphe de la Volonté, 1935), Victoire de la Foi est plein de carences. L’on s’aperçoit du désordre ambiant dans chaque scène, de l’arythmie de certaines marches, et de l’anarchie dans l’organisation. Victoire de la Foi n’est qu’une esquisse, un essai où Leni Riefenstahl a expérimenté des points de vue et des montages qu’elle sublimera dans son prochain film.

En assistant à une projection du film en salle, je me sentis très insatisfaite ce qui passait là sur l’écran n’était pour moi qu’une vague ébauche très incomplète et ne méritait pas le nom de film.Mais cela avait l’heur de plaire au public, peut-être parce que c’était de toute façon plus intéressant que les bandes d’actualités habituelles. […] En ce qui me concerne, je n’ai jamais accordé à cette chose qui se prétendait un film de moi l’honneur de le visionner une seconde fois. Il ne me reste qu’à sourire en haussant les épaules lorsque je lis à l’occasion dans un article de presse que ce film aurait été tourné avec des moyens techniques « colossaux , Et que j’aurais moi-même interdit sa projection après 1945.

C’est évidemment l’artiste qui s’exprime dans ses lignes et un goût amer lui reste encore à la simple évocation de cette œuvre une cinquantaine d’années plus tard. […]

Quoi qu’il en soit, les membres du NSDAP sont enthousiastes, Leni Riefenstahl a eu le mérite d’ « apporter quelque chose« . En effet, elle veut s’éloigner du reportage et cherche pour cela à recréer une ambiance et une atmosphère. Leni Riefenstahl est sans doute la plus lucide sur le succès de ce moyen-métrage lorsqu’elle confie à Ray Müller la raison pour laquelle ses commanditaires étaient satisfaits:

« Enfin, oui ils [les nazis] étaient contents de n’importe quelle bande d’actualités, pourvu qu’il y ait un drapeau à croix gammée. Donc ça ne veut rien dire ».

En revanche, considérant son second film comme une réussite artistique elle continue à en revendiquer la pleine paternité (ou faut-il dire maternité) jusqu’après la guerre.

Et jusqu’à la fin de sa vie, Leni Riefenstahl se battra pour garder les intérêts du Triomphe de la Volonté lorsque celui-ci était diffusé en de diverses occasions lors de séminaires et autres festivals cinématographiques. Ce film était le sien. Leni Riefenstahl voulait gagner de l’argent et faire valoir ses droits artistiques dès que des extraits du Triomphe de la Volonté étaient utilisés comme ce fut le cas, par exemple, pour le film d’Erwin Leiser, Mein Kampf (Mon Combat) à la fin des années soixante.

Il est intéressant de constater que ce qui peut passer pour un chef d’œuvre du cinéma de propagande ait été réalisé par une artiste qui n’avait pas une conception purement propagandiste de son activité et qui avait le sens de l’autonomie des critères artistiques d’appréciation. Peut-être est ce d’ailleurs la condition de l’efficacité des œuvres de propagande que leurs auteurs soient animés par des exigences proprement artistiques.

Anti-nazi ou misogyne ?

16 samedi Mar 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

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féminisme, Leni Riefenstahl, Lilian Auzas, misogynie, nazisme

Ayant récemment eu à faire des recherches sur l’art nazi, j’ai lu La Trilogie de Nuremberg de Lilian Auzas. L’auteur qui a précédemment écrit une biographie de Leni Riefenstahl se focalise sur trois films tournés par la réalisatrice entre 1933 et 1935 : le premier des films de la trilogie est Triomphe de la foi un film consacré au congrès nazi de Nuremberg en 1933, celui de 1934 fait l’objet du second volet : le célèbre Triomphe de la volonté, le troisième film est Jour de liberté, un court-métrage de 1935 à la gloire de la Wehrmacht.

L’ouvrage ne développe pas autant que je l’espérais l’analyse esthétique des  productions de Riefenstahl et de leurs relations avec l’idéologie nazie, il est cependant intéressant par ce qu’il raconte de la manière dont Riefenstahl s’est fait une place dans le système établi  à partir de 1933. J’ai ainsi eu la surprise de découvrir que, dans le panier de crabes nazi, des rivaux de la réalisatrice avait fait courir la rumeur que sa mère était une »demi-juive ». L’auteur consacre également plusieurs pages à démonter les mensonges rétrospectifs de la réalisatrice concernant ses relations avec le propagandiste et gauleiter nazi Julius Streicher.  C’est une autre anecdote un peu longuement narrée par l’auteur que je voudrais donner un aperçu :

Elle ne souhaite pas revivre les aléas misogynes de Victoire de la foi. C’est pourquoi dès le départ Leni Riefenstahl sort ses griffes. Et lorsque l’opérateur Schünenannm refuse de travailler sous ses ordres, elle écrit aussitôt à la Chambre du cinéma une lettre de dénonciation datée du 17 août 1934:

Monsieur Auen,
Comme vous l’avez peut-être entendu dire, je tourne actuellement, à la demande du Führer, un film sur le Jour du parti de 1934. J’ai besoin de cameramen pour Nuremberg j’ai donc demandé à plusieurs associations de me communiquer noms et adresses. Parmi ces noms figurait celui de Monsieur Schünemann. Ma secrétaire lui a téléphoné et il a répondu qu’il était occupé mais il a demandé de quel film il s’agissait.
Ma secrétaire lui a alors répandu qu’il s’agissait du film sur le Jour du parti. Il a voulu savoir si c’était le film que Leni Riefenstahl était en train de faire. Elle a répandu affirmativement et Monsieur Scbünnemann a déclaré qu’il ne participerait pas à ce film. C’était une question de principe. Cela porterait atteinte à sa dignité.
J’estime que ce genre de réponse est une insulte à la tâche qui m’a été confiée par le Führer. Il est de mon devoir de vous le communiquer en vous suggérant de faire quelque chose.

[…]

Le 21 août, soit quatre jours après la plainte de Leni Riefenstahl, Emil Schünemann est contraint de livrer des explications à la Chambre. Dans une lettre datée du 23, ce dernier affirme que  « la plainte de Mademoiselle Riefenstahl est totalement injustifiée » ; toutefois, il reste très évasif sur la raison pour laquelle il refuse de travailler sur Le Triomphe de la Volonté: « je n’ai rien fait d’autre que de refuser à travailler sous la direction artistique de Mademoiselle Riefenstahl. Ma déclaration ne concerne que ce point précis. » Ces propos ne convainquent pas la Chambre qui, le jour même, lui ordonne de se justifier sur son refus. Le 25 août, Emil Schünemann explique alors que tout cela n’est pas d’ordre politique, mais dicté par sa misogynie : travailler pour une femme serait porter atteinte à sa dignité, explique-t-il. La Chambre cinématographique du Reich accepte cette discrimination et n’inquiétera plus le caméraman.

Après la guerre Schünemann donne une autre version des raisons de son refus de travailler sur le Triomphe de la volonté.

En janvier 1949, Emil Schünemann écrivit de même une lettre au journal Die Welt qui suivait de près la dénazification de Leni Riefenstahl. Il y prétend que ses véritables motivations étaient bel et bien d’ordre politique.

J’ai jadis déclare en effet, qu’il était contraire à ma dignité de faire des films de propagande de cette sorte. Cette remarque m’avait mis en danger. Je donnai alors un tout autre sou à mes paroles sur le conseil de M. Alberti, qui dirigeait la section culturelle et sous les ordres de qui se trouvait Monsieur Auen je déclarai que ma dignité m’interdisait de travailler sous les ordres de Leni Riefenstahl. Cette dernière avait reçu du Führer une maison de Dahlem. Elle admettait aussi que le Führer la reçût sans rendez-vous. A ce moment-là, elle aurait été fort heureuse de me livrer à la Gestapo si M. Alberti ne m’avait pas protégé.

Lilain Auzas ne semble pas très convaincu par cette version des faits qui a pourtant, nous dit-il, été acceptée par « beaucoup d’historiens ». Je vous laisse juger de ses arguments.

« Pourtant, le premier courrier de Leni Riefenstahl démontre bien que c’est lorsque son nom est prononcé que Schünemann refuse catégoriquement. En outre, il est étonnant qu’un membre de la Chambre culturelle du Reich prenne la défense d’un opposant politique, surtout compte-tenu du contexte. Enfin, dans cette lettre d’Après-Guerre, Schünemann anticipe et extrapole des événements postérieurs à 1934: Leni Riefenstahl n’avait pas encore de villa à Dahlem, quartier résidentiel de Berlin ; et Le Triomphe de la volonté n’étant pas encore réalisé, la cinéaste n’était pas l’archange du Troisième Reich comme la postérité a pu la décrire. Enfin, Leni Riefenstahl fréquentait beaucoup de gens avec lesquels elle était en désaccord sur le plan politique sans les dénoncer pour autant, tels Heinz von Jaworsky ou Hans Schneeberger. Elle prendra même la défense de Künneke, un compositeur d’opérettes juif, auprès de Goebbels. Il semble donc plus probable que Schünemann ne voulait pas travailler pour Leni Riefenstahl pour des raisons personnelles comme il l’avait lui-même déjà indiqué en 1934. On oublie souvent qu’Emil Schünemann fut opérateur sur de nombreux films entre 1933 et 1945, et notamment dans deux grosses productions du Troisième Reich : Die Reiter von Deutsch-Ostafrika (Les Cavaliers d’Afrique orientale allemande d’Herbert Selpin, 1934) et Hände hoch! (Haut les mains ! d’Alfred Weidenmann, 1942). »

 

Simone Weil ou Hans Scholl ?

23 jeudi Août 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures

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châtiment, La Rose Blanche, nazisme, Simone Weil

« Nous savons que le pouvoir national-socialiste doit être détruit par les armes ; mais le renouveau de cet esprit allemand si dégénéré, nous l’escomptons d’abord de l’intérieur. Ce réveil doit précéder l’exacte reconnaissance de toutes les fautes dont s’est chargé notre peuple ; il doit également précéder le combat contre Hitler et ses innombrables acolytes, membres du parti, et autres traîtres. Aucune peine sur terre, si grande soit-elle, ne pourra être prononcée contre Hitler et ses partisans. Une fois la guerre finie, il faudra, par souci de l’avenir, châtier durement les coupables pour ôter à quiconque l’envie de recommencer jamais une pareille aventure.

N’oubliez pas non plus les petits salopards de ce régime, souvenez-vous de leurs noms, que pas un d’entre eux n’échappe ! Qu’ils n’aillent pas, au dernier moment, retourner leur veste, et faire comme si rien ne s’était produit. »

IVe Tract de la Rose Blanche
rédigé par Hans Scholl et Alexander Schmorell en juin juillet 1942

*

« On parle de châtier Hitler. Mais on ne peut pas le châtier. Il désirait une seule chose et il l’a : c’est d’être dans l’histoire. Qu’on le tue, qu’on le torture, qu’on l’enferme, qu’on l’humilie, l’histoire sera toujours là pour protéger son âme contre toute atteinte de la souffrance et de la mort. Ce qu’on lui infligera, ce sera inévitablement de la mort historique, de la souffrance historique ; de l’histoire. […] Quoi qu’on inflige à Hitler, cela ne l’empêchera pas de se sentir un être grandiose. Surtout cela n’empêchera pas, dans vingt, cinquante, cent ou deux cents ans, un petit garçon rêveur et solitaire, allemand ou non, de penser qu’Hitler a été un être grandiose, a eu de bout en bout un destin grandiose, et de désirer de toute son âme un destin semblable. En ce cas, malheur à ses contemporains.

Le seul châtiment capable de punir Hitler et de détourner de son exemple les petits garçons assoiffés de grandeur des siècles à venir, c’est une transformation si totale du sens de la grandeur qu’il en soit exclu.

C’est une chimère, due à l’aveuglement des haines nationales, que de croire qu’on puisse exclure Hitler de la grandeur sans une transformation totale, parmi les hommes d’aujourd’hui, de la conception et du sens de la grandeur. Et pour contribuer à cette transformation, il faut l’avoir accomplie en soi-même. Chacun peut en cet instant même commencer le châtiment d’Hitler dans l’intérieur de sa propre âme, en modifiant la distribution du sentiment de la grandeur. C’est loin d’être facile, car une pression sociale aussi lourde et enveloppante que celle de l’atmosphère s’y oppose. Il faut, pour y parvenir, s’exclure spirituellement de la société. »

[…]

« Pour avoir le droit de punir les coupables, il faudrait d’abord nous purifier de leur crime, contenu sous toutes sortes de déguisements dans notre propre âme. Mais si nous réussissons cette opération, une fois qu’elle sera accomplie nous n’aurons plus aucun désir de punir, et si nous croyons être obligés de le faire, nous le ferons le moins possible et avec une extrême douleur. »

Simone Weil, L’enracinement (1943)

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