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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: Merleau-Ponty

Misère du compagnon de route

22 samedi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

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bricolage intellectuel, Friedrich Engels, marxisme, Merleau-Ponty

Je n’ai jamais lu les Marxismes imaginaires de Raymond Aron mais j’imagine que le Merleau-Ponty d’Humanisme et terreur doit y être épinglé. Et si ce n’est pas le cas, l’extrait ci-dessous le mérite largement.

« Les fondements de la politique marxiste doivent être cherchés simultanément dans l’analyse inductive du fonctionnement économique et dans une certaine intuition de l’homme et des relations interhumaines. « Être radical, dit un texte célèbre de Marx c’est prendre les choses par la racine. Or, la racine pour l’homme est l’homme lui-même. » La nouveauté de Marx n’est pas de réduire les problèmes philosophiques et les problèmes humains aux problèmes économiques, mais de chercher dans ces derniers l’équivalent exact et la figure visible des premiers. On a pu dire sans paradoxe que le Capital est une « Phénoménologie de l’Esprit concrète » c’est-à-dire qu’il s’agit indivisiblement du fonctionnement de l’économie et de la réalisation de l’homme. Le nœud des deux ordres de problèmes se trouve dans cette idée hégélienne que chaque système de production et de propriété implique un système de relations entre les hommes de sorte que nos relations avec autrui se lisent dans nos relations avec la nature et nos relations avec la nature dans nos relations avec autrui. On ne peut saisir en définitive toute la signification d’une politique marxiste sans revenir à la description que Hegel donne des rapports fondamentaux entre les hommes.

« Chaque conscience, dit-il, poursuit la mort de l’autre. » Notre conscience, étant ce qui donne sens et valeur à tout objet pour nous saisissable, est dans un état naturel de vertige, et c’est pour elle une tentation permanente de s’affirmer aux dépens des autres consciences qui lui disputent ce privilège. Mais la conscience ne peut rien sans son corps et ne peut quelque chose sur les autres qu’en agissant sur leur corps. Elle ne les réduira en esclavage qu’en faisant de la nature une annexe de son corps, en se l’appropriant et en y établissant les instruments de sa puissance. L’histoire est donc essentiellement lutte, — lutte du maître et de l’esclave, lutte des classes, — et cela par une nécessité de la condition humaine et en raison de ce paradoxe fondamental que l’homme est  indivisiblement conscience et corps, infini et fini. Dans le système des consciences incarnées, chacune ne peut s’affirmer qu’en réduisant les-autres en objets. »

Merleau-Ponty, Humanisme et terreur, Gallimard/idées, p. 203 – 204

Je ne sais s’il faut parler de candeur ou de désinvolture pour qualifier cette tentative de donner des fondements hégéliens à la politique marxiste. Le moins que l’on puisse dire c’est que le bricolage intellectuel n’est pas convaincant non seulement parce que le « fondement » proposé consiste ici dans une resucée confuse de la dialectique hégélienne du maître et de l’esclave relue par Kojève, mais encore parce que ces fondements pseudo-hégéliens sont en contradiction manifeste avec des thèses cardinales du marxisme. Ainsi en va-t-il de cette audacieuse transformation de la relation de détermination de la superstructure par l’infrasctructure économique en relation d’entre-expression. De même la manière dont Merleau-Ponty présente la genèse de la relation maître esclave correspond-t-elle à ce qui est très exactement rejeté par Engels quand il aborde le sujet dans l’Anti-Dühring :

« Admettons pour un instant que M. Dühring ait raison de dire que toute l’histoire jusqu’à ce jour peut se ramener à l’asservissement de l’homme par l’homme ; nous sommes encore loin pour autant d’avoir touché au fond du problème. Car on demande de prime abord : comment Robinson a-t-il pu en arriver à asservir Vendredi ? Pour son simple plaisir ? Absolument pas. Nous voyons au contraire que Vendredi

est enrôlé de force dans le service économique comme esclave ou simple instrument et qu’il n’est d’ailleurs entretenu que comme instrument.

« Robinson a seulement asservi Vendredi pour que Vendredi travaille au profit de Robinson. Et comment Robinson peut-il tirer profit pour lui-même du travail de Vendredi ? Uniquement du fait que Vendredi produit par son travail plus de moyens de subsistance que Robinson n’est forcé de lui en donner pour qu’il reste capable de travailler. Donc, contrairement aux instructions expresses de M. Dühring, Robinson n’« a pas pris le groupement politique » qu’établissait l’asservissement de Vendredi « en lui-même comme point de départ, mais l’a traité exclusivement comme un moyen pour des fins alimentaires ». — A lui maintenant de s’arranger avec son maître et seigneur M. Dühring.

Ainsi l’exemple puéril que M. Dühring a inventé de son propre fonds pour prouver que la violence est « l’élément historique fondamental », prouve que la violence n’est que le moyen, tandis que l’avantage économique est le but. Et dans la mesure où le but est « plus fondamental » que le moyen employé pour y parvenir, dans la même mesure le côté économique du rapport est plus fondamental dans l’histoire que le côté politique. L’exemple prouve donc exactement le contraire de ce qu’il doit prouver. Et ce qui se passe pour Robinson et Vendredi, se passe de même pour tous les cas de domination et de servitude qui se sont produits jusqu’ici. L’oppression a toujours été, pour employer l’élégante expression de M. Dühring, « un moyen pour des fins alimentaires » (ces fins alimentaires étaient prises dans le sens le plus large), mais jamais ni nulle part un groupement politique introduit « pour lui-même ».

Postérité ?

22 dimanche Mai 2016

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Julien Gracq, Malek Haddad, Merleau-Ponty, postérité

Silence !

A la frontière du talent
Un gabelou fait son boulot
Une idée passe la frontière
Elle n’a rien à déclarer

La putain sur papier vélin!
Mais je t’avertis ma vieille
Dans les poubelles de l’oubli
L’Histoire jettera
Les mégots littéraires
Et les clairons rouillés

Malek Haddad, Le malheur en danger

*

« Personne, sans doute, n’écrit réellement pour la postérité (dont il n’est au pouvoir de personne, en 1964, de deviner quelle figure elle pourra bien prendre, ne fût-ce que dans quelques années). je ne crois pas non plus que la postérité soit pour l’écrivain une « illusion commode » je crois qu’il en use, plutôt,  sans y croire vraiment, comme d’un artifice de procédure pour maintenir son procès ouvert – un procès qu’il ne peut envisager réellement de perdre : ainsi Jeanne d’Arc en appelait au pape et Luther au concile sans excès de conviction, m’a-t-il toujours semblé. La vérité est qu’il y a probablement dans l’écrivain, à certains moments privilégiés où il tourne vers ce qu’il fait un regard qui lui paraît naïvement intemporel, un fou qui sait, qui a raison contre tous les autres, présents ou futurs, et à qui la postérité même apparaît pour le juger sans justification suffisante. La postérité avec ses goûts et ses jugements, ce n’est après tout que la littérature militante de demain  – lui, dans ses grands moments, il est sur un autre plan : il s’intègre d’emblée à la littérature triomphante. »

Julien Gracq, Lettrines, Pléïade, Oeuvres complètes II p. 190

*

« Le peintre ou le politique forme les autres bien plus qu’il ne les suit, le publie qu’il vise n’est pas donné, c’est celui que son œuvre justement suscitera, – les autres auxquels il pense ne sont pas « les autres » empiriques, définis par l’attente « ils tournent en ce moment vers lui (et encore moins l’humanité conçue comme une espèce qui aurait pour elle la « dignité humaine » ou « l’honneur d’être homme » ainsi que d’autres espèces ont la carapace ou la vessie natatoire), – ce sont les autres devenus tels qu’il puisse vivre avec eux. L’histoire à laquelle l’écrivain s’associe (et d’autant mieux qu’il ne pense pas trop à « faire historique », à marquer dans l’histoire des lettres, et produit honnêtement son œuvre), ce n’est pas un pouvoir devant lequel il ait à plier le genou, c’est l’entretien perpétuel qui se poursuit entre toutes les paroles et toutes les actions valables, chacune de sa place contestant et confirmant l’autre, chacune recréant toutes les autres. L’appel au jugement de l’histoire n’est pas appel à la complaisance du public, – et encore moins, faut-il le dire, appel au bras séculier : il se confond avec la certitude intérieure d’avoir dit ce qui dans les choses attendait d’être dit, et qui donc ne saurait manquer d’être entendu par X… Je serai lu dans cent ans, pense Stendhal. Ceci signifie qu’il veut être lu, mais aussi qu’il consent à attendre un siècle, et que sa liberté provoque un monde encore dans les limbes à se faire aussi libre que lui en reconnaissant comme acquis ce qu’il a eu à inventer. Ce pur appel à l’histoire est une invocation de la vérité, qui n’est jamais créée par l’inscription historique, mais qui l’exige en tant que vérité. Il n’habite pas seulement la littérature ou l’art, mais aussi toute entreprise de vie. »

M. Merleau-Ponty, Signes

Pour rectifier un intitulé abusif

25 samedi Jan 2014

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour, Perplexités et ratiocinations

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Elias Canetti, Lichtenberg, Merleau-Ponty, Ramón Gómez de la Serna

Me voyant reprocher à juste titre l’intitulé dont mon enthousiasme m’a fait chapeauter un aphorisme de Ramón Gómez de la Serna, je me dois de faire pénitence en relativisant la portée de la citation initiale avec moult aphorismes fournis par d’autres fournisseurs officiels de ce blog.

Si en lisant ceci :

Lis et réfléchis, car tu auras des siècles pour ne pas le faire.

vous vous apprêtiez à conclure qu’il faut passer sa vie à lire et réfléchir, n’oubliez pas de prendre en compte ce qui suit.

« L’abondance de lecture a attiré sur nous une érudite barbarie »

Lichtenberg, Le miroir de l’âme p.325

« plus je pense à des objets différents et cherche à les mettre en rapport avec mon expérience et ma philosophie, plus je gagne en force. Avec la lecture, il en va autrement : je m’étends sans me renforcer. […] » ibid. p.359

« L’abondance de lecture fait le prétentieux et le pédant ; voir beaucoup de choses rend sage conciliant et utile.[…] » ibid. p369

« Je crois que certains des plus grands esprits ayant jamais vécu n’avaient lu que les moitiés des livres et savait bien moins de choses que plusieurs de nos érudits moyens. Et bon nombre de nos très médiocres érudits eussent pu devenir de grands hommes, s’ils avaient moins lu. » ibid. p.505

« C’est un art que de lire suffisamment peu. »

Elias Canetti, Le collier de mouches
Albin Michel 1995, p.34

*

On pourrait multiplier les citations en ce sens, si bien qu’on peut affirmer que le lecteur boulimique devrait fatalement finir par tomber sur un auteur qui le met en garde contre l’excès de lecture ou contre le mauvais rapport à la lecture. Ainsi, le problème de madame Bovary ce n’est pas d’avoir trop lu, c’est de ne pas avoir pu lire Flaubert.

De même que nombre de lectures nous préviennent contre la lecture, nombre de réflexions nous incitent – au nom de divers motifs –  à limiter la place de la réflexion. Pour citer encore mon cher Canetti :

« On devrait s’obliger à ne plus penser pendant des années pour permettre à toutes les parties de soi-même laissées à la traîne de rattraper l’avant-garde. »

Le collier de mouches p.45

Le topos philosophique du remède dans le poison, se décline ici dans l’idée que la réflexion trouve son achèvement dans la reconnaissance de ses propres limites et de son enracinement dans autre chose qu’elle même :

« La réflexion ne peut être pleine, elle ne peut être un éclaircissement total de son objet, si elle ne prend pas conscience d’elle-même en même temps que de ses résultats. Il nous faut non seulement nous installer dans une attitude réflexive, dans un Cogito inattaquable, mais encore réfléchir sur cette réflexion, comprendre la situation naturelle à laquelle elle a conscience de succéder et qui fait donc partie de sa définition […] »

Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception, p.75

Je terminerai cet article déjà trop long sur un de ces simili-paradoxes auquel le sujet s’est déjà si bien prêté, en posant la question suivante : la recommandation suprême est elle de ne pas croire qu’il puisse y avoir une recommandation suprême?

Storytelling

09 jeudi Jan 2014

Posted by patertaciturnus in Food for thought

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Merleau-Ponty

« Ce pur appel à l’histoire est une invocation de la vérité, qui n’est jamais créée par l’inscription historique, mais qui l’exige en tant que vérité. Il n’habite pas seulement la littérature ou l’art, mais aussi toute entreprise de vie. Sauf peut-être chez quelques malheureux qui ne pensent qu’à gagner, ou à avoir raison, toute action, tout amour est hanté par l’attente d’un récit qui les changerait en leur vérité, du moment où enfin on saurait ce qu’il en a été, – si tel jour, sous couleur de respect d’autrui, c’est la réserve de l’un qui a définitivement rejeté l’autre et qu’il a désormais reflétée au centuple sur lui, ou si au contraire dès ce moment les jeux étaient faits et cet amour impossible… »

M. Merleau-Ponty, Signes – Le langage indirect et les voix du silence
Gallimard 1960, p.93

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