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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: lecture

Contre la lecture

16 lundi Déc 2019

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bonheur, inconscience, lecture, Marina Tsvetaieva

« Chaque livre est un cambriolage de votre vie! plus on lit, moins on sait et on veut vivre soi même.

C’est horrible ! Les livres sont notre perte. Celui qui a beaucoup lu ne peut pas être heureux. Le bonheur en effet est toujours inconscient, le bonheur n’est qu’inconscience.

Lire c’est exactement comme étudier la médecine  et connaître dans le moindre détail la raison de chaque soupir, de chaque sourire et, cela a l’air sentimental – de chaque larme. »

Marina Tsvetaieva, Lettre à Maximilien Volochine, 18 avril 1911
Vivre dans le feu, p 97

Todorov lecteur

08 lundi Avr 2019

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dialogue, lecture, Tzvetan Todorov

« Face à un texte, on peut chercher avant tout à l’expliquer (par des causes sociales ou des configurations psychiques, par exemple) ou bien à le comprendre ; j’ai opté pour cette seconde voie. Du coup, je vais peu « en amont » des textes, vers ce qui les a fait naitre, et beaucoup plus « en aval », puisque je m’interroge non seulement sur leur sens, mais aussi sur leurs implications politiques, éthiques, philosophiques. Je postule, en somme, que si quelqu’un a dit quelque chose, c’est (aussi) parce qu’il a voulu le faire ; quelles que soient les forces qui aient agi à travers lui, je le tiens pour responsable de ses propos. En cela, ma manière de lire n’est que l’illustration d’une des thèses que je défends.

Quant à l’autre versant de ce travail, je trouve que le mot qui caractérise le mieux mon projet (sinon sa réalisation) est celui de « dialogue ». Cela veut dire, avant tout, que je ne m’intéresse pas au seul sens des textes de mes auteurs (mon analyse n’est pas un « métalangage », radicalement différent d’un « langage-objet », parlant du texte, l’autre du monde), mais aussi à leur vérité ; il ne me suffit pas d’avoir reconnu leurs arguments (cela, c’est le premier pas — obligé — du travail), je cherche aussi à savoir si je peux les accepter : je parle aussi du monde. Dans la mesure du possible, je situe ces dialogues dans l’histoire, ou je les y projette. D’abord, je cherche à confronter entre elles les différentes idées d’un même auteur ; ensuite, je reconstruis des dialogues entre les auteurs : au début, en particulier, c’est Rousseau qui donne la réplique à mes autres personnages, Montaigne, La. Bruyère ou Diderot ; plus tard, c’est Tocqueville qui répond à Gobineau, et John Stuart Mill à Tocqueville ; à la fin, Montesquieu est interpellé par ses critiques, Helvétius, Condorcet ou Bonald. Montesquieu et Rousseau se critiquent aussi mutuellement. A d’autres moments, ne trouvant pas ce dialogue dans l’histoire, ou pas sous une forme qui me satisfasse, je m’avance —téméraire — dans le rôle d’interlocuteur, et je pratique à mon propre compte la critique interpellative.

Choisir le dialogue, cela veut dire aussi éviter les deux extrêmes que sont le monologue et la guerre. Que le monologue soit celui du critique ou celui de l’auteur, peu importe : il s’agit à chaque fois d’une vérité déjà trouvée, qui n’a plus qu’à être exposée ; or, fidèle en cela à Lessing, je préfère chercher la vérité que d’en disposer. La guerre dans les textes, cela existe aussi, et du reste je ne l’ai pas toujours évitée : quand on n’a rien de commun avec l’auteur d’en face, et quand on n’éprouve que de l’hostilité pour ses idées, le dialogue devient impossible et se trouve remplacé par la satire ou l’ironie ; la compréhension des textes en souffre (cela m’est peut-être arrivé avec les auteurs représentatifs de ce que j’appelle le « racialisme vulgaire ».)

Enfin la pratique du dialogue s’oppose aussi, pour moi, au discours de la séduction et de la suggestion, en ce qu’elle en appelle aux facultés rationnelles du lecteur, plutôt que de chercher à capter son imagination ou que de le plonger dans un état de stupeur admirative. L’envers de ce choix est que mes arguments paraîtront parfois un peu trop terre à terre ; mais c’est encore une conséquence de mon désir de ne pas séparer vivre et dire, de ne pas annoncer ce que je ne peux pas assumer. C’est pour la même raison que j’ai truffé mon texte de tant de citations : je veux que le lecteur puisse juger de tout par lui-même, j’essaie donc, autant que possible, de mettre entre ses mains l’ensemble du dossier (car je n’imagine pas ce lecteur comme ayant toujours à ses côtés tous les livres dont je parle). »

Tzvetan TODOROV, Nous et les autres, Avant-Propos, p. 15 – 17

Lire les philosophes

07 dimanche Avr 2019

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Karl Jaspers, lecture, philosophie

« Quand je lis, je veux d’abord comprendre ce que l’auteur a voulu dire. Cependant, il faut pour cela comprendre non seulement la langue, mais encore la matière. La compréhension dépend des connaissances que l’on a en cette matière.

Pour l’étude de la philosophie, cela entraîne des conséquences importantes.

Nous voulons nous servir de la compréhension du texte pour acquérir la connaissance de la matière. Aussi devons-nous penser en même temps à la matière et à ce que l’auteur a voulu dire. Si l’un des deux manque, la lecture ne sert à rien.

Lorsqu’en étudiant un texte, je pense moi-même à la matière, ma compréhension se transforme sans que je le veuille. C’est pourquoi une bonne compréhension exige deux choses : qu’on approfondisse la matière et qu’on revienne à une claire intelligence du sens visé par l’auteur. La première voie m’ouvre la philosophie, la seconde une connaissance historique.

La lecture exige d’abord une attitude fondamentale, née de la confiance et de la sympathie qu’on ressent pour l’auteur et son sujet : il faut lire d’abord une fois comme si tout dans le texte était vrai. C’est seule­ment quand je me suis laissé prendre complètement, que j’ai mimé cette pensée et que j’en émerge à nou­veau, qu’une critique légitime peut commencer.

La signification que l’étude de l’histoire de la philo­sophie et l’assimilation de la pensée du passé ont pour nous peut être développée à l’aide des trois exigences kantiennes : penser soi-même ; penser en se mettant à la place d’autrui ; penser en restant cohérent avec soi-même. Ces exigences sont des tâches infinies. Toute solution préconçue selon laquelle on saurait déjà, on pourrait faire d’avance ce qui importe, est une illusion : nous sommes toujours en route. L’Histoire nous aide progresser.

Penser par soi-même, cela ne se produit pas dans le vide. Ce que nous pensons nous-mêmes doit en fait nous être montré. L’autorité de la tradition éveille en nous les origines en qui nous avons une foi anticipée ; notre contact avec elles s’établit par les commence­ments comme par les résultats achevés des philosophies réalisées au cours de l’Histoire. Toute étude ultérieure présuppose cette confiance. Sans elle nous ne pren­drions pas la peine d’étudier Platon et Kant.

L’effort philosophique personnel se sert des figures historiques. En comprenant les textes, nous devenons nous-mêmes des philosophes. Mais cette assimilation, avec sa docilité confiante, n’est pas obéissance : en avançant du pas de l’autre, nous examinons ce qu’il dit et le confrontons avec ce que nous sommes. « L’obéissance » ici signifie que l’on se laisse conduire, qu’on croit d’abord que ce qui est dit est vrai ; nous ne devons pas tout de suite et à tout moment inter­venir avec des réflexions critiques et nous empêcher ainsi nous-mêmes de suivre notre guide. L’obéissance signifie ensuite le respect qui s’interdit toute critique à bon marché ; seule est admissible celle qui, après un travail personnel approfondi, permet d’approcher pas à pas du problème et de se trouver finalement de taille à le traiter. L’obéissance trouve sa limite ici : on n’admettra comme vrai que ce qui aura pu devenir une conviction personnelle par la réflexion. Aucun philosophe, même le plus grand, ne possède la vérité. Amicus Plato, magis amica veritas.

Nous atteignons la vérité en pensant par nous-mêmes, mais à condition de nous efforcer sans cesse de penser à la place d’autrui. Il faut découvrir ce qui est possible pour l’homme. En essayant sérieusement de repenser la pensée d’autrui, on élargit les possibilités de sa vérité propre, même si l’on se refuse à cette pensée étrangère. On n’apprend à la connaître qu’en s’y donnant complètement, avec le risque que cela comporte. Ce qui nous est lointain et étranger, ce qui est excessif, exceptionnel et même bizarre, nous attire afin que nous ne manquions pas la vérité en négligeant quelque élément originel par aveuglement. C’est pour­quoi l’apprenti philosophe ne s’en tient pas seulement à l’œuvre qu’il a choisie d’abord et faite sienne en l’étudiant à fond, mais il se tourne aussi vers l’histoire de la philosophie dans son ensemble afin de savoir ce qui a été pensé au cours du temps.

En se tournant vers l’histoire, on s’éparpille dans une diversité sans lien. L’exigence d’être en tout temps d’accord avec sa propre pensée s’oppose à la tentation que nous éprouvons à la vue de cette diversité, de nous abandonner trop longtemps à la curiosité et au plaisir d’un simple spectacle. Ce qu’on apprend de l’histoire doit devenir un stimulant ; cela doit ou bien nous rendre attentif et nous éveiller, ou bien nous mettre en question. Il ne faut pas que les choses se succèdent dans l’indifférence. Tout ce qui, au cours de l’histoire, n’est pas entrée en rapport mutuel et où en fait aucun échange ne s’est produit, doit s’affronter en nous. Les idées les plus étrangères les unes aux autres doivent entrer en relation.

Tout se rencontre dans le sujet qui comprend. Être d’accord avec soi-même signifie qu’on sauvegarde sa propre pensée en faisant converger vers l’unité tout ce qui est séparé, contradictoire, sans contact. L’his­toire universelle, assimilée de façon significative, s’or­ganise en une unité qui reste cependant toujours ouverte. Cette unité est une idée, elle échoue constam­ment dans les faits ; mais c’est elle qui stimule l’assimilation. »

Karl JASPERS, Remarques sur les lectures philosophiques, in  Introduction à la philosophie, p. 161 – 162

 

Histoires d’adhésion et de rejet

09 dimanche Avr 2017

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Edmond Jabès, lecture, oeuvre

jabes2« L’adhésion ou l’opposition à une œuvre sont, a priori, suspectes. Nous admirons ou condamnons ce que nous avons retenu d’un ouvrage ; c’est-à-dire l’ouvrage que nous en avons tiré et dont nous avons fait notre bien. D’où l’immense liberté que tout lecteur prend avec le livre ; mais celui-ci n’est jamais la propriété d’un seul. Sa soumission au lecteur n’est qu’apparente. D’être la proie de toutes les lectures possibles il n’est, en fin de compte, la proie d’aucune.

[…]

L’histoire littéraire n’est, d’une certaine manière, qu’une pauvre histoire de vengeance. Tantôt c’est le livre, porté par l’enthousiasme de quelques-uns, qui triomphe de l’ignorance ou de l’hostilité manifestées ailleurs à son égard ; tantôt c’est le lecteur, tourné vers de nouvelles œuvres plus proches de lui, qui fait table rase d’un passé parfois encombrant. »

Edmond Jabès, Le livre des marges
Livre de poche, p.18

Abondance de bien

01 mercredi Mar 2017

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bibliothèque, lecture, Pétrarque

« JOIE. J’ai énormément de livres.
RAISON. C’est-à-dire énormément de travail, et un énorme manque de repos pour ton esprit continuellement tiraillé de l’un à l’autre, et pour ta mémoire surchargée par un sujet ou par un autre. Que veux-tu que je te dise ? Les livres ont mené des hommes à la science, et d’autres à la folie. Lorsqu’on avale plus de choses qu’on en peut digérer, il en va des esprits comme des estomacs : la nausée leur fait plus de mal que la faim. […]
J’ai lu que Sérénus Sammonicus, un homme d’une culture immense, mais qui en voulait toujours plus, qui avait beaucoup de lettres, mais plus encore de volumes dans sa bibliothèque, aurait possédé jusqu’à soixante-deux mille livres. Étrange goût que celui-là, qui fait du philosophe un libraire ! Crois-moi, ce n’est pas là ce que j’appelle nourrir son esprit de textes, mais l’écraser et l’ensevelir sous le poids des matières, ou même lui imposer une torture semblable à celle de Tantale mourant de soif au milieu des eaux, en l’assommant sous le nombre, de sorte qu’il ait envie de tout sans pouvoir rien goûter.

[…]

JOIE. Je possède bon nombre de livres.

RAISON. Mais si ton esprit n’est pas assez grand pour les contenir ? Il y a des gens qui sont per­suadés de savoir tout ce qui est écrit dans les livres qu’ils ont chez eux. Quel que soit le sujet sur lequel tombe la conversation, ils affirment : «J’ai un livre là-dessus dans mon armoire»; et, estimant que c’est bien suffisant, que cela revient à l’avoir du même coup en tête, ils haussent le sourcil et se taisent avec suffisance. Ridicule engeance. »

Pétrarque, Contre la bonne et la mauvaise fortune
trad. Anne Duprat, Rivage Poche p. 61 – 63

Recommandation de lecture

04 dimanche Jan 2015

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Elias Canetti, lecture, prescripteur

 « Chez moi la lecture entend se propager par la lecture, je n’obéis jamais aux suggestions extérieures, ou seulement bien longtemps après. Ce que je lis, je veux le découvrir. Qui me recommande un livre me le fait tomber des mains ; qui le loue m’en dégoûte pour des années. Je ne me fie qu’aux esprits que j’estime vraiment. Eux peuvent me recommander tout ce qu’ils veulent; il leur suffit de nommer quelque chose dans un livre pour éveiller aussitôt ma curiosité. Mais ce que d’autres nomment d’une langue hâtive est comme chargé d’une durable malédiction. Aussi m’a-t-il été difficile de découvrir les grands chefs-d’oeuvre, car ce qui est réellement le plus grand est tombé dans le culte du lieu commun. Les gens l’ont sur les lèvres, tout comme les noms de leurs héros, et comme ils en ont plein la bouche – à s’en faire sauter la panse -, ils me font prendre en dégoût ce qu’il me serait si nécessaire de connaître.

Elias Canetti, Le collier de mouche p. 34

Alain ♥ Alexandre

15 lundi Déc 2014

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Alain, Alexandre Dumas, Balzac, culture légitime, lecture

« Il y a bien longtemps, j’étonnai des gens simples et sincères, résolus à s’instruire et à s’élever, en leur citant, parmi mes auteurs favoris,  le père Dumas à côté de Balzac, de Stendhal, d’Ibsen et de Tolstoï. Remarquez que ce n’est pas là un paradoxe, et comme un pied de nez à l’Académie française : c’est un fait. J’ai relu, il n’y a pas bien longtemps, une fois de plus les onze volumes où sont racontés les exploits de d’Artagnan et des autres ; je les ai relus d’une haleine, avec un plaisir très vif, c’est un fait. je connais Balzac jusqu’à pouvoir discuter de mémoire sur les derniers détails de l’action et du style, avec les plus fervents Balzaciens : c’est un autre fait. Et j’y insiste parce que des faits de ce genre, lorsqu’il s’agit d’œuvres d’arts, valent toutes les théories du monde.

[…] Je prétends suivre mon plaisir, et le laisser courir ici et là, comme un joyeux enfant. La seule règle du goût est celle-ci : lire ingénument, simplement, galoper en imagination avec l’auteur, bride abattue : l’expérience est simple, facile à faire, décisive. Pour savoir si Andromaque m’ennuie, je n’ai pas besoin de consulter Trissotin critique. »

ALAIN, Propos, 14 juin 1906

*

Juliette ♥ Alain ?

Je crains d’en être …

14 jeudi Août 2014

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Joseph Joubert, lecture

« De ceux qui n’auraient pas d’esprit s’il n’y avait pas de livres. »

Joseph Joubert, 2 janvier 1808, Carnets II, p.236

Recommandation suprême

20 lundi Jan 2014

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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lecture, procrastination, Ramón Gómez de la Serna, réflexion

Lis et réfléchis, car tu auras des siècles pour ne pas le faire.

Ramón Gómez de la Serna, Greguerías

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