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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Tag: J. G. Fichte

De pire en pire

03 mercredi Août 2022

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George Santayana, J. G. Fichte, John Locke, subjectivisme

« Fichte called Locke the worst of philosophers, but it was ungrateful of him, seeing that his own philosophy was founded on one of Locke’s errors. It was Locke who first thought of looking into his own breast to find there the genuine properties of gold and of an apple; and it is clear that nothing but lack of consecutiveness and courage kept him from finding the whole universe in the same generous receptacle. This method of looking for reality in one’s own breast, when practised with due consecutiveness and courage by the German became the transcendental method; but it must admitted that the German breast was no longer that anatomical region which Locke had intended to probe, but a purely metaphysical point of departure, a migratory ego that could be here, there, and everywhere at once, being present at any point from which thought or volition might be taken to radiate. It was no longer so easy to entrap as the soul of Locke, which he asserted travelled with him in his coach from London to Oxford. »

George Santayana, Egotism in german philosophy

Fichte vs Emerson

07 dimanche Nov 2021

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être soi, cohérence, J. G. Fichte, Ralph Waldo Emerson

« Il y a autre chose qui nous fait nous détourne avec terreur de la confiance que nous avons en nous-mêmes : c’est notre attitude de cohérence un respect pour nos paroles ou nos actes passés, car le regard des autres n’a comme repères que nos actes passés pour juger de notre propre orbite et nous répugnons à les décevoir.

Mais pourquoi faudrait-il que vous gardiez la tête sur les épaules ? Pourquoi traîner ce cadavre de la mémoire de peur de contredire ce que vous avez affirmé dans tel ou tel lieu public ? Supposez que vous soyez amené à vous contre­dire ? Et alors ? Il semble que ce soit une règle de la sagesse de ne jamais compter sur la seule mémoire, encore moins lorsqu’il s’agit d’actes de mémoire pure, mais de soumettre le passé au jugement du présent aux mille regards, et de vivre à chaque fois un jour nouveau. Dans votre métaphysique vous avez refusé d’accorder toute personnalité à la Divinité ; cependant, lorsque se produisent les pieux mouvements de l’âme, abandonnez-vous à ces élans de toutes vos forces et de tout votre cœur, bien qu’ils puissent revêtir Dieu de forme et de couleur. Tel Joseph aban­donnant son manteau aux mains de la prostituée, abandonnez votre théorie et fuyez.

Cet esprit de cohérence stupide est le farfadet des esprits pusillanimes, vénéré par les hommes l’État, les philosophes et les théologiens de piètre envergure. Une grande âme n’a rien à faire du cet esprit de cohérence. Autant se préoccuper de son ombre sur le mur. Exprimez ce que vous ressentez aujourd’hui en paroles fortes et ce que demain pensera, exprimez-le également en paroles fortes, même si cela contredit ce que vous avez dit aujourd’hui. « Ah ! ainsi vous serez certains d’être incompris. » — Est-ce si mal d’être incompris ? Pythagore fut incompris ; de même Socrate, Jésus, Luther, Copernic, Galilée, Newton, ainsi que tout esprit pur et sage qui s’incarnât jamais. Être grand c’est être incompris. »

Emerson, La confiance en soi, Rivage Poche p. 112 – 114

*

Le Moi pur ne peut être représenté que négativement ;en tant qu’opposé du Non-Moi dont le caractère est la diversité — par conséquent en tant qu’uniformité [Einerleiheit] complète et absolue ; il est toujours un et identique, et jamais un autre. La formule citée peut donc s’exprimer ainsi : l’homme doit être continuellement d’accord avec soi-même; il ne doit jamais se contredire. — C’est-à-dire que le Moi pur ne peut jamais entrer en contradiction avec soi-même, car il n’a en lui absolument aucune différence, étant au contraire continuellement un et identique : mais le Moi empirique, déterminable et déterminé par les choses extérieures peut se contredire; — et chaque fois qu’il se contredit, c’est un signe certain qu’il n’est pas déterminé d’ après la forme du Moi pur, par soi-même, mais par des choses extérieures. Et il ne doit pas être ainsi; car l’homme est sa propre fin ; il doit se déterminer soi-même, et ne jamais se laisser déterminer par quelque chose d’étranger; et il doit être ce qu’il est parce qu’il veut et doit vouloir l’être. Le Moi empirique doit être déterminé de la même manière qu’il pourrait être éternellement déterminé. »

J. G. Fichte, La destination du savant, Ie conférence, trad. J-L Vieillard-Baron, Vrin p. 45 – 46

L’anarchie qui vient

10 dimanche Oct 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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anarchie, Etat, J. G. Fichte

Les conférences de Fichte sur La destination du savant, ce n’est pas seulement Sisyphe heureux avant Camus, c’est aussi le dépérissement de l’État avant le marxisme :

« Parmi ses tendances fondamentales, l’homme a cette exigence d’admettre en dehors de soi des êtres raisonnables de son espèce ; il ne peut les admettre que sous la condition qu’il entre en société avec eux, d’ après la signification déterminée plus haut de ce mot. — La tendance communautaire fait donc partie des tendances fondamentales de l’homme. L’homme est destiné à vivre dans la société ; il a l’obligation de vivre dans la société; il n’est pas un homme entier, achevé, et il se contredit lui-même s’il vit isolé.

Vous voyez, messieurs, combien il est important de ne pas confondre la société en général avec l’espèce particulière de société empiriquement conditionnée que l’on nomme État. La vie dans l’État ne fait pas partie des buts absolus de l’homme, quoi qu’en dise un très grand homme ; il est un moyen qui n’ a cours que dans certaines conditions pour l’établissement d’ une société parfaite. L’État, comme toutes les institutions humaines qui ne sont que des moyens, vise sa propre négation : c’est le but de tout gouvernement de rendre le gouvernement superflu. Pour l’instant ce moment n’est assurément pas encore arrivé — et je ne sais pas combien de myriades d’années ou de myriades de myriades d’années peuvent se passer jusqu’à ce moment-là — et il ne s’agit pas, ici, d’une façon générale, d’appliquer cela dans la vie, mais de justifier une proposition spéculative — ce moment n’est pas encore arrivé ; mais il est sûr que, sur le chemin de l’humanité prescrit a priori, se trouve un tel moment où tous les liens étatiques seront superflus. C’est le moment où, au lieu de la force ou de la ruse, ce sera la seule raison qui sera universellement reconnue comme arbitre suprême. Être reconnue, dis-je, car, même ensuite, les hommes peuvent se tromper et être entraînés par l’erreur à blesser leurs prochains; mais ils doivent tous seulement avoir le bon vouloir de se faire dégager de l’ erreur, et, de même qu’ils en sont dégagés, de revenir sur cette erreur et d’en réparer le dommage. Tant que ce moment n’est pas arrivé, nous ne sommes même pas encore des hommes véritables, d’une manière générale. »

Fichte, La destination du savant, Deuxième conférence, Vrin, p. 56 – 57

La thèse ici soutenue converge avec la réinterprétation de l’état de nature que Fichte expose dans la cinquième conférence consacrée à Rousseau : il y propose en effet de comprendre l’état de nature non pas comme une origine derrière nous, mais comme un idéal derrière nous . Je suis curieux de savoir s’il s’est trouvé un philosophe avant Fichte pour faire de l’anarchie non plus une situation originelle mais le terme de la téléologie historique (la téléologie kantienne, par exemple, s’oriente vers un dépassement des conflits entre États mais pas vers un dépassement de l’État, l’homme étant voué à rester un animal qui a besoin d’un maître).

Sisyphe heureux

18 samedi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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bonheur, infini, J. G. Fichte

« Laissez-nous être joyeux au spectacle du vaste champ que nous avons à travailler ! Laissez-nous être joyeux de sentir en nous la force et d’avoir une tâche infinie. »

Fichte, La destination du savant, Ve conférence, Vrin p. 105

*

En lisant ses ceux dernières phrase de la dernière conférence  sur La destination du savant, il est difficile de ne pas penser aux dernières phrases du Mythe de Sisyphe  de Camus.

« La lutte elle-même vers les sommets suffit à remplir un cœur d ‘homme. Il faut imaginer Sisyphe heureux. »

On notera que nos deux auteurs ne se contentent pas de se rejoindre dans l’affirmation positivité de la tâche infinie ; chacun à leur manière ils signifient l’incrédulité dont leur affirmation fait l’objet (à la résistance que suppose l’appel « laissez-nous être joyeux » répond l’effort d’imagination auquel appelle Camus).

Reste que le Sisyphe de Camus a plus de « mérite » à être heureux que le prédicateur dont Fichte a pris l’habit, car le second a affaire à l’infinité d’un progrès, tandis que le premier a affaire à l’infinité d’une répétition.   

 

Fichte vs Rousseau

29 dimanche Août 2021

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J. G. Fichte, Jean-Jacques Rousseau

La cinquième des  savant est consacrée à un « examen critique des thèses de Rousseau sur l’influence des arts et des sciences sur la bonté de l’humanité ». L’argumentation de Fichte part d’une interprétation de Rousseau qui vaudrait une mauvaise note à tout étudiant qui la soutiendrait aujourd’hui dans une copie : il prétend que Rousseau prône un retour à l’état de nature. Pour autant la critique qu’il adresse finalement à Rousseau n’est pas dénuée d’intérêt :

« Ici se trompa Rousseau. Il avait de l’énergie, mais plutôt l’énergie de la souffrance que celle de l’activité ; il sentait fortement la misère des hommes; mais il sentait beaucoup moins la force propre qu’il avait pour porter aide à cette misère; et ainsi il jugea des autres de la même façon qu’il se sentait lui-même ; le rapport qu’il avait avec sa douleur particulière, il le vit de même entre l’humanité entière et sa souffrance universelle. Il tint compte de la souffrance ; mais il ne tint pas compte de la force que l’humanité a en soi pour se secourir.

Paix à ses cendres et bénédiction à sa mémoire ! — Il a agi. Il a versé le feu dans bien des âmes qui ont mené plus loin ce qu’il avait commencé. Mais il agit presque sans être conscient lui-même de son activité indépendante. Il agit sans appeler d’autres hommes à l’action ; sans tenir compte de leur action face à la somme du mal et de la corruption universels. Cette absence d’effort en vue de l’activité indépendante règne sur tout son système d’idées. Il est l’homme de la sensibilité souffrante, mais pas en même temps celui de la lutte person­nelle et active contre son emprise. — Ses partisans menés à l’erreur par la passion deviennent vertueux ; mais ils devien­nent simplement vertueux, sans bien voir comment? Le combat de la raison contre la passion, progressive et lente, remportée avec effort, peine et travail, — spectacle le plus intéressant, et le plus instructif que nous puissions voir — il le cache à nos yeux. — Son élève se développe de lui-même. Le guide de celui-ci ne fait rien d’autre que d’écarter les obstacles à son éducation, et laisse pour le reste gouverner la bienveil­lante nature. Elle devra même le garder toujours sous sa tutelle. Car la force active, l’ardeur, la ferme résolution de la combattre et de la soumettre, le guide ne les a pas apprises à son élève. Il sera bon parmi des hommes bons ; mais parmi des méchants — et où les méchants ne sont-il pas la majorité? — il souffrira indiciblement. — Ainsi Rousseau dépeint généralement la raison au repos, mais non au combat; il affaiblit la sensibilité, au lieu de fortifier la raison. »

J. G. Fichte, La destination du savant, Ve conférence, trad. J-L Vieillard-Baron, Vrin p. 103 – 104

Libre donc libérateur

27 vendredi Août 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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J. G. Fichte, liberté

https://www.les-philosophes.fr/images/stories/fichte-2.jpg
Johann-Gottlieb Fichte

La lecture de la Doctrine de la science (la version de 1801) reste un des souvenirs les plus pénibles de mes études de philosophie et m’a durablement fâché avec Fichte. Quelques années plus tard un collègue m’a vivement encouragé à lire La destination du savant, œuvre sur laquelle j’avais – stupidement – fait l’impasse l’année ou Fichte était au programme de l’agrégation. J’ai pris mon temps pour suivre ce bon conseil (merci Sylvain) mais je m’empresse de partager ce beau passage. 

« En outre la tendance [sociale] pousse à trouver des êtres libres et raisonnables en dehors de nous et à entrer en communauté avec eux ; elle ne pousse pas à la subordination comme dans le monde des corps, mais à la coordination. Si l’on ne veut pas rendre libres les êtres raisonnables cherchés en dehors de soi, c’est qu’on ne considère en quelque sorte que leur habileté théorique, et non leur raison pratique : on ne veut pas entrer en communauté avec eux, on veut au contraire les dominer, comme des  animaux déterminés par le sort, et l’on fait entrer sa tendance à la sociabilité en contradiction avec elle-même. — Pourtant, que dis-je : on met cette tendance en contradiction avec elle-même? Disons plutôt qu’on ne l’a pas encore le moins du monde — cette tendance si noble : l’humanité ne s’est pas encore cultivée en nous d’une façon assez profonde ; nous en restons même au degré inférieur de la semi-humanité ou de l’esclavage. Nous ne sommes pas encore mûrs au sentiment de notre liberté et de notre activité indépen­dante [Selbsttätigkeit]; car alors nous devrions nécessairement vouloir contempler en dehors de nous des êtres semblables à nous, c’est-à-dire des être libres. Nous sommes esclaves et nous voulons rester esclaves. Rousseau dit : beaucoup d’hommes se croient maîtres des autres qui sont pourtant plus esclaves qu’eux ; il aurait pu dire encore bien plus justement: Tout homme qui se croit maître des autres est lui-même un esclave. Si ce n’est pas toujours le cas en fait, il a sûrement pourtant une âme d’esclave, et devant le premier homme plus fort que lui qui le soumet, il rampera dans l’infamie. — Seul est libre celui qui veut rendre libre tout ce qui l’entoure, et le rend libre en fait par une certaine influence dont on n’a pas toujours remarqué l’origine. Sous son regard, nous respirons plus librement ; nous ne sentons rien qui nous limite, nous entrave ou nous opprime; nous sentons un plaisir inhabituel à être et à faire tout ce que le respect de nous-mêmes ne nous interdit pas.

L’homme doit utiliser les objets privés de raison comme des moyens pour ses fins, mais non les êtres raisonnables : il ne doit même pas utiliser ceux-ci comme moyens pour leurs propres fins; il ne doit pas agir sur eux comme sur la matière inerte ou l’animal, de façon à atteindre seulement son but par leur intermédiaire, sans avoir tenu compte de leur liberté. — Il ne doit pas rendre un être raisonnable vertueux ou sage ou heureux contre son gré. Sans compter que cette peine serait perdue, et que personne ne peut devenir vertueux, sage ou heureux si ce n’est par son propre travail et son propre effort — outre que ce que l’homme ne peut pas, il ne doit même pas le vouloir, quand même il pourrait ou croirait le pouvoir; car c’est illégitime, et il se met par là en contradiction avec lui-même. »

J. G. Fichte, La destination du savant, IIe conférence, trad. J-L Vieillard-Baron, Vrin p. 59 – 61

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