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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

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Archives de Tag: dialectique

Djibril le sursompteur

08 samedi Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Fantaisie, Perplexités et ratiocinations

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contradiction, dialectique, Djibril Cissé

Je ne regarde presque plus de football à la télévision car je refuse, par principe, de payer pour cela, en revanche  je confesse apprécier regarder les débats de l’Équipe du soir consacrés à des matchs que je n’ai pas vus. Au cas où je serais pris de honte et me reprocherais de ne pas plutôt écouter France Culture, je peux me justifier à mes propres yeux en faisant valoir que  ce genre démission peut m’inspirer quant au développement des capacités dialectiques de mes élèves[1]. L’Équipe du soir met en effet en place un dispositif de disputatio sportive digne d’intérêt : sur une question posée par l’animateur de l’émission ( par exemple  : X doit il être rappelé en équipe de France ? Qui de Y ou Z a le plus de responsabilité dans le but encaissé par son équipe ?) deux chroniqueurs disposent de 30 secondes pour argumenter l’un la thèse, l’autre l’antithèse. Le débat est ensuite doublement tranché par un vote du public et par le vote du « président ». Évidemment ce 3e temps est souvent décevant pour les adeptes du plan thèse – antithèse – synthèse,  car savoir que 60% du public a trouvé le chroniqueur A plus convaincant ne nous dit pas ce qu’il en est de la vérité sur la question posée. Quant au « président » il a certes sur le public l’avantage de pouvoir motiver son arbitrage mais l’usage qu’il fait de cette possibilité ne contribue pas nécessairement à l’éclaircissement de la question. Pourtant il est parfois des moments de grâce où le président parvient à surmonter la contradiction en opérant une distinction[2] : c’est ce qui se produisit le vendredi 30 avril vers 23h 20 lorsque Djibril Cissé parvint à accorder les points de vue de Gregory Schneider et Eric Bilderman sur la question « L’OM a-t-il gagné un point ou perdu deux points dans la course à l’Europe ? » (regarder la vidéo entre 22’50 et 25’20). Subjectivement, la résolution de la difficulté  que propose l’ex avant-centre de l’AJ Auxerre est déjà satisfaisante en ce qu’elle  obtient l’approbation des deux contradicteurs à qui elle montre que leur contradiction n’était qu’apparente. Objectivement, il ne reste plus rien à demander aux amoureux de la clarté intellectuelle, si ce n’est, peut-être, une formalisation de la solution cisséenne en terme de probabilités conditionnelles.

J’ai vu l’esprit absolu sur un plateau de télévision.

Pour les lecteurs qui s’interrogeraient sur le titre de l’article, « sursomption » est le néologisme utilisé par certains traducteurs de Hegel pour rendre le concept d’Auhebung avec lequel Hegel pense le « dépassement » dialectique des contradictions.

« Par aufheben nous entendons d’abord la même chose que par hinwegräumen (abroger), negieren (nier), et nous disons en conséquence, par exemple, qu’une loi, une disposition, etc., sont aufgehoben (abrogées). Mais, en outre, aufheben signifie aussi la même chose que aufbewahren (conserver), et nous disons en ce sens, que quelque chose est bien wohl aufgehoben (bien conservé). Cette ambiguïté dans l’usage de la langue, suivant laquelle le même mot a une signification négative et une signification positive, on ne peut la regarder comme accidentelle et l’on ne peut absolument pas faire à la langue le reproche de prêter à confusion, mais on a à reconnaître ici l’esprit spéculatif de notre langue, qui va au-delà du simple « ou bien-ou bien » propre à l’entendement. »

Hegel, Encyclopédie des sciences philosophiques, trad. Bernard Bourgeois, tome I, Vrin, 1970, p. 530

[1] Les lecteurs fidèles se souviennent peut-être que j’ai naguère souligné l’intérêt spéculatif des titres des articles que  l’Équipe consacre au mercato.  

[2] Pour être complet, il faut signaler qu’il arrive par fois aux débatteurs eux-mêmes de signaler que leur contradiction n’est qu’apparente car ils diffèrent dans l’interprétation d’une ambiguïté de la question. Mais d’une part les 30 secondes qui leur sont imparties ne leur laissent guère le temps d’expliquer ce point, et d’autre part ils ne sont guère incités à faire preuve de cette honnêteté intellectuelle puisque cela ne leur permettra pas de marquer un point en gagnant le débat.  

Hegel sans tête ou la tête en bas

29 vendredi Jan 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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dialectique, Hegel, T. W. Adorno, téléologie

« Si la philosophie de l’histoire de Hegel avait inclus notre époque, ces bombes-robots qu’étaient les V 2 d’Hitler y auraient eu leur place — au même titre que la mort prématurée d’Alexandre et d’autres images analogues — parmi les faits empiriques qu’il a retenus pour ce qui s’y exprime, d’une façon immédiatement symbolique, de l’état atteint par l’Esprit du monde (Weltgeist). Comme le fascisme lui-même, ces robots sont lancés à toute vitesse et en même temps sans sujet. Comme lui, ils allient à la perfection technique la plus poussée une totale cécité. Comme lui, ils suscitent une épouvante mortelle, et c’est en vain. « J’ai vu l’Esprit du monde », non pas à cheval mais sur les ailes d’une fusée et sans tête, et c’est là en même temps une réfutation de la philosophie de l’histoire de Hegel. »

Theodor Wiesengrund ADORNO, Minima moralia – Réflexions sur la vie mutilée – §. 33 – Hors de portée Trad. E. Kaufholz et J.-R. Ladmiral, ed. Payot

« Affirmer qu’un plan universel, dirigé vers le mieux, se manifeste dans l’histoire et lui donne sa cohérence serait cynique après les catastrophes passées et face à celles qui sont à venir. Mais il ne faut pas pour autant renier l’unité qui soude ensemble les moments et les phases de l’histoire dans leur discontinuité et leur éparpillement chaotique, unité qui, de la domination sur la nature, se métamorphose progressivement en domination sur l’homme pour finir en domination sur la nature intérieure. Aucune histoire universelle ne conduit du sauvage à l’humanité civilisée, mais il y en a très probablement une qui conduit de la fronde à la bombe atomique. Elle se termine par la menace totale que fait peser l’humanité organisée sur les hommes organisés, soit l’essence même de la discontinuité. Hegel est ainsi vérifié jusqu’à l’horreur et placé la tête en bas. S’il transfigurait la totalité de la souffrance historique en la positivité de l’absolu se réalisant, alors ce qui jusqu’à aujourd’hui n’a pas, avec des pauses, cessé de s’avancer, serait idéologiquement la souffrance absolue. »

Theodor Wiesengrund ADORNO, Dialectique négative (1966) Trad. Groupe de traduction du Collège de philosophie, ed. Payot, p. 250

Mascarade divine (2)

08 jeudi Fév 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures

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dialectique, Jugement dernier, Karen Blixen

Voyons aujourd’hui comment son Eminence le cardinal Hamilcar von Sehestedt répond au discours de Mlle Malin Nat-og-Dag. On appréciera le talent de dialecticien avec lequel il propose un dépassement de l’opposition de la mascarade et de la vérité.

« J’ai apprécié votre petit discours. Mais vous ne m’avez pas persuadé que nous sommes d’un avis diffé­rent. La vie en ce monde est comme le jeu que les enfants appellent la main chaude : il y a toujours quel­que chose dessous; vérité — tricherie — vérité — tricherie. Quand le calife de Bagdad s’habillait en men­diant, toute sa splendeur cachée sous son déguisement n’aurait pu racheter le mauvais goût de la plaisanterie si ses haillons n’avaient aussi caché des sentiments fraternels pour ses pauvres sujets. Pareillement, quand Notre-Seigneur vécut pendant trente années sous le déguisement d’un fils de l’homme, cela n’aurait rien signifié s’il n’avait pas eu en vérité un cœur humain et, madame, de la sympathie pour les amateurs de bon vin. Au bal masqué, la femme spirituelle choisit un déguisement qui révèle ingénieusement son esprit ou son cœur que cachent les conventions de sa vie  quotidienne : quand elle choisit le vilain masque vénitien à long nez, elle nous apprend que non seulement il recouvre un nez classique, mais aussi quelque chose de mieux, et qu’elle exige d’être adorée pour autre chose que sa beauté. « A ton masque, je te reconnaîtrai », dit l’arbitre des élégances, le connaisseur du cœur humain.

« Accordons-nous même à déclarer, Votre Grâce, continua-t-il, que le jour du Jugement n’est pas, comme le prétendent d’insipides sermonneurs, le moment où nos pauvres petites tentatives de tromperie — que le Seigneur connaît déjà trop bien! — doivent s’exercer, mais au contraire l’heure où le Tout-Puissant lui-même laisse tomber le masque. Oh! quel moment Votre Grâce! Cela vaudra la peine de l’avoir attendu un million d’années. Le ciel retentira de rires clairs comme ceux des enfants, il résonnera de rires doucement bai­gnés de larmes, comme ceux de la fiancée; à moins qu’ils ne soient triomphants comme ceux du fidèle guerrier qui a vaincu ses ennemis et dépose fièrement leurs drapeaux aux pieds de son roi; ou comme celui du prisonnier libéré des chaînes de la prison, enfin lavé des calomnies de ses accusateurs. »

Karen Blixen, Le raz de marée de Norderney, in Sept contes gothiques

ça tient pas debout ton histoire !

01 lundi Mai 2017

Posted by patertaciturnus in Lectures

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dialectique, Hegel, Jean-Paul Sartre, maîtrise et servitude, travail

Quelle meilleure façon de célébrer le 1er mai que de conspuer la dialectique hegelienne du maître et de l’esclave ?

« La théorie hégélienne du maitre et de l’esclave est séduisante comme phénoménologie des rapports humains mais ne tient pas debout historiquement : 1° L’esclave n’a rien inventé techniquement pendant l’Antiquité. Il était d’ailleurs essentiellement domestique ou travailleur agricole. Travaillant en équipe, il avait moins  l’occasion de saisir l’efficacité de son travail sur l’objet, comme l’ouvrier moderne « à la chaîne ». 2° Le stoïcisme pas plus que  le scepticisme n’ont été inventés par des esclaves mais par des hommes libres. A Rome le stoïcisme est devenu une théorie de maître (pour un Epictète, un grand courtisan comme Sénèque, un empereur comme Marc Aurèle). Plutôt qu’une théorie d’esclave qui  prend le point de vue du maître, j’y vois plutôt une théorie du maître  qui se prémunit contre le danger de devenir esclave et qui réfugie son orgueil de maître dans le seul bien qui n’est pas menacé : la pensée. Car il faut avoir des biens et s’en détacher pour être stoïcien — non point se consoler de ne pas en avoir. 3° La théorie de l’esclave qui ne risque pas sa vie et qui apprend dans la peur et le travail sa liberté est vraie pour une première génération d’esclaves, non pour la seconde ou la troisième : l’esclave, né à la maison, traité en familier, n’a plus si peur — peut-être plus peur du tout -, se sent justifié (inessentiel par rapport à un maitre essentiel donc est complice du maitre (vieux esclaves demeurant en Géorgie près de leurs anciens maîtres) et se trouve en situation naturelle. 4° Il n’est pas vrai que le maître n’a pas d’histoire. Car il y a d’autres maîtres avec qui il est en commerce (famille, Etat, guerre). Et c’est lui qui conquiert l’Empire romain (les soldats sont des hommes libres). C’est par lui, non par les esclaves, que le christianisme entre à Rome. 5° Les inventions techniques et découvertes scientifiques ne sont pas l’affaire des esclaves et serfs. Ce sont des clercs ou des hommes libres de classe moyenne qui la plupart du temps les réalisent. Il ne reste rien de la théorie de Hegel qu’un rapport idéal et idéalement vrai. »

Jean-Paul Sartre, Cahier pour une morale, p. 79 – 80

Topoï laborieux

16 dimanche Avr 2017

Posted by patertaciturnus in Fantaisie, Mon métier ma passion

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dialectique, maîtrise et servitude, problèmes de digestion

La lecture répétitive de références aux Temps modernes est aliénante. Lorsque je serai dictateur du monde cette référence sera interdite dans les dissertations de philosophie.

Corriger les copies d’élèves que je n’ai pas en cours lors du bac ou d’examens blancs me conforte régulièrement dans ma décision de ne pas faire de place dans mes cours à ce monument prétendument incontournable qu’est la dialectique du maître et de l’esclave. La qualité des cours des collègues sur le sujet a beau être hors de doute, ce qu’il en reste dans les copies frise presque toujours le ridicule : si les élèves étaient convaincus de ce qu’ils écrivent, ils devraient en effet sur le champ aller se vendre comme esclave pour être plus libres que leurs maîtres. On dira que leurs estomacs ne sont pas encore assez robustes pour digérer ce morceau de choix qu’est la dialectique hégélienne, pour ma part je ne suis pas loin de penser que le ridicule des abrégés de la dialectique du maître et de l’esclave dans les copies est révélateur d’une faiblesse du monument original.

Jésus, dialecticien et ironiste ?

08 lundi Fév 2016

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Augustin, dialectique, interrogation, ironie, Jean-Louis Chrétien

« D’une façon qui peut de prime abord surprendre par l’insolite rapprochement qu’elle opère entre Athènes et Jérusalem, entre le mots si intensément et proprement grec de dialectique et la vie de Jésus, saint Augustin voit en ce dernier un dialecticien aussi. A propos de l’épisode évangélique du tribut à César, Augustin, répondant au donatiste Cresconius qui attaque éloquence et dialectique écrit : « Où était la dialectique ? Chez ceux qui tendirent les embûches de leur question et tentèrent de l’emporter par la ruse ? Ou bien plutôt chez celui qui, partant de l’interrogation même, en tira par la prudence de son interrogation leur réponse vraie (responsionem eorumprudentia interrogationis eliciens), et les força de confesser d’eux-mêmes la vérité qu’ils pensaient lui faire dire à ses risques et périls? »[1] Le Christ lui même « veut que nous obligions même les ennemis de la vérité , par une interrogation vigilante et des raisons invincibles, à rendre témoignage à la vérité. »[2]

[…]

Enfin il est des interrogations qui sont des actes et des épreuves par elles-mêmes, se dissociant de toutes demandes d’information comme de tout argument dialectique. C’est, pour Augustin, le cas des interrogations que l’Evangile place dans la bouche de Jésus. Sa christologie fait qu’il ne conçoit pas d’ignorance, même empirique, possible pour Jésus. Il y a donc en conséquence une ironie christique, thème au demeurant courant dans la patristique . Augustin cherche, en exégète, à en dégager la portée signifiante selon les divers contextes. Il a interrogé, en effet, comme s’il ignorait ce qu’il savait parfaitement. Et il a feint de ne pas le savoir  pour signifier, par sa prétendue ignorance, une autre chose ; signification qui, parce qu’elle était vraie, n’était assurément pas un mensonge. » [3] C’est une figure.

A propos d’une question du Christ à Philippe, saint Augustin remarque : « Parfois nous interrogeons sur ce que nous ne savons pas dans le désir d’entendre pour apprendre, et parfois nous interrogeons pour savoir si celui que nous interrogeons sait aussi. Mais le Seigneur, lui, savait l’un et l’autre ; il savait ce qu’il demandait, car il connaissait ce qu’il allait faire, et il savait pareillement l’ignorance de Philippe. Pourquoi dès lors, l’interrogeait-il, sinon pour manifester son ignorance? »[4] »

Jean-Louis Chrétien, Saint Augustin et les actes de paroles
PUF Quadrige, p. 21 – 22

[1] Contra Cresconium, I, XVII, 21
[2] Contra Cresconium, I, XVII, 22
[3] Contra mendacium, XII, 27
[4] In Ioh. Ev. tract. XXIV, 4

Thèse, antithèse …

17 dimanche Août 2014

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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dialectique, Elias Canetti, Joseph Joubert, Lichtenberg

PROBLEME

« La question est toujours, en dernier ressort, si l’esprit de contradiction n’est pas, à tout prendre, d’une plus grande utilité que la conciliation. »

 Lichtenberg, Le miroir de l’âme, [L 622]  p. 554

 *

THESE : vive les antithèses !

« Les doctrines conciliatrices valent mieux que les exclusives. »

Joseph Joubert, 26 août 1803, Carnets I, p.557

*

ANTITHESE : vive les synthèses !

« Il n’y a pas lieu de s’effrayer des contradictions mais de leur progressif affaiblissement. »

Elias Canetti, Le cœur secret de l’horloge (1973), p.16

*

SYNTHESE

« Le premier pas de la sagesse est de tout accuser ;
Le dernier : de tout concilier. »

 Lichtenberg, Le miroir de l’âme, [L2] p. 523

Dialectique et monarchie française

15 mardi Avr 2014

Posted by patertaciturnus in Fantaisie

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Bertrand Russell, contradiction, dialectique, Hegel, Jacques Prévert

« En vertu de la loi du tiers exclu, soit « A est B », soit « A n’est pas B » doit être vrai. Ainsi, ou « l’actuel roi de France est chauve » ou « l’actuel roi de France n’est pas chauve » doit être vrai. Cependant si nous énumérons les choses qui sont chauves, puis celles qui ne le sont pas, dans aucune de deux listes nous ne trouverons l’actuel roi de France. Les hégéliens, épris de synthèse, en concluraient probablement qu’il porte une perruque. »

Bertand Russell, De la dénotation

*

« Thèse, antithèse et prothèse :
Il faut récapiter Louis XVI »

Jacques Prévert, Fatras

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