L’autre pays de la cornemuse …
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Pour des explications à propos des différences avec la cornemuse écossaise
27 vendredi Juin 2014
17 mardi Juin 2014
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J’ai honte, mais ça m’amuse toujours autant. Vive la traduction homophone.
01 dimanche Juin 2014
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25 dimanche Mai 2014
23 vendredi Mai 2014
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J’ai un moment hésité à fêter le visiteur étranger d’hier en me disant qu’il n’était pas suffisamment exotique pour que cela mérite une célébration, mais je me suis ravisé : je ne ferai pas d’exception à la règle (et à l’occasion je lui donnerai une application rétroactive).
A la recherche de quelque chose d’à la fois original et caricaturalement folklorique j’ai consulté le Dictionnaire thématique des musiques du monde d’Etienne Bours qui m’a lancé sur la piste de ceci :
A titre d’explication je vous cite le dictionnaire sus-nommé :
Talerschwingen :
Catégorie : évocation sonore – Pays : Suisse
Littéralement « ronde des écus », le Talerschwingen se pratique en Suisse orientale (Appenzell, Toggenburg). On fait tourner une pièce de monnaie sur le rebord d’un plat en terre creux. La course rapide de la pièce évoque le son lointain des cloches de vaches, d’autant plus qu’on pratique souvent ce jeu à trois. Chaque musicien tient le plat posé sur la main ouverte et lui imprime un mouvement. Cette évocation sonore sert à accompagner le natuurjodel (yodel) lorsqu’on le chante au village, à la maison où à l’auberge.
Je suis sûr que vous êtes avides d’entendre du talerschwingen accompagnant du yodel (appelé aussi Zäuerli), voila de quoi vous satisfaire :
15 jeudi Mai 2014
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Je n’ai guère d’appétence pour la musique brésilienne (et par conséquent je suis complètement ignare en cette matière) mais je dois me tenir à la règle que j’ai moi-même instituée. J’ai quand même fait un effort pour ne pas me rabattre sur Aquarela do brasil (plus simplement Brazil) ou The girl from Ipanema.
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Ajout le 25 /05/ 2014
J’avais choisi ce morceau un peu au hasard en errant sur Yoube. J’ai depuis cherché quelques éléments d’information. Ciranda est une chanson de l’album éponyme de Márcio Faraco. Si, comme moi, vous n’aviez jamais entendu parler de ce dernier, rassurez-vous, sa notoriété, mesurée à sa présence wikipediesque (des notices très courtes en français, anglais et portugais seulement) semble très inférieure à celle de son compère sur cette chanson : Chico Buarque. Si vous voulez en savoir plus vous n’avez qu’à visiter son site personnel.
J’ai trouvé les paroles de la chanson, mais pas leur traduction.
Se tento correr o tempo pára
Se páro pra ver o mundo anda
Ele vem bater na minha cara
A vida é sempre essa ciranda
Se a noite me traz uma tristeza
O dia vem cheio de alegria
O que falo agora com certeza
Há pouco não sei se eu diria
Eu quero gritar ninguém me escuta
Está tudo preso na garganta
Às vezes me cansa tanta luta
E é pra não chorar que a gente canta
A gente canta
A gente canta
Eu vi uma luz no fim do túnel
Enchi de esperança o coração
A luz que lá estava foi chegando
Era um trem carregado de ilusão
Andando só na corda bamba
Não temo o futuro da nação
A gente que sempre dançou samba
Enfrenta qualquer divisão
A gente canta
A gente canta
14 mercredi Mai 2014
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Non, je ne fais pas une session de rattrapage pour ceux qui auraient raté le concours de l’Eurovision, je poursuis une idée de célébration qui m’était venu il y a quelques semaines. Comme vous l’aviez immédiatement reconnu, Ramund hin Unge est une chanson danoise (bon, peut-être les moins attentifs auront ils pensé à du norvégien). C’est une chanson traditionnelle ici interprétée par Týr un groupe de Viking Folk Metal des îles Féroé. Faute de parler danois je ne peux pas vous donner d’informations précises sur l’histoire de cette chanson avant sa reprise par les métalleux féringiens. Ceux qui ne goutent guère le Métal préfèreront peut-être la version interprétée par Gny un groupe de folk danois dont la notoriété semble bien moindre que celle du groupe précédent.
Les puristes parmi vous qui souhaiteraient avoir le texte de la version longue de cette chanson pourront le trouver ici.
23 mercredi Avr 2014
Les statistiques de WordPress m’apprennent qu’il y aurait eu une connexion à ce blog depuis l’Indonésie hier (il y avait déjà eu une connexion signalée depuis la Malaisie la semaine dernière). Il n’y a aucune indication quant à la voie par laquelle ces « visiteurs » seraient arrivés ici. Je ne me fait aucune illusion quant au fait qu’un véritable être humain résidant dans ces contrées aurait atterri ici intéressé par un quelconque contenu de ces lieux.
Je saisis quand même l’occasion pour partager mon goût (superficiel car très peu informé) pour le gamelan.
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Un truc qui me déçoit avec les statistiques de WordPress, c’est que, contrairement à ce que j’espérais, les « termes de recherche » (le contenu des requêtes sur les moteurs de recherche ayant conduit ici) sont majoritairement inconnus (dans une proportion de plus de neuf sur dix pour l’instant) J’en ignore la raison, mais j’espère bien l’apprendre. J’espère en outre que, moi aussi, je pourrais un jour m’amuser des gens qui arrivent sur mon blog en cherchant du sexe ou des trucs tordus.
Mise à jour le 28 /05 /14
L’explication est simple : Google généralise le HTTPS sur son moteur de recherche au nom, paraît-il, de la protection des données personnelles de ses utilisateurs. Je dois donc faire une croix sur cette occasion d’amusement.
L’énigme « autoréférentielle » du jour : le détenteur du blog où j’ai trouvé l’explication devinera-t-il la requête qui m’ amené jusqu’à lui?