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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives de Catégorie: Lectures

Vertus montantes, vertus descendantes

13 mercredi Fév 2019

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Sénèque, vertu

« Il ne faut pas que tu t’imagines qu’aucune vertu existe sans peine, mais certaines vertus ont besoin d’un aiguillon et d’autres d’un frein. De même qu’un corps doit être retenu dans une pente et poussé dans une montée, de même certaines vertus sont sur une pente descendante, d’autres sur une montée.  Y a-t-il le moindre doute  que la faculté d’endurer, le courage, la persévérance s’élèvent, font effort, luttent et de même pour toute vertu qui’ s’oppose aux difficultés et qui force le destin, N’est-il pas également manifeste que c’est sur une descente que vont la libéralité, la tempérance, la douceur ? Dans le cas de ces dernières, nous retenons notre âme pour qu’elle ne glisse pas en avant, dans le cas des premières nous l’exhortons et la poussons avec la dernière énergie. »

Sénèque, La vie heureuse
trad. Pellegrin, GF, p. 90

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Nicolas vs Nicolas ?

08 vendredi Fév 2019

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facilité, Malebranche, Nicolas Boileau

Qui oserait contester la vérité de la plus célèbre des citations de Nicolas Boileau ?

« Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement,
Et les mots pour le dire arrivent aisément. »

Peut-être bien son exact contemporain Nicolas Malebranche :

« La plupart de ceux qui parlent en public, tous ceux qu’on appelle grands parleurs, et beaucoup même de ceux qui s’énoncent avec beaucoup de facilité, quoiqu’ils parlent fort peu sont de ce genre [des esprits superficiels]. Car il est extrêmement rare que ceux qui méditent sérieusement, puissent bien expliquer les choses qu’ils ont méditées. D’ordinaire ils hésitent quand ils entreprennent d’en parler, parce qu’ils ont quelque scrupule de se servir de termes qui réveillent dans les autres une fausse idée. »

La recherche de la vérité, Livre II, 2nde partie, chap. VIII

Une contradiction pragmatique de Descartes ?

01 vendredi Fév 2019

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Descartes, internalisme, T. Parent

« Yet I myself am a social epistemologist. To me it is obvious that even Descartes needed peer-feedback on The Meditations before he could see it as establishing anything. (the isolated individual is just too unreliable, especially in philosophy). Thus I harldy mean epistemic internalism. »

T. Parent, Self-reflection for the opaque mind, I, 1.3

*

Le recours à l’épreuve des Objections contredit-t-il l’internalisme à l’œuvre dans les Méditations métaphysiques?

 

Tu désespères ? Tu es sur la bonne voie

29 mardi Jan 2019

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désespoir, philosophie, Vincent Descombes

« Ce problème de l’apprentissage philosophique se pose quelle que soit la doctrine enseignée, quel que soit le style pédagogique du professeur : l’élève doit entrer dans une construction intellectuelle qu’il ne peut pas comprendre tout de suite. On peut pressentir, on peut deviner, on peut même comprendre de façon maladroite, c’est-à-dire sans être capable de l’expliquer, mais il faut passer par un certain malheur. Cela fait partie de la philosophie. Je dirai que cela ne cesse pas avec l’âge et le métier. Aujourd’hui encore, si je dois préparer un exposé, il y aura inévitablement le temps de l’élaboration, et dans ce temps un moment qui est celui du désespoir complet, où j’ai l’impression que je n’y comprends rien, que rien ne sortira jamais, que c’est impossible … Il faut pourtant en passer par là, sinon on reste dans la dissertation scolaire, dans une sorte de promenade qui peut être brillante, ou habile, mais qui ne mord sur rien, qui philosophiquement ne produit rien. »

Vincent Descombes, Exercices d’humanité, p. 11

Quelle adaptabilité ?

28 lundi Jan 2019

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adaptation, Jean-Marie Schaeffer

« Il faut aussi distinguer la question du progrès évolutif et celle de la plasticité adaptative. On conclut souvent que l’humanité est l’espèce « la plus évoluée », parce que c’est celle dont la plasticité adaptative est la plus grande. C’est oublier que la plasticité adaptative peut être réalisée par deux moyens fort différents : comme plasticité comporte-mentale et cognitive au niveau de l’individu ou comme plasticité phylogénétique au niveau de l’espèce. L’humanité est sans conteste l’espèce qui fait preuve de la plus grande plasticité cognitive, donc de la plus grande intelligence adaptative au niveau des individus. De manière plus générale, les mammifères et les oiseaux sont les deux familles d’êtres vivants qui ont le plus investi dans la plasticité individuelle. Pourtant, si on se place du strict point de vue des avantages et coûts évolutifs, le même degré de plasticité a été atteint par les insectes, bien que par une voie opposée à celle des mammifères et plus spécifiquement de l’homme. En effet, si le répertoire comportemental des insectes est presque entièrement encodé génétiquement, ils remplacent ce manque de plasticité au niveau de l’adaptation individuelle par la plasticité de leur évolution phylogénétique rendue possible notamment par des populations très étendues et une durée de vie individuelle relativement courte. Il est par ailleurs intéressant de noter qu’à côté de l’espèce humaine ce sont sans doute les insectes qui tirent le plus grand profit adaptatif de la sociabilité. Mais ils ont développé cette sociabilité selon des voies opposées aux humains : non pas en maximalisant la flexibilité de la communication interindividuelle, mais tout au contraire, en encodant génétiquement les différents rôles sociaux »’. Comment décider laquelle des deux solutions est la plus « évoluée », sinon en se situant d’entrée de jeu dans une perspective anthropocentrique ?
L’« investissement » dans la flexibilité phylogénétique plutôt que dans la maximalisation de la flexibilité individuelle se traduit au niveau du nombre des espèces. Ce nombre est infiniment plus grand (entre 70 000 et 80 000 espèces) dans l’ordre des insectes que dans celui des mammifères 8 700 espèces, avec seulement entre 7 et 10 espèces directement parentes de l’espèce humaine (les grands singes). Et lorsqu’on étudie la phylogenèse des hominidés on découvre, comme Gould l’a rappelé, l’existence d’un véritable goulot d’étranglement : en quelques centaines de milliers d’années, les hominidés sont passés d’une demi-douzaine d’espèces à trois (Néandertal, Homo erectus, Homo sapiens sapiens) il y a trente mille ans, puis à une seule espèce aujourd’hui. Or, ajoute-il, plus une lignée devient pauvre en espèces plus elle est en général proche de l’extinction78. Voilà qui devrait sans doute nous inciter à un peu d’humilité quant à notre destin…
En effet, comparée à celle des insectes, la stratégie évolutive des mammifères, et de manière privilégiée celle de l’espèce humaine, est risquée. Nous avons en quelque sorte mis tous les oeufs dans le même panier. Tant que la plasticité individuelle marche, elle nous donne un avantage sélectif énorme dont témoigne notre domination actuelle, mais est-ce qu’elle marcherait encore si, par exemple, la terre entrait dans une phase d’instabilité écologique forte et prolongée ? Dans une telle phase qui se traduirait par des changements environnementaux de grande envergure il est probable que la plasticité individuelle — concrètement l’adaptation grâce à des stratégies cognitives et sociales —atteindrait vite ses limites. Or, nous venons de voir que notre plasticité génétique est bien moindre que celle des organismes plus « simples », voire que celle de nos plus proches cousins, et en plus nous sommes la seule espèce survivante de notre lignée. Dans des circonstances de ce type notre espèce, et au-delà notre lignée, serait donc vite condamnée à la disparition. Et comme, à en juger par l’histoire passée de la terre, de tels bouleversements écologiques vont tôt ou tard se produire, l’avenir à long terme de l’espèce humaine est sans doute des plus précaires. »

Jean-Marie Schaeffer, La fin de l’exception humaine, p. 192 – 194

Immortalité

26 samedi Jan 2019

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Edmund Husserl, immortalité

Cette semaine je procrastine en lisant des cours donnés par Husserl en 1925 sous le titre Psychologie phénoménologique, et c’est ainsi que je suis tombé sur ce texte dont la fin m’a pour le moins déconcerté.

« Il est clair qu’on ne peut faire l’expérience du psychique propre ou du psychique étranger que dans la mesure où ils animent la chair propre ou étrangère liée selon sa typique, et que l’être psychique quel qu’il soit, dont on a déjà fait l’expérience et l’épreuve , doit aussitôt s’annihiler lorsque sont supprimées les présuppositions aperceptives de l’expérience de l’âme, par conséquent lorsque la chair cesse de maintenir ce style organique qui est la condition de possibilité pour qu’elle soit susceptible d’une fonction d’animation, en l’occurrence pour qu’elle puisse indiquer qu’elle est animée. La mort en tant qu’événement réel dans le monde ne signifie pas, par conséquent, que l’âme se détache pour former une réalité propre à l’intérieur de ce monde. La mort est, d’un point de vue mondain, l’anéantissement de l’âme, nota bene en tant qu’âme dans le monde. La doctrine de l’immortalité devrait par conséquent, si elle ne doit pas entrer en contradiction avec le sens du monde tel qu’il est fixé par l’expérience universelle objective, avoir une toute autre signification et peut, de fait, l’avoir s’il est vrai que la considération naturelle du monde, celle de toute vie naturelle qui se manifeste dans le monde et de toute science, ne doit ni peut-être n’a le droit d’avoir le dernier mot ; si, en d’autres termes, on peut montrer que cet univers tout entier, ce tout des objets de l’expérience objective possible, ne peut pas valoir pour l’étant au sens absolu, et que l’absolu que le monde présuppose déjà est l’esprit mais il ne s’agit alors en aucune manière de l’esprit mondanisé, surtout pas en tant qu’âme. »

Edmund Husserl, Psychologie phénoménologique, Vrin 2001, p. 104

Sur la première partie (jusqu’au nota bene) je n’ai rien à redire si ce n’est que le statu de vérité a priori de ce qui y est énoncé mériterait d’être discuté. C’est la seconde partie qui suscite ma perplexité. Si je la comprends bien, Husserl ouvre la porte a une immortalité via la conscience transcendantale ; l’épochè transcendantale, ne serait alors pas simplement une opération cognitive mais une opération quasi-mystique nous donnant accès en cette vie à ce qu’il y a d’immortel en nous. Outre la question de la pureté des motifs d’une telle doctrine l’immortalité, se pose inévitablement la question du caractère personnel ou impersonnel de cette immortalité, en quoi la porte husserlienne vers l’immortalité s’apparenterait à celle qu’ont cherché les commentateurs d’Aristote dans l’intellect agent.

Conditions d’une anthropologie de la croyance

24 jeudi Jan 2019

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Alfred Métraux, croyance, ethnologie

« Mon propos dans ce livre est de parler du vaudou en ethnographe, c’est-à-dire avec méthode et prudence. Si je me suis gardé de l’enthousiasme de ceux qui, au contact d’une religion exotique, sont pris d’une sorte de vertige sacré et finissent par partager la crédulité de ses adeptes, je me suis aussi efforcé d’éviter l’attitude de ces voltairiens à la petite semaine qui parlent sans arrêt de fraude rieuse avec des clignements d’œil entendus. »

Alfred Métraux, Le vaudou haïtien

L’avenir de la parentalité

23 mercredi Jan 2019

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éducation, Philip K. Dick, tu l'as vue ma grosse parentalité

Après l’evidence based medicine, et l’evidence-based education, est apparu l’evidence based parenting.  Qui oserait se vanter de recourir dans l’éducation de ses enfants à des pratiques dont il serait scientifiquement démontré qu’elles sont inefficaces voire nuisibles ? D’un autre côté voulons-nous de ce qui peut apparaitre comme l’aboutissement d’un tel mouvement ? Pour nourrir la réflexion à ce sujet on ne peut que recommander la lecture de Progéniture, une des géniales nouvelles de Philip K. Dick.

« Janet avait raison. C’était pour le bien de Peter. Peter ne vivait pas pour eux, comme un chien ou un chat, un animal familier dans la maison. C’était un être humain doté d’une vie propre. La formation lui était destinée à lui, et non à eux deux. Il s’agissait de son développement, de ses capacités et de ses pouvoirs à lui. On allait le modeler, le façonner, faire ressortir sa personnalité.
Naturellement, c’étaient les robots qui s’en tireraient le mieux. Ils sauraient l’élever scientifiquement, selon des méthodes rationnelles. Sans sautes d’humeur. Les robots ne se mettaient pas en colère, eux. Ils ne pinaillaient pas, ils ne se lamentaient pas continuellement. Ils ne donnaient pas la fessée aux enfants et ne leur criaient pas après. Ils ne donnaient pas d’ordres contradictoires. Ils ne se querellaient pas entre eux et n’utilisaient pas l’enfant à leurs propres fins. Et avec des robots pour seul entourage, pas de complexe d’ Œdipe à redouter.
Ni d’autres complexes, d’ailleurs. On savait depuis bien longtemps que la névrose avait sa source dans l’éducation que recevait l’enfant. Dans la façon dont ses parents l’élevaient. Les inhibitions qu’ils lui inculquaient, les comportements, les leçons, les punitions et récompenses. Névroses, complexes, anomalies du développement, tout cela provenait de la relation subjective qu’entretenaient parents et enfants. Si le facteur « parents » pouvait être éliminé…
Les parents n’étaient jamais capables d’objectivité vis-à-vis de leur enfant. Ils faisaient immanquablement sur lui une projection affective tendancieuse. Il était inévitable que leur point de vue soit erroné. Aucun parent ne pouvait être un bon instructeur pour son enfant.
En revanche, les robots, eux, savaient observer l’enfant, analyser ses besoins, ses désirs, tester ses aptitudes et ses centres d’intérêt. Jamais ils ne forçaient un enfant à se couler dans un moule particulier. On l’élevait au gré de ses propres tendances, toujours dans le sens de ses intérêts et de ses besoins, tels que déterminés par l’analyse scientifique. »

Philip K. Dick, Nouvelles 1947-1953, p.744

Bon mot

15 mardi Jan 2019

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André Suarès, racisme

 « … la Racaille (nom que je donne à la religion de la race) »

André Suarès, Vues sur l’Europe

Jabès vs Steiner

14 lundi Jan 2019

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Edmond Jabès, George Steiner, Shoah, universalisme

« Nous n’avons pas affaire, j’en suis persuadé, à un monstrueux accident de l’histoire de la société moderne. L’holocauste n’est pas la conséquence d’un état morbide individuel ou des névroses d’une seule nation. En fait, des observateurs compétents s’attendaient à voir le cancer s’installer d’abord, et sans rémission possible, en France. Nous ne sommes pas, bien qu’on s’y trompe souvent, en face d’un cas de massacre parmi d’autres, comme celui des Gitans ou, précédemment, des Arméniens. La technique, le langage de la haine présentent des similitudes, mais ni ontologiquement ni au niveau de l’intention philosophique. Cette intention nous conduit droit au cœur de certaines failles de la culture occidentale, aux points où convergent la vie religieuse et celle de l’instinct. Le mot de Hitler : « La conscience est une invention juive », fournit un indice. »

George Steiner, Dans le château de Barbe-bleue, Gallimard Folio Essais, p. 46 -47

*

« Il m’a dit :
« Ma race est la race jaune.
« J’ai répondu :
« Je suis de ta race.

« Il m’a dit :
« Ma race est la race noire.
« J’ai répondu :
« Je suis de ta race.

« Il m’a dit :
« Ma race est la race blanche.
« J’ai répondu :
« Je suis de ta race ;

« car mon soleil fut l’étoile jaune ;
« car je suis enveloppé de nuit ;
« car mon âme, comme la pierre de la loi
« est blanche. »

Edmond Jabès, L’invention du mot, in Le livre des marges.

*

Je ne cacherai pas que ma préférence va à ces quelques lignes de Jabès extraites d’un texte écrit en 1983 pour un recueil de l’UNESCO contre l’apartheid.  Jabès, dont j’ai cité ici un autre beau texte sur la judéité et l’universalisme.

Le texte de Steiner, en revanche, avec sa manière de tracer une séparation entre les victimes dont le meurtre aurait une signification « métaphysique » et celles qui n’auraient subi qu’un « massacre parmi d’autres », me met mal à l’aise. Je crois que ce texte de Steiner me permet de mieux saisir ce qui m’embarrasse dans la thématique de l’unicité de la Shoah. N’ayant pas fait de lecture bien approfondies sur le sujet, je suis réticent à prendre trop nettement position, mais enfin il faut bien se risquer à formuler ses idées quitte à les retravailler. Au delà de la question spécifique de l’unicité de la Shoah, je crois que je me méfie de toutes les formules du type « X n’est pas un Y comme les autres » en ce qu’elles supposent une homogénéité des Y qui ne sont pas X qu’il faudrait interroger, car, en un sens, aucun Y n’est un Y comme les autres. Ainsi, redescendant de la structure logique du problème à son contenu spécifique, il faudrait dire que chaque massacre est singulier, et d’abord pour ceux qui l’ont subi. Que les persécutions et le génocide des juifs soient rétrospectivement placés dans la perspective d’une histoire de l’élection, rien de plus compréhensible ; pour autant on ne peut pas demander aux Arméniens, aux  Tsiganes, aux Cambodgiens, aux Tutsis, qu’ils disent « nous n’avons été victimes que d’un génocide parmi d’autres ».

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