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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: août 2022

Sous la terre entière

31 mercredi Août 2022

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Quatrain

Comme le grain sur la terre j’ai répandu mes morts

certains reposent à Odessa, certains à Istanbul, à Prague d’autres encore.

le pays que je préfère est la terre entière

quand viendra mon tour recouvrez-moi de la terre entière.

Nâzim Hikmet

Dostoïevski canceled

30 mardi Août 2022

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Dostoievski, inclusivité, Vassili Grossman

On n’a pas attendu le wokisme pour se poser la question de l’inclusivité de la littérature :

« Karimov répondait à Madiarov :

— Comment peut-on concilier votre discours passionné sur l’humanisme de Tchekhov avec votre hymne à Dostoïevski ? Pour Dostoïevski, tous les hommes ne sont pas égaux en Russie. Hitler a traité Tolstoï de dégénéré, alors qu’il a, dit-on, accroché un portrait de Dostoïevski dans son cabinet. J’appartiens à une minorité nationale de l’Empire russe, je suis tatar, je suis né en Russie, je ne peux pardonner à un écrivain russe sa haine contre les Pollacks et les Youpins. Non, je ne peux pas, même si c’est un génie. Trop longtemps, nous avons eu droit, dans la Russie tsariste, au sang, aux crachats dans les yeux, aux pogromes. En Russie, un grand écrivain n’a pas le droit de persécuter les allogènes, de mépriser le Polonais et les Tatars, les Juifs, les Arméniens et les Tchouvaches.

Le vieux Tatar, aux cheveux blancs, aux yeux sombres, eut un sourire mauvais et hautain de Mongol.

— Vous avez peut-être lu, dit-il à Madiarov, Hadji Mourat, le récit de Tolstoï ? Ou peut-être avez-vous lu Les Cosaques ? Ou son récit Le Prisonnier du Caucase ? Tout cela, c’est un comte russe qui l’a écrit, plus russe que le Lituanien Dostoïevski. Tant que les Tatars seront de ce monde, ils prieront Allah pour Tolstoï.

Strum regarda Karimov. « Ah ! tu es comme ça », pensa-t-il.

— Ahmet Ousmanovitch, dit Sokolov à Karimov, je respecte profondément votre amour pour votre peuple. Mais permettez-moi d’être, moi aussi, fier de mon peuple, permettez que je sois fier d’être russe, que j’aime Tolstoï pas seulement parce qu’il a dit du bien des Tatars. Nous autres Russes, nous n’avons pas le droit, on ne sait pourquoi, d’être fiers de notre peuple. Ou bien on vous fait aussitôt passer pour un membre des Centuries noires.

Karimov se leva. Son visage s’était couvert de grosses gouttes de sueur.

— Je vais vous dire la vérité, commença-t-il. En effet, pourquoi dirais-je des mensonges alors qu’existe une vérité ? Si on se rappelle comment, dans les années vingt, on a exterminé tous ceux dont le peuple tatar s’enorgueillissait, tous nos grands hommes de culture, alors, on peut se demander, en effet, pourquoi on interdit le Journal d’un écrivain.

— Il n’y a pas que vous qui avez souffert, cela a été pareil pour nous, dit Artelev.

— Mais chez nous, reprit Karimov, on ne s’est pas contenté d’anéantir des hommes, on a anéanti toute une culture. Les intellectuels tatars que nous connaissons actuellement sont des analphabètes en comparaison de ceux qui ont disparu. Tout juste, dit Madiarov, ironique, ceux-là auraient pu créer leur culture nationale, mais aussi une politique extérieure et intérieure des Tatars et ça… ce n’était pas tolérable.

— Mais vous avez votre État, s’étonna Sokolov, vous avez vos instituts vos écoles, vos opéras, vos livres, vos journaux en tatar, tout cela, c’est la révolution qui vous l’a donné.

— Parfaitement, nous avons un opéra d’État et un État d’opérette. Mais, c’est Moscou qui engrange et c’est Moscou qui enferme.

— Vous savez, fit Madiarov, si c’étaient des Tatars à la place de Moscou, ce ne serait pas mieux. »

Vassili Grossman, Vie et destin,  p. 235 – 236

Taciturnus toujours au top – semaine 35

28 dimanche Août 2022

Posted by patertaciturnus in Taciturnus toujours au top

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Top 5  des auteurs polonais (écrivant en polonais) que j’ai lus

Classement par ordre chronologique de découverte

1. Henryk Sienkiewicz

Henryk Sienkiewicz — Wikipédia

J’ai lu Quo vadis en cinquième après avoir vu l’adaptation hollywoodienne à la télévision. A l’époque j’avais beaucoup aimé mais je dois avouer en avoir tout oublié sauf la scène ou l’héroïne se trouve exposée à un taureau furieux dans le cadre des jeux du cirque. Beaucoup plus récemment, j’ai acheté Les chevaliers teutoniques chez un bouquiniste de Bécherel. Achat d’opportunité, mais, qui sait, peut être l’impulsion de le lire me saisira-t-elle un de ces jours. 

2. Witold Gombrowicz

Gombrowicz

C’est un commentaire sur Amazon qui a suscité l’achat impulsif de Ferdydurke il y a une douzaine d’années. Mais à la différence de ce qui m’arrive le plus souvent dans ce genre de cas, j’ai lu l’ouvrage immédiatement. Aujourd’hui, je me souviens essentiellement des passages que j’ai utilisés à titre de documents complémentaires pour mes cours sur l’art. Ayant longtemps mûri le projet de lire le Journal de Gombrowicz ce n’est que cette année que j’ai franchi le pas comme les lecteurs de ce blog ont pu s’en rendre compte.

3. Leszek Kołakowski

leszek-kolakowski-art1

Il y a une dizaine d’année que j’ai découvert Kołakowski via La clé céleste (emprunté chez ma mère et jamais rendu). Il s’agit d’un recueil de textes proposant des interprétations / réécritures de passages bibliques fameux (genre que j’apprécie). J’en ai presque tout oublié (c’est malheureusement un leitmotiv de mes best of de lecture !) mais cela m’a suffisamment plu pour m’intéresser davantage à cet auteur dont j’ai parcouru quelques recueils d’articles  : Le village introuvable et L’esprit révolutionnaire, notamment. J’ai la velléité d’entreprendre un jour les trois gros volumes de son histoire des courants du marxisme … qui vivra verra.

4. Jacek Posiadłlo

podsiadlo

Poète découvert dans le recueil Trois poètes polonais aux éditions du Murmure, dégotté dans la bibliothèque d’un de mes frères. Sous le charme, je l’ai immédiatement mentionné sur ce blog. La principale limite à mon désir de découvrir davantage cet auteur, c’est qu’il n’est quasiment pas traduit.

5. Czesław Miłosz

Milosz jeune

J’avais feuilleté la Pensée captive il y a quelques année. Ce sont les mentions de Miłosz dans le Journal de Gombrowicz qui m’ont incité à retourner y voir de plus prêt. J’ai commencé par le recueil d’essais L’immoralité de l’art un peu par hasard mais aussi parce que le contenu annoncé par la 4e de couverture promettait de se combiner avec le projet de collecter du matériau pour mes cours de spécialité. Ces articles ne sont pas extraordinairement profonds, mais Miłosz a un don pour suggérer des pistes de lecture nouvelles (je pourrais faire un top des auteurs qu’il m’a donné envie de découvrir).

Critiquons le travail d’un collègue

28 dimanche Août 2022

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« Un exemple permet d’illustrer ou d’éclairer une idée , mais c’est un cas dont on ne peut faire une généralité. Il existe toujours un contre-exemple à un exemple« .

Philosophie – manuel collaboratif, ed. Lelivrescolaire.fr, p. 65

L’auteur de cette généralité n’a pas cru bon de l’illustrer par un exemple ni d’ailleurs de chercher son contre-exemple. C’est bien dommage.

Pour ma part j’attends avec impatience qu’on me présente le contre-exemple qui s’oppose aux nombreux exemples illustrant l’idée que les hommes sont mortels.

Bientôt la rentrée

27 samedi Août 2022

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On peut louer la programmation très pertinente de France 4 qui diffusait dans l’après-midi un épisode de Tom Sawyer dans lequel Huck s’écrie : « je préférerais mourir que d’aller à l’école » !

*

Solipsisme transcendantal et solitude empirique

26 vendredi Août 2022

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« Là est le cœur des doutes dans la supposition que Husserl exprime ainsi, dans la langue de la monadologie : que les autres seraient des « monades, étant pour elles-mêmes exactement telles que je le suis pour moi [1] ». En tout cas, le fait que cela s’exprime dans la systématique des monades trahit qu’il ne tenait pas sérieusement au gain de l’intersubjectivité transcendantale par l’expérience étrangère. Plutôt était-il à la recherche d’un procédé déductif garantissant la pluralité transcendantale des sujets.

Dès lors, il est d’autant plus remarquable que la dernière déclaration systématique, et assumée pour la publication, sur ce complexe, ait à nouveau renoncé à la langue de la monadologie. Cela indique avant tout que, dans la dimension transcendantale, la pluralité n’était pas le dernier mot. Dans la solitude existentielle, qui avait commencé avec la désertion de ses étudiants au profit de son successeur, et trouvé son effroyable intensification dans l’isolement forcé de l’université et du monde scientifique public, le discours sur l’intersubjectivité comme instance ultime du tout des monades avait perdu son sens. L’unique phénoménologue se tient par-dessus tout pour tous les autres : « Mais il faut à tout prix, pour les raisons philosophiques les plus profondes, et non pas seulement méthodiques, qui ne peuvent être détaillées davantage, qu’il soit rendu justice à l’unicité absolue de l’Ego et à sa position centrale pour toute constitution[2]. » Et même si l’intersubjectivité constituée à partir de cette dernière unicité est toujours appelée « transcendantale », elle ne l’est pourtant plus que dans un sens secondaire, sans le primat de la pluralité monadique. C’est à cette dernière que doit se rapporter l’autocritique de Husserl, lorsqu’il dit qu’il avait été faux

de sauter aussitôt dans l’intersubjectivité transcendantale et de sauter par-dessus le moi-originel […], car c’est moi qui accomplis l’epoché, et même s’ils sont là plusieurs à exercer l’epoché dans une communauté actuelle avec moi — pour moi, dans mon epoché, tous les autres hommes avec toute leur vie d’actions sont inclus dans le phénomène du monde, lequel, dans mon epoché est exclusivement le mien.

La découverte originelle de la phénoménologie, que l’évidence pure ne peut être conquise que pour le sujet unique, par lui-même et son monde de conscience, a de nouveau refoulé les affres du solipsisme, qui ont consisté sans doute dans le fait de se voir arrivé au but de la prétention la plus haute, mais de rester seul dans la cible, avec l’impossibilité de laisser d’autres participer. Le trauma de l’intransmissibilité de la phénoménologie, en tant qu’expérience académique de l’échec d’une école a pâli face à l’esquisse d’une fonction salvatrice pour laquelle le phénoménologue « se tient dans son unique solitude philosophique, qui est l’exigence méthodique fondamentale pour une philosophie vraiment radicale ». La découverte du sujet phénoménologique dans sa dimension transcendantale : de s’être devenu indifférent en tant qu’homme, n’est pas le triomphe, mais la surcharge que le phénoménologue solitaire épargne avec indulgence aux autres, auxquels il ne peut même plus la transmettre. »

Hans Blumenberg, Description de l’homme, Cerf p. 104 – 105

[1]Husserl, Méditations cartésiennes, V, §.56

[2] Husserl, Krisis, §. 54

Faut-il épargner la honte ?

22 lundi Août 2022

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« Qu’y a-t-il pour toi de plus humain ? – Epargner la honte à quelqu’un. »

Nietzsche, Gai savoir, §. 274

« Pardonner moins souvent, et cela pour leur bien. Laissons-leur tout de même une chance d’avoir honte. »

Elias Canetti, Le cœur secret de l’horloge, 1982

Taciturnus toujours au top – semaine 34

21 dimanche Août 2022

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Top 5 des auteurs roumains qui ont écrit en français et que j’ai lus

  1. Eugène Ionesco
  2. Benjamin Fondane
  3. Mircea Eliade
  4. Gherasim Luca
  5. Panait Istrati

Eloge du désespoir

20 samedi Août 2022

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Vie et destin de Vassili Grossman est un chef d’œuvre qui recèle des pages parmi les plus bouleversantes qu’il m’ait été donné de lire. Le dix-huitième chapitre de la première partie est particulièrement puissant, il restitue la lettre qu’Anna Semionovna adresse à son fils Victor Sturm alors quelle vient d’être cantonnée dans le ghetto de la ville ukrainienne de Berditchev occupée par les allemands.  je vous livre ce passage frappant, parmi beaucoup d’autres …

« Le docteur Sperling est convaincu  que les persécutions contre les Juifs ne sont que temporaires  et cesseront avec la guerre. Il y en a beaucoup comme lui et j’ai constaté que plus les sont optimistes, plus ils sont mesquins, égoïstes.Si quelqu’un entre pendant le dîner, Alia et Fania Borissovna cachent aussitôt la nourriture.

Les Sperling m’aiment bien, d’autant plus que je mange peu et que j’apporte plus de nourriture que je n’en consomme. Mais j’ai décidé de les quitter, ils me dégoûtent. Plus il y a de tristesse en l’homme, moins il espère survivre et meilleur il est.

Les pauvres, les étameurs, les tailleurs qui se savent condamnés, sont bien plus nobles, plus larges, plus intelligents que ceux qui se sont débrouillés pour faire des réserves de nourriture. De jeunes institutrices, un original, le vieux professeur d’échec Spielberg, de douces bibliothécaires, l’ingénieur Reivitch qui est plus désarmé qu’un enfant mais qui rêve de fournir le ghetto en grenades artisanales … Quels gens merveilleux, inadaptés, charmants, tristes et bons. »

Vassili Grossman, Vie et destin, Robert Laffont, p. 63

Amère pâture

18 jeudi Août 2022

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…

Ya puedes, amorosa fiera hambrienta,
pastar mi corazón, trágica grama,
si te gusta lo amargo de su asunto.

Un amor hacia todo me atormenta
como a ti, y hacia todo se derrama
mi corazón vestido de difunto.

Miguel Hernández

*

…

Tu peux, bête amoureuse dévorante
paître mon cœur, ce tragique chiendent,
si te plaît l’amertume qu’il contient.

L’amour pour toute chose me tourmente,
comme pour toi, et vers tout se répand
mon cœur dans son costume de défunt.

trad.Monique-Marie Ihry, ed. Cap de l’étang

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