• À propos

Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: juillet 2022

Taciturnus toujours au top – semaine 31

31 dimanche Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Taciturnus toujours au top

≈ Poster un commentaire

Top 10 des Friedrich en philosophie

  1. Friedrich Nietzsche
  2. Georg Wilhelm Friedrich Hegel
  3. Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling
  4. Friedrich Engels
  5. Friedrich August von Hayek
  6. Friedrich Schleiermacher
  7. Friedrich Schiller
  8. Friedrich von Schlegel
  9. Carl Friedrich von Weizsäcker
  10. Friedrich der Große

Vraie vivante, belle morte

31 dimanche Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

George Santayana, philosophie, vérité, vie et mort

George Santayana | Spanish-American philosopher | Britannica

« It is customary to judge religions and philosophies by their truth, which is seldom their strong point; yet the application of that unsympathetic criterion is not unjust, since they aspire to be true, maintain that they are so, and forbid any opposed view, no matter how obvious and inevitable, to be called true in their stead. But when religions and philosophies are dead, or when we are so removed from them by time or training that the question of their truth is not a living question for us, they do not on that account lose all their interest; then, in fact, for the first time they manifest their virtues to the unbeliever. He sees that they are expressions of human genius; that however false to their subject-matter they may be, like the conventions of art they are true to the eye and to the spirit that fashioned them. And as nothing in the world, not even the truth, is so interesting as human genius, these incredible or obsolete religions and philosophies become delightful to us. The sting is gone out of their errors, which no longer threaten to delude us, and they have acquired a beauty invisible to the eye of their authors, because of the very refraction which the truth suffered in that vital medium. »

George Santayana, Egotism in german philosophy, J. M. dent & Sons ltd, 1939, p.136

*

En suivant l’idée ici proposée par Santayana on pourrait parler de zombification pour qualifier la substitution d’une promotion sur le terrain esthétique à une justification sur le terrain de la vérité. Ils zombifient leur religion, les auteurs d’apologétiques esthétisantes d’un culte traditionnel qui se recommandait originellement de la vérité de ses fondements. De même, pourrait-on qualifier Gilles Deleuze de grand zombifieur de la philosophie quand il propose de définir celle-ci comme création de concepts.

Tutoyons les sommets du snobisme

30 samedi Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Non classé

≈ Poster un commentaire

Je viens de dégotter une version numérique d’une édition bilingue anglais -persan du Divân d’Hâfez de Chiraz. Je vais ainsi pouvoir franchir un pallier en terme de snobisme : non seulement citer sur ce blog des vers dans une langue que je ne parle ni ne comprends (ce que je fais depuis longtemps) mais afficher des citations écrites dans un alphabet que je suis incapable de déchiffrer.

Réservé aux amis

29 vendredi Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Divers vers

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

amitié, hospitalité, W. H. Auden

…

Should you have troubles (pets will die
Lovers are always behaving badly)
And confession helps, we will hear it,
Examine and give our counsel :
If to mention them hurts too much,
We shall not be nosey.

Easy at first, the language of friendship
Is, as we soon discover,
Very difficult to speak well, a tongue
With no cognates, no resemblance
To the galimatias of nursery and bedroom,
Court rhyme or shepherd’s prose,

And, unless spoken often, soon goes rusty.
Distance and duties divide us,
But absence will not seem an evil
If it make our re-meeting
A real occasion. Come when you can:
Your room will be ready.

…

W. H. Auden, For Friends Only

*

…

Si vous êtes soucieux (des animaux favoris meurent,
Les amants se comportent toujours mal),
Et qu’une confession soulage, nous l’écouterons,
Apprécierons et donnerons notre conseil ;
Si de parler de vos soucis est trop pénible,
Nous ne serons pas indiscrets.

Aisé d’abord, le langage de l’amitié
Est, comme nous le découvrons vite,
Très difficile à bien parler, une langue
Sans mots apparentés, sans ressemblance
Avec les jargons de la nurserie et de la chambre,
La poésie courtoise ou la prose des pastorales,

Et, si on ne le parle pas souvent, vite rouillé.
Distances et obligations nous séparent,
Mais l’absence ne paraîtra pas un mal
Si elle fait de notre retrouvaille
Un véritable événement. Venez quand vous pourrez :
Votre chambre sera prête.

…

trad. Jean Lambert, ed. Gallimard

Celles qui fuient et celles qui lancent des pommes

27 mercredi Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

amour, Anne Carson, fuite

Daphné fuyant

« Pursuit and flight are a topos of Greek erotic poetry and iconography from the archaic period onward. It is noteworthy that, within such conventional scenes, the moment of ideal desire on which vase-painters as well as poets are inclined to focus is not the moment of the coup de foudre, not the moment when the beloved’s arms open to the lover, not the moment when the two unite in happiness. What is pictured is the moment when the beloved turns and runs. The verbs pheugein (‘to flee’) and diōkein (‘to pursue’) are a fixed item in the technical erotic vocabulary of the poets, several of whom admit that they prefer pursuit to capture. […]
Lovers who do not wish to run may stand and throw : an apple is the traditional missile in declarations of love (e.g., Ar. Nub. 997) [1]. The lover’s ball, or sphaira, is another conventional mechanism of seduction, so often tossed as a love challenge (e.g., Anakreon 358 PMG; Anth. Pal. 5.214, 6.280) that it came to emblematize the god himself, as Eros Ballplayer, in later verse (Ap. Rhod. 3.132-41).

Anne Carson, Eros the bittersweet

 

[1] Aristophane, Nuées, 997 : « Tu apprendras à détester l’Agora, à t’abstenir des bains, à avoir honte de ce qui est honteux, et, si quelqu’un te raille, à prendre feu ; à te lever de ton siège au passage des vieillards, à ne rien faire de mal à tes parents, à ne commettre aucun acte indécent, car tu dois figurer la statue de la Pudeur ; à ne pas courir après une danseuse, car si tu te mets à cette poursuite, une courtisane te jettera une pomme, et tu seras privé de ta réputation »

*

Add. 03/08/22

Je me dois de signaler une reviviscence de la tradition du jet de fruit dans la poésie amoureuse. Chez Miguel Hernández, le citron a avantageusement remplacé la pomme et l’amoureux s’en trouve tout émoustillé.

Me tiraste un limón, y tan amargo,
con una mano cálida, y tan pura,
que no menoscabó su arquitectura
y probé su amargura sin embargo.

Con el golpe amarillo, de un letargo
dulce pasó a una ansiosa calentura
mi sangre, que sintió la mordedura
de una punta de seno duro y largo.

[…]

Tu m’as lancé un citron tellement
amer, d’une main si chaude et si pure
qui n’en a pas altéré la texture
et dont je goûtai le fiel cependant.

Sous le jaune projectile, mon sang,
d’une torpeur douce à une brûlure
avide est passé, sentant la morsure
de la pointe d’un sein dur s’allongeant.

trad. Monique-Marie Ihry

 

Grand ou sublime ?

25 lundi Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Non classé

≈ Poster un commentaire

« Grand est celui qui surmonte le terrible. Sublime celui qui, même en y succombant, n’en a pas peur. […] Grand fut Hercule lorsqu’il entreprit et acheva ses douze travaux. Sublime fut Prométhée lorsque, enchaîné sur le Caucase, il ne regretta pas son acte ni n’avoua sa faute. On ne peut se montrer grand que dans le bonheur, sublime que dans le malheur. »

Friedrich Schiller, Du sublime in Grâce et dignité et autres textes, Vrin p. 140

Taciturnus toujours au top semaine 30

24 dimanche Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Non classé

≈ Poster un commentaire

Top 5 des auteurs ressortissants de l’Empire austro-hongrois

Comme pour les russes et les italiens, le classement est élaboré sur la base d’un critère quantitatif (le nombre de pages lues) mais évalué de manière pifométrique.

  1. Sigmund Freud
  2. Robert Musil
  3. Joseph Roth
  4. Stefan Zweig
  5. Hugo von Hofmannstahl

Langage et conscience de soi selon Herder

24 dimanche Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Johann Gottfried Herder, langage

Portrait Johann Gottfried of Herder (174 - Anton Graff en reproduction  imprimée ou copie peinte à l'huile sur toile

« Ce médium du sentiment que nous avons de nous-même et de notre conscience intellectuelle c’est — le langage. Des personnes muettes et sourdes de naissance témoignent par d’étranges exemples combien la raison, la conscience de soi sommeillent profondément où elles ne peuvent imiter .; et je crois (de façon assez contraire à mon ancienne opinion) que vraiment un tel bâton d’éveil a dû venir en aide à notre conscience interne, comme la lumière pour pour qu’il puisse voir, le son pour l’oreille pour qu’elle puisse entendre. Tout comme ces media externes sont vraiment pour le sens qui leur correspond un langage, qui épelle pour eux certaines propriétés et les côtés des choses, de même, je crois, il faut que le mot, le langage, vienne en aide pour éveiller et conduire notre vision intérieure et notre audition. Aussi, voyons-nous, l’enfant se rassemble lui-même [en un soi], il apprend à parler tout comme il apprend à voir, et exactement, par conséquent, à penser. Qui a observé des enfants, comment ils apprennent à parler et à penser, les drôles d’anomalies et d’analogies qui s’expriment tout du long, ne sera guère dans le doute. Même dans les langues les plus profondes raison et mot ne sont qu’Un concept, Une chose : λόγος. L’être humain regarde bouche bée images et couleurs jusqu’à ce qu’il parle, jusqu’à ce qu’à l’intérieur de son âme, il donne des noms. Ces êtres humains qui, si je peux parler ainsi, possèdent beaucoup de ce mot intérieur, ce don intuitif et divin de la désignation, ont aussi beaucoup d’entendement, beaucoup de jugement. Ceux qui n’en ont pas, même si une mer complète d’images devait nager autour d’eux, ils regardent seulement fixement quand ils les voient, ils ne peuvent pas les comprendre, ni les transformer en soi, ni en avoir usage. Plus on renforce, guide, enrichit, forme ce langage intérieur d’un être humain, plus on guide sa raison et on rend le divin vivant en lui, qui a besoin du bâton de la vérité, et qui s’élève en s’appuyant sur eux, comme en sortant du sommeil. — Nous verrons ailleurs les conséquences nombreuses que cela entraîne.

Notre connaissance n’est donc pas, même si c’est également bien sûr le soi le plus profond en nous, aussi autonome, volontaire et indépendante qu’on le croit. Tout cela mis de côté (ce qui a été montré jusqu’ici), [on peut voir] que notre connaître vient uniquement de la sensation, [mais que] l’objet doit encore venir à nous par des liens secrets, par un signe, qui nous enseigne à connaître. Cet enseignement, ce signe d’un étranger, qui imprime en nous sa marque, donne à notre penser toute sa forme et sa direction. Sans considération pour tout ce que l’on voit, ce qu’on entend et ce qui afflue de dehors, nous pourrions avancer à tâtons dans la nuit profonde et l’aveuglement, si l’instruction n’avait pas auparavant pour nous gravé en nous des formules de pensée également [déjà] toutes prêtes à l’emploi. C’est alors que notre force s’éleva vers le haut, apprit à se sentir et à s’utiliser soi-même. Pendant longtemps et souvent toute notre vie durant, nous avançons en nous appuyant sur les béquilles que l’on nous a fournies dans la plus tendre enfance, nous-mêmes pensons mais seulement dans les formes dans lesquelles les autres ont pensé, nous connaissons ce que le doigt de telles méthodes nous indique; le reste est pour nous comme s’il n’existait pas du tout.

Pour la plus grande part, cette « naissance de notre raison » est tellement indécente pour les sages de notre monde qu’ils la méconnaissent totalement et vénèrent leur raison comme un oracle incarné, éternel, indépendant de tout, comme un oracle incarné, éternel, indépendant de tout, infaillible. Sans un doute, ces sages n’ont jamais marché en culottes courtes, ils n’ont jamais appris à parler comme leurs nourrices parlaient, ou bien ils n’ont peut-être assurément aucun « cercle de sensation » déterminé, aucune langue maternelle et humaine. Ils parlent comme les dieux : c’est-à-dire, ils pensent purement et connaissent de façon éthérée, c’est pourquoi aussi seuls des proverbes divins et raisonnables peuvent sortir de leurs bouches. Tout pour eux est inné, [déjà] implanté [en eux], l’étincelle de raison infaillible dérobée au ciel sans un Prométhée. Laisse-les parler et adorer leurs mots imaginaires : ils ne savent pas ce qu’ils font. Plus quelqu’un est descendu profondément en soi-même, dans la structure et l’origine de ses pensées les plus nobles, plus il couvrira ses yeux et ses pieds et dira : « Ce que je suis, je le suis devenu. J’ai grandi comme un arbre : le germe était là ; mais l’air, la terre et tous les éléments que je n’ai pas plantés autour de moi devaient contribuer pour former le germe, le fruit, l’arbre. »

Johann Gottfried Herder,Du connaître et du sentir de l’âme humaine, trad. Claire Pagès, ed. Allia, p. 46 – 48

Responsabilité du poète

23 samedi Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Czeslaw Milosz, Frans Masereel, histoire, responsabilité, Walt Whitman

Walt Whitman - Poèmes de Walt Whitman

Le vrai coupable que l’histoire officielle vous cache.

« Qui fut responsable du déclenchement de la Première Guerre mondiale ? L’empereur Guillaume ? Le tsar Nicolas ? Vous faites erreur. C’est le poète américain Walt Whitman. Certes, il est mort en 1892, mais son œuvre gagna l’Europe et y fut sans doute plus présente que dans son Amérique natale. C’est lui qui mit un revolver dans la main de Gavril Princip, le jeune assassin de l’archiduc Ferdinand, à Sarajevo. Le groupe poético-révolutionnaire auquel appartenait Princip adorait Whitman, prophète de la démocratie et de la libération des « masses », chantre de la fraternité entre les hommes dont chacun vaut autant que son prochain, et ce en dépit de l’ordre imposé par les bandits couronnés. C’est ainsi que Whitman apparaissait aux enthousiastes de tous les pays et je ne peux pas ne pas associer cet élan avec les gravures de Franz Masereel, qui illustrent les aventures d’un jeune homme dans une ville moderne — et qui ressemble justement à Princip — ou avec le roman de Romain Rolland Jean-Christophe. […] Sans nul doute le coup de feu tiré par Princip, qui croyait à la fraternité, acheva le siècle de l’optimisme, et l’on se mit par la suite à évoquer ces années comme si leur unique vérité n’avait été exprimée que par l’œuvre de Kafka. »

Czeslaw Milosz, L’immoralité de l’art, Fayard, p. 282

*

Si la vie n’était pas si courte je prendrai le temps de lire la biographie que Tim Butcher a consacrée à Gravilo Princip pour m’assurer que Milosz dit vrai. Cet article mentionne d’autres influences littéraires de l’activiste bosniaque, mais pas Whitman.

« As a child, he was weak and frail, most likely due to the impoverished state in which the family lived. Six of his eight siblings died in infancy. Princip took refuge in books, reading works of Alexandre Dumas, Oscar Wilde, Walter Scott and many more. Pappenheim wrote that Princip would rather starve than sell one of his books. »

Ceux que les étiologies littéraires de la première Guerre Mondiale intéressent compléteront avantageusement ce texte de Milosz par la tirade que Fitzgerald place dans la bouche du héros de Tendre est la nuit.

A ceux qui, comme moi, ne connaissaient pas Frans Masereel, que mentionne Milosz, je propose ci-dessous un exemple de l’œuvre du graveur belge et je signale cet article consacré à la réédition de La ville, précurseur des romans graphiques contemporains.

Philosophie des fragments posthumes

22 vendredi Juil 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

écrire, Kierkegaard, style

« Donnons donc à notre tendance la marque d’un essai dans l’effort fragmentaire ou dans l’art d’écrire des papiers posthumes. Un travail complètement terminé ne garde aucun contact avec la personnalité du poète ; lorsqu’il s’agit de papiers posthumes on sent toujours dans leur discontinu, leur décousu un grand besoin d’imaginer poétiquement cette personnalité. Des papiers posthumes sont semblables à une ruine, et quel refuge pourrait être plus naturel à des inhumés? L’art est donc de produire artistiquement la même impression, le même laisser-aller et le même effet du hasard, le même raisonnement anacoluthe, l’art est de produire une jouissance qui ne soit jamais tout à fait du moment présent mais possède toujours en elle-même un élément du passé, de manière à être présente dans le temps passé. Ceci est exprimé dans le mot : posthume. Tout ce qu’un poète a produit est posthume dans un sens ; mais même s’il possédait la qualité purement fortuite de n’avoir pas été publié du vivant de son auteur, on n’appellerait jamais posthume un travail entièrement terminé. Je pense que c’est là encore une propriété de toute création humaine d’être, dans sa vérité, ainsi que nous l’avons comprise, une chose posthume puisqu’il n’est pas donné aux hommes de vivre, comme les dieux, dans la contemplation éternelle. « 

Søren Kierkegaard, Ou bien … ou bien …, Tel p. 119

Søren Kierkegaards papirer 25 - dba.dk - Køb og Salg af Nyt og Brugt
Les œuvres vraiment posthumes de Kierkegaard
← Articles Précédents

Archives

  • mars 2023 (5)
  • janvier 2023 (10)
  • décembre 2022 (6)
  • novembre 2022 (7)
  • octobre 2022 (6)
  • septembre 2022 (15)
  • août 2022 (24)
  • juillet 2022 (28)
  • juin 2022 (19)
  • mai 2022 (20)
  • avril 2022 (23)
  • mars 2022 (27)
  • février 2022 (29)
  • janvier 2022 (31)
  • décembre 2021 (25)
  • novembre 2021 (21)
  • octobre 2021 (26)
  • septembre 2021 (30)
  • août 2021 (24)
  • juillet 2021 (28)
  • juin 2021 (24)
  • mai 2021 (31)
  • avril 2021 (16)
  • mars 2021 (7)
  • février 2021 (6)
  • janvier 2021 (13)
  • décembre 2020 (11)
  • novembre 2020 (3)
  • octobre 2020 (3)
  • septembre 2020 (9)
  • août 2020 (18)
  • juillet 2020 (16)
  • juin 2020 (8)
  • mai 2020 (20)
  • avril 2020 (8)
  • mars 2020 (11)
  • février 2020 (18)
  • janvier 2020 (26)
  • décembre 2019 (21)
  • novembre 2019 (25)
  • octobre 2019 (26)
  • septembre 2019 (31)
  • août 2019 (27)
  • juillet 2019 (23)
  • juin 2019 (22)
  • mai 2019 (22)
  • avril 2019 (27)
  • mars 2019 (27)
  • février 2019 (24)
  • janvier 2019 (32)
  • décembre 2018 (13)
  • novembre 2018 (9)
  • octobre 2018 (12)
  • septembre 2018 (9)
  • août 2018 (13)
  • juillet 2018 (9)
  • juin 2018 (8)
  • mai 2018 (21)
  • avril 2018 (25)
  • mars 2018 (26)
  • février 2018 (22)
  • janvier 2018 (27)
  • décembre 2017 (24)
  • novembre 2017 (16)
  • octobre 2017 (19)
  • septembre 2017 (18)
  • août 2017 (21)
  • juillet 2017 (18)
  • juin 2017 (21)
  • mai 2017 (14)
  • avril 2017 (22)
  • mars 2017 (30)
  • février 2017 (12)
  • janvier 2017 (13)
  • décembre 2016 (14)
  • novembre 2016 (15)
  • octobre 2016 (22)
  • septembre 2016 (16)
  • août 2016 (24)
  • juillet 2016 (19)
  • juin 2016 (16)
  • mai 2016 (20)
  • avril 2016 (10)
  • mars 2016 (30)
  • février 2016 (28)
  • janvier 2016 (32)
  • décembre 2015 (27)
  • novembre 2015 (28)
  • octobre 2015 (31)
  • septembre 2015 (30)
  • août 2015 (33)
  • juillet 2015 (32)
  • juin 2015 (33)
  • mai 2015 (34)
  • avril 2015 (31)
  • mars 2015 (35)
  • février 2015 (32)
  • janvier 2015 (33)
  • décembre 2014 (37)
  • novembre 2014 (33)
  • octobre 2014 (33)
  • septembre 2014 (33)
  • août 2014 (33)
  • juillet 2014 (33)
  • juin 2014 (35)
  • mai 2014 (35)
  • avril 2014 (35)
  • mars 2014 (35)
  • février 2014 (30)
  • janvier 2014 (40)

Catégories

  • 7e art
  • Célébrations
  • Choses vues ou entendues
    • confession
    • Mon métier ma passion
  • Divers vers
  • Fantaisie
    • devinette
    • Philémon et Anatole
    • Taciturnus toujours au top
    • Tentatives de dialogues
  • Food for thought
    • Aphorisme du jour
    • Pessoa est grand
  • Insatiable quête de savoir
    • Il suffirait de quelques liens
  • Lectures
  • Mysticismes
  • Non classé
  • Paroles et musiques
    • Au chant de l'alouette
    • Berceuse du mardi
    • Bienvenue aux visiteurs
  • Père castor
  • Perplexités et ratiocinations
  • SIWOTI or elsewhere

Tags

Abel Bonnard alouette amitié amour art Auguste Comte Benjamin Fondane Bertrand Russell bonheur Cesare Pavese correspondance culture Dieu Djalâl ad-Dîn Rûmî Dostoievski Edmond Jabès Elias Canetti Emily Dickinson enseigner et apprendre esthétique Fernando Pessoa Friedrich von Schiller féminisme Gabriel Yacoub Goethe Hegel Hugo von Hofmannstahl humiliation Hâfez de Chiraz Ito Naga Jean-Jacques Rousseau Joseph Joubert Karen Blixen Karl Kraus Kierkegaard Kobayashi Issa Lichtenberg lune Malek Haddad Marina Tsvetaieva Marshall Sahlins mort Mário de Sá-Carneiro Nietzsche Nâzım Hikmet Omar Khayyâm Paul Eluard Paul Valéry perfection et imperfection Philippe Jaccottet philosophie Pier Paolo Pasolini Pierre Reverdy poésie profondeur racisme Ramón Gómez de la Serna Reiner Kunze religion rêve Simone Weil solitude souffrance Stefan George stoïcisme stupidité travail universalisme Urabe Kenkô utilitarisme vertu vie vérité Witold Gombrowicz éthique et esthétique

Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com.

Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies
  • Suivre Abonné∙e
    • Pater Taciturnus
    • Rejoignez 67 autres abonné∙e∙s
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • Pater Taciturnus
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné∙e
    • S’inscrire
    • Connexion
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre
 

Chargement des commentaires…