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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: janvier 2022

Toi-même tu sais

31 lundi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Tentatives de dialogues

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accusation

— Je vois bien que tu m’en veux, tu sais.

— Je ne sais pas ce qui te fait dire ça. Je te souhaite juste d’être traité comme tu m’as traité.

— Ahaha c’est bien ce que je dis, tu m’en veux.

— C’est toi qui interprètes ça comme signifiant que tu mérites une punition.

— Ok, tu marques un point. Je dois reconnaître que ma réaction n’a pas été à la hauteur de la situation.

— …

— En revanche je ne crois pas que tu sois vraiment en position de me le reprocher. Si j’avais eu l’attitude que tu attendais, es-tu bien sûr que TOI tu aurais été à la hauteur ?

— Tu noteras que je n’ai formulé AUCUN reproche.

— Bien sûr, bien sûr … tu sais très bien qu’il y a des silences accusateurs et que moi aussi je pourrais jouer à ce petit jeu jusqu’à te faire témoigner contre toi-même.

Taciturnus toujours au top – semaine 5

30 dimanche Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Paroles et musiques, Taciturnus toujours au top

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Glenn Gould, Jean-Sébastien Bach

Top 5 des Variations Goldberg

Si le top de la semaine dernière avait pu vous faire oublier à quel point je suis snob, celui de cette semaine vous ramènera à la dure réalité. Au milieu des années 90, la future Mme Taciturna m’ayant confié qu’elle aimait Bach, je m’étais précipité sur les bacs de CD d’occasion  chez Gibert musique pour me « mettre au niveau » (aujourd’hui c’est elle qui souffre de mon snobisme, n’en doutez pas !). C’est ainsi que je fis l’acquisition de la fameuse interprétation des Variations Goldberg réalisée par Glenn Gould en 1955. J’ai plus tard acheté la version enregistrée en 1981 par le pianiste canadien, et une version sur instrument d’époque par je ne sais plus quel interprète, mais c’est ma première acquisition qui reste ma version préférée. Cependant, ce n’est pas mon « top des interprétations » que je vous propose aujourd’hui mais mon classement des Variations elles-mêmes, classement rigoureusement subjectif cela va sans dire ( je suis de toutes façons incapable d’argumenter en matière de musique).

J’ai un temps envisagé de proposer un « top 10 », mais j’y ai vite renoncé, car je ne pense pas qu’au delà des 5 premières mes préférences restent stables, au cours du temps ou en passant d’une interprétation à l’autre. Les trois premières sont celles que j’arrivais déjà à identifier non seulement avant de me lancer dans l’exercice de constituer un top  mais vraisemblablement dès les premières écoutes.

1. Variation n° 13

2. Aria / Aria da capo

3. Variation n° 7

4. Variation n° 30

5. Variation n° 10

Si vous souhaitez lire des choses intelligentes sur la notion de préférences musicales, allez donc voir cet article sur le blog de Pascal Engel.

Anticipation parlementaire du Grand Inquisiteur

30 dimanche Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Dostoievski, Jésus

La fable du Grand Inquisiteur est un épisode fameux des Frères Karamazov. Dans le roman précédent de Dostoievski, L’Adolescent, on trouve un bref passage qui semble en constituer comme une prémonition, mais c’est une commission parlementaire anglaise qui se trouve alors jouer le rôle ultérieurement dévolu au Grand Inquisiteur.

« Figure-toi que Piotr Hippolitovitch assurait tout à l’heure à cet autre locataire grêlé que le Parlement anglais avait formé au siècle dernier une commission de juristes pour examiner tout le procès du Christ devant le grand-prêtre et Pilate, uniquement pour savoir comment la chose se passerait aujourd’hui d’après nos lois, et que toute cette histoire fut montée avec toute la solennité voulue, avec avocats, procureurs et le reste… et que les jurés furent obligés de porter un verdict de culpabilité. »

Dostoïevski, L’adolescent, trad. Pierre Pascal, Folio, p.296

Désaliénation

29 samedi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in confession

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aliénation, libération

Il y a tout lieu de se réjouir d’être libéré d’une aliénation.  Quand vous êtes libéré par l’instance même envers laquelle vous étiez aliénés vous pourriez être tentés de l’en remercier, mais si elle a produit cet effet involontairement, vous êtes même libérés de cette obligation de gratitude et par là-même du risque de reconduction de l’aliénation.

Ainsi faut-il se réjouir de l’acte tue-l’amour commis par la personne pour laquelle vous étiez sur le point de perdre la tête, comme dans cette fameuse Chronique de la haine ordinaire.

C’est une expérience semblable que je suis peut-être actuellement entrain de vivre. J’avais le plus grand mal à tenir ma résolution de cesser de perdre mon temps sur Twitter, mais le réseau de l’oiseau bleu vient de mettre en place une mesure qui pourrait m’aider à prendre mes distances. Il cherche, semble-t-il, à pousser les visiteurs sans compte – dont je fais partie – à s’inscrire, ce que je suis bien résolu à ne pas faire. Lorsque je remonte le fil d’un compte auquel je vais jeter un œil, le défilement est rapidement bloqué par un écran de ce genre :

Screenshot 2022-01-29 at 21-11-53 Små Lätta Moln ( TyphonBaalAmmon) Twitter

La chaîne L’équipe a mis une mesure semblable en place il y a quelque mois et a ainsi brillamment réussi à me dissuader de perdre du temps à regarder ses émissions. Je crains cependant que la mesure prise par Twitter soit conçue pour être contournable au prix d’une perte de temps auquel cas mon aliénation pourrait ne pas cesser mais seulement devenir plus coûteuse.

Tu as la flemme donc tu es libre !

29 samedi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Tentatives de dialogues

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aliénation, libération, paresse

Longtemps tu as bouilli intérieurement de ne pouvoir dire ce que tu avais sur le cœur. Tu avais le sentiment qu’à force de prendre sur toi tu finirais écrasé sous le poids à porter.

Un jour enfin l’occasion de vider ton sac de fût donnée. Mais c’est alors que tu mesuras à quel point il serait fastidieux de recollecter tout ce que tu avais un jour brûlé de dire. C’est l’effort d’avoir à t’expliquer qui te paraissait désormais insurmontable. Tu pris alors conscience que tu étais libre de ce dont tu t’étais cru jusque là prisonnier.

Misologie philanthropique (2)

28 vendredi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

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des idées et des hommes, Witold Gombrowicz

« Dites-le-vous bien : peu m’importent vos arguments et contre-arguments, cette espèce de qua­drille où le sage s’embrouille aussi facilement que le dernier des profanes. Parce que moi, qui ressens les hommes d’une manière très directe, j’observe vos visages tandis que vous parlez et j’y vois comment la théorie les creuse de grimaces. Je n’ai pas à consta­ter si vous avez tort ou raison ; pour moi, l’important est que vos raisons ne fassent pas de votre visage une gueule, qu’influencés par leur empire vous ne finis­siez pas par devenir haïssables, répugnants et indi­gestes. Le contrôle des idées n’est pas de mon domaine, il est de constater directement comment une idée peut influencer un homme. Qu’est-ce qu’un artiste ? C’est celui qui vous dit : cet homme parle d’or, mais lui-même est un imbécile. Ou bien : de ces lèvres coule la plus pure des morales, mais atten­tion! impuissant à satisfaire à sa propre morale, cet homme est en passe de devenir une canaille.

Ce raisonnement me paraît avoir son prix, — abstraite en effet de son homme, l’idée ne parvient pas à exister pleinement. Il n’y a d’idées qu’incarnées. Il n’y a d’autre verbe que fait chair. »

Witold Gombrowicz, Journal, Tome I, Folio p. 190 – 191

Le destin de Marie Delacroix

27 jeudi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Paroles et musiques

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Amália Rodrigues

Chamava-se ela Maria, de sobrenome da Cruz
E na aldeia onde viva, sorria, vivia, na paz de Jesus
 
Tinha um amor a quem ela seu coração entregara
Junto ao altar da capela singela onde ela, paixão lhe jurara
 
Mas certo dia veio a saber-se na aldeia
Que o seu pastor lhe mentia
Que esse amor se lhe extinguia como a luz duma candeia
 
Desiludida no seu amor, a Maria deixou o lar, e perdida
Veio caír desfalecida num portal da Mouraria
 
Sofreu a dôr da amargura, perdeu o viço e a côr
E não voltou a ventura, ternura, a doçura do amor do pastor
 
E hoje por cruz, a Maria que é da Cruz por seu fadário
Arrasta na Mouraria a cruz da agonia, a cruz do calvário
 
Ainda canta uma canção quase morta
Mas um estertor na garganta, oiço já, quando ela canta
Ao passar á minha porta
 
Não tarda o dia em que ela enfim, já vencida
Terminará a agonia de arrastar na Mouraria
Toda a cruz da sua vida

Démiraculer l’amitié ?

26 mercredi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

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amitié, Maurice Blanchot

La formule du titre n’est pas de moi, je l’ai lue naguère sur un blog que je n’ai pas réussi à retrouver et dont j’ai oublié l’auteur. Il s’agissait du titre d’un article consacré à discuter les idées de Simone Weil sur l’amitié. J’ai repensé à cette formule en tombant sur ce commentaire de Blanchot à propos de sa rencontre avec Robert Antelme :

« Je ne dirai pas que dès alors je sais combien son amitié me sera précieuse. Ce serait romantique. Dans les considérations de Montaigne sur son amitié soudaine avec La Boétie : «Parce que c’était lui… parce que c’était moi… », j’ai toujours été moins ému que heurté. C’est plus tard, à mesure que le temps passe, quand le même Montaigne renonce à introduire dans ses écrits Le Discours sur la servitude volontaire (qui en devait être le point central) qu’il revient à des sentiments plus justes, justes, moins exaltés, nous laissant entendre la complexité de l’amitié et la discrétion qu’elle requiert, lorsqu’on en parle. »

Maurice Blanchot, Pré-texte – Pour l’amitié [1]

[1] Ce texte sert de préface au livre de Dionys mascolo, A la recherche d’un communisme de pensée.

*

Mise à jour 29 janvier 2022 : je viens de retrouver la source du titre « Démiraculer l’amitié ». Il s’agit d’un texte de Didier Moulinier sur son blog Hérésies ordinaires, aujourd’hui « privé ». Il se trouve que j’avais fait une copie de ce texte dans l’intention d’écrire un article le confrontant à un autre texte … chose que j’ai finalement eu la femme de faire.

Iwamura studies

25 mardi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Fantaisie, Lectures

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Kazuo Iwamura

Nouvel effet bénéfique de la rédaction hebdomadaire des « tops », celui de dimanche dernier m’a donné l’occasion de découvrir un article intitulé Espace et spatialité chez Kazuo Iwamura. Je me réjouis de ne pas être le seul à m’étonner de la scandaleuse désinvolture des traducteurs pour ce qui est des noms des membres de la famille souris :

« Dans l’édition japonaise, toutes les Souris sont même numérotées et identifiées par un nom que l’on retrouve çà et là dans l’édition française : Papa, Maman, Grand-père, Grand-Mère, Grand-Frère, Grande-Sœur, Octave, Quentin, Pierrot, Paulin, Grégoire, Sylvestre, Petite Sœur et Benjamin. On relèvera d’ailleurs que seuls les garçons ont un nom… »

Il est plus que temps de retraduire l’œuvre du maître et de l’accompagner d’un appareil critique digne de sa portée philosophique !

A propos du lieu commun « les extrêmes se rejoignent »

24 lundi Jan 2022

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Etienne Balibar, extrémisme

J’étais convaincu que la formule « les extrêmes se rejoignent » exprimait un lieu commun typiquement centriste que les personnes visées récusaient purement et simplement, je viens de prendre conscience que je me trompais. Grâce en soit rendue à la discussion qu’Étienne Balibar consacre à ce topos dans Le Hobbes de Schmitt, le Schmitt de Hobbes (texte repris dans Violence et Civilité). Le ressort intellectuel de cette sorte de retournement du stigmate consiste on va le voir à retourner au centre un « extrémiste toi-même ».

Que les « extrêmes se touchent » est une vieille idée, moins simple qu’il n’y paraît, qui a fait la force et les limites de la théorie du totalitarisme, et qui s’applique ici directement. On sait que Schmitt lui-même en a proposé plusieurs illustrations, depuis la relation établie par ses premiers textes entre l’institution révolutionnaire de la « dictature » de salut public et la nécessité pour le souverain qui « décide sur la situation d’exception » de préserver I’Etat au détriment du droit positif, jusqu’à l’étude des guerres de guérilla du xxe siècle en tant que symptômes de l’émergence d’un nouvel ordre international de la paix et de la guerre (« nomos de la terre ») après l’effondrement du ius publicum europaeum fondé sur la primauté des États nationaux, en passant par l’analyse des analogies entre les deux grands « mythes » politiques de masse de l’histoire contemporaine : le mythe prolétarien (la grève générale sorélienne, la révolution des Soviets) et le mythe nationaliste (dont la « marche sur Rome » de Mussolini illustre à ses yeux la puissance propre).

Il importe de prendre conscience du fait que cette idée, soit sous la forme d’une exposition des thèmes communs aux « extrêmes » (par exemple la critique du formalisme juridique), soit sous la forme d’une étude des effets d’imitation qui se sont produits entre les mouvements révolutionnaires et contre-révolutionnaires, n’est la propriété d’aucune idéologie : on la rencontre en effet aussi bien chez des auteurs libéraux que socialistes ou conservateurs. Sa force, me semble-t-il, ne vient pas tant de la symétrie qu’elle établit entre des adversaires dont chacun a vu dans l’autre le représentant du « mal », ce qui ne les a pas empêchés d’emprunter l’un à l’autre des formes politiques et des méthodes de répression et, le cas échéant, de collaborer momentanément. Elle vient plutôt de ce qu’une telle jonction des extrêmes met en évidence le refoulé qui affecte intrinsèquement la constitution républicaine « modérée » fondée sur la division des pouvoirs, l’ordre libéral ou, comme on disait naguère, la démocratie «bourgeoise » c’est-à-dire aussi, à prendre le terme étymologiquement, la démocratie des citoyens, la politeia). En clair, si les doctrines extrêmes théorisent et pratiquent la politique à partir de l’état d’exception, cherchant au besoin à le rendre « permanent », en tout cas aussi durable qu’une transformation totale de la société, l’ordre libéral comporte en permanence une face d’exception, avouée ou dissimulée, qui tient à ce qu’il s’incarne dans un État garant d’intérêts communautaires et particuliers. Il est État de droit, mais aussi État de police; État d’intégration des individus et des groupes à la «communauté des citoyens », mais aussi État d’exclusion des rebelles, des anormaux, des déviants et des étrangers ; État social », mais aussi État de classe organiquement associé au marché capitaliste et à ses lois de population implacables ; État démocratique et civilisé, mais aussi État de puissance, de conquête coloniale et impériale. De façon latente et parfois ouverte, l’extrémisme n’est pas seulement aux marges, il est aussi au centre . C’est pourquoi la rencontre des extrêmes, dans ce qu’elle a de substantiel ou de contingent, de subjectif ou d’objectif, n’exprime pas seulement leur incompatibilité commune avec l’ordre existant, ou leur remise en question du sens de l’histoire tel qu’il est dessiné par les relations de pouvoir hégémoniques (et parfois de son non-sens), mais constitue aussi une réaction à la façon dont celles-ci définissent une normalité « cuirassée » de contraintes et de pratiques sécuritaires, de façon à neutraliser les conflits sociaux, religieux, moraux, et à constituer l’espace légal du pluralisme légitime. C’est lorsqu’elle tente de réfléchir son propre extrémisme de l’intérieur (ce qui, notons-le, a été plus souvent le fait de la pensée contre-révolutionnaire que de la pensée révolutionnaire), ou de conceptualiser comme tel le nœud de l’ordre apparent et du désordre refoulé, de la normalité et du conflit latent (ce qui a été à l’époque contemporaine plutôt le fait de la pensée révolutionnaire, notamment dans les différents discours issus du marxisme), que la théorie qui se porte aux extrêmes pour « déconstruire » I’image dominante de la société et de l’État apporte une contribution essentielle à l’intelligence de l’institution politique.

Etienne Balibar, Violence et civilité, Galilée 2010, p. 327 – 329

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