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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: décembre 2021

Rétrospective personnelle

31 vendredi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in confession

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A la veille du Nouvel An les chaînes de télévision proposent généralement des rétrospectives des événements de l’année qui vient de s’écouler. Il est amusant d’en faire autant avec nos centres d’intérêts personnels, il suffit pour cela de remonter notre historique de navigation. C’est l’exercice auquel je me suis livré hier,  afin de répondre à la question suivante : comment se fait-il que je sois devenu aussi indifférent à la situation sanitaire, moi qui suivais quotidiennement l’évolution des contaminations et des décès du COVID sur le site de Johns Hopkins ou sur Worldometers? Quand ai-je donc cessé  de m’en préoccuper ? L’investigation au sein de mon historique de navigation apporte une réponse étonnante : à peu près au moment où je me suis pris de passion pour la filmographie de Jafar Panahi.

Meurtre immortel

31 vendredi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Suite à ce bref article consacré aux blagues sur Phil Collins je m’étais demandé si une œuvre créée pour se moquer d’une autre pouvait espérer une notoriété plus durable que celle dont elle se moque.  Gombrowicz, au détour d’un échange avec Milosz, donne à cette question une réponse qui semble imparable :

 » Dans votre lettre, monsieur, vous évoquez Don Quichotte, et moi, je pense que Cervantès a écrit Don Quichotte afin de régler leur compte aux mauvais romans de chevalerie de son temps dont il ne reste aucune trace. Don Quichotte, lui, est resté. D’où une leçon pouvant servir même à des auteurs de moindre envergure – à savoir que l’on peut, sur des choses périssables, écrire d’une manière impérissable. »

J’avais pensé à d’autres exemples : le Contre Sainte-Beuve de Proust est certainement beaucoup plus lu aujourd’hui que les œuvres critiques de Sainte-Beuve, de même Misère de la philosophie de Marx a éclipsé Philosophie de la misère de Proudhon. Cependant dans ces deux cas, à la différence du Quichotte, on peut penser que le surcroît de notoriété de l’œuvre critique par rapport à l’œuvre critiquée tient à la notoriété que leur auteur a tiré d’autres œuvres (postérieures, au demeurant).

Pollution lumineuse

29 mercredi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Idea Vilariño, nuit

Es negro

Es negro para siempre.
Las estrellas
los soles y las lunas
y pingajos de luz diversos
son pequeños errores
suciedad pasajera
en la negrura esplendida
sin tiempo
silenciosa.

Idea Vilariño, Última Antología

*

Il fait noir

Il fait noir pour toujours.
Les étoiles
les soleils et les lunes
et tous les débris de lumière
ce sont là de petites erreurs
saleté passagère
dans la noirceur splendide
intemporelle
silencieuse.

trad. Eric Sarner

Petite âme en ce monde infini

28 mardi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Pier Paolo Pasolini

[…]

Un’anima in me, che non era solo mia,
una piccola anima in quel mondo sconfinato,
cresceva, nutrita dall’allegria

di chi amava, anche se non riamato.
E tutto si illuminava, a questo amore.
[…]

Pier Paolo Pasolini, Il pianto della scavatrice in Le ceneri di Gramsci

*

Une âme, en moi, qui n’était pas tout à fait mienne,
une petite âme, en ce monde infini,
croissait, nourrie de l’allégresse

de celui qui aimait, même sans être aimé.
Et tout s’éclairait à cet amour.

trad. josé Guidi

Déisme anglais

27 lundi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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déisme, Ernst Cassirer, religion

Je vous propose aujourd’hui un extrait de La philosophie des Lumières de Cassirer qui m’a permis de découvrir tardivement John Toland et Matthew Tindal.

« Le déisme est d’abord un système rigou­reusement intellectualiste qui veut bannir les mystères, les miracles, les secrets de la religion pour la porter à la claire lumière du savoir. Christianity not mysterious, le simple titre de l’œuvre de Toland (1696) suffit à indiquer le thème qui désormais ne cesse de se faire jour au sein du mouvement déiste. L’importance philosophique du déisme tient avant tout au nouveau principe qu’il sou­tient dans la position du problème religieux. La question du contenu de la foi, pose-t-il d’abord, est indissociable de la question de sa forme : les deux questions doivent être résolues l’une en même temps que l’autre. La question ne porte pas seulement sur le contenu de vérité de tel ou tel dogme mais sur le mode de la certitude religieuse comme tel. Toland pense pouvoir s’appuyer ici sur Locke, pouvoir introduire directement ses idées et ses principes de la théorie de la connaissance de Locke dans le problème de la religion. Ce qui vaut de la connais­sance en général ne doit-il pas en effet s’appliquer également à la connaissance religieuse en particulier ? Locke définissait l’acte de connaître en général comme l’acte de prendre conscience d’un accord ou d’un désac­cord existant entre les idées. Il résulte de cette définition que la connaissance contient, de par sa nature même, une relation et que, par conséquent, les termes de cette relation, avant tout, doivent être donnés à la conscience et compris clairement sous une forme ou sous une autre. Si les termes qui la fondent ne sont pas compris, la relation même perd toute signification. Ces considéra­tions purement méthodologiques apportent, selon To­land, aux objets de la foi religieuse, un principe essentiel et une limitation nécessaire. Il est exclu que ces objets soient absolument transcendants : comment notre conscience connaissante, croyante et jugeante pourrait-elle porter sur un objet, si cet objet n’était pas, de quelque manière, présent, s’il n’était pas représenté par un phénomène quelconque ? L’« irrationnel » absolu, dépassant l’entendement humain, ne comporte juste­ment pas une telle « présence » : il est donc tout aussi impossible d’affirmer qu’il est que de déterminer ce qu’il est. Si l’on objecte qu’on peut très bien être assuré de l’existence d’une chose sans connaître d’elle un seul prédicat, sans pouvoir rien dire de sa nature, l’argument ne tient pas, car, même si cette sorte de connaissance était possible, quelle signification pourrait-elle avoir pour nous ? A moins qu’on ne veuille que la foi ne devienne en elle-même totalement vaine et absurde, il faut bien que son objet ait un sens quelconque, c’est-à-dire qu’il comporte certaines déterminations qui se « compren­nent », qui soient clairement intelligibles. Ce qui est mystérieux de tous les points de vue, ce qui échappe par principe à toute compréhension doit donc demeurer étranger à la foi aussi bien qu’au savoir.

Qui pourrait se flatter d’être plus sage que son voisin parce qu’il sait de science infaillible qu’il existe dans la nature quelque chose qui s’appelle Blictri, ne sachant pas toutefois ce qu’est ce Blictri ?

Toland en conclut qu’il ne peut être question de mystère qu’en un sens relatif, non absolu. On veut indiquer par là un contenu inaccessible à un certain mode de l’entendement, non un contenu qui dépasse en général toutes les possibilités de l’entendement. Quant au mot de « mystère », il a dû signifier à l’origine une doctrine qui, sans contredire pour autant à la raison, enfermait en soi une vérité connue qui cependant, pour une raison quelconque, devait être gardée secrète pour une partie de l’humanité. L’idée de « révélation » ne s’oppose donc pas à celle de religion naturelle au sens où elles se distingueraient l’une de l’autre par leur contenu respectif. Non : ce qui les distingue n’est pas le contenu qu’elles manifestent mais la nature et le mode de cette manifestation. La révélation n’est pas une cause spécifi­que de certitude mais simplement une forme particulière de communication d’une vérité dont la preuve ultime est à chercher dans la raison.

Dans Christianity as old as the Creation (1730), Tindal part du même principe. Il marque bien tout d’abord que religion naturelle et religion révélée ne se distinguent nullement par leur substance mais seulement par la manière dont elles sont connues des hommes : l’une est la manifestation intérieure, l’autre la manifestation exté­rieure de la volonté d’un être infiniment sage et infini­ment bon. Pour penser véritablement un tel être, il nous faut nous défaire de tous les rétrécissements, de toutes les limitations de l’anthropomorphisme. Si Dieu dissi­mulait une part quelconque de son essence et de sa puissance, s’il réservait l’une et l’autre à un temps et à un peuple déterminé, aux dépens des autres, ne manifeste­rait-il pas justement en ce cas une telle limitation ? Puisque Dieu est éternellement le même et que la nature humaine n’est pas moins une et immuable, il faut que la révélation répande de tous côtés également sa lumière. Dieu ne serait pas Dieu s’il pouvait, comme le veut par exemple le dogme de la « grâce élective », dissimuler en quelque sorte sa propre nature en n’éclairant qu’une partie de l’humanité, abandonnant l’autre aux ténèbres et à l’aveuglement. La marque capitale de l’authenticité de toute révélation ne peut donc être que l’universalité qui l’élève au-dessus des limitations locales et temporelles. La christianisme est vrai au sens et dans la mesure où il remplit cette condition première. Il existe et subsiste pour autant qu’il n’est lié à aucun lieu ni à aucun temps particulier — pour autant qu’il est vieux comme le monde. Entre la loi chrétienne et la loi naturelle, il n’y a, quant au contenu, pas la moindre opposition : la loi chrétienne ne veut être que la « republication » de ce qu’avait établi et prescrit la loi naturelle. Cette publication nouvelle (a republication of the Law of Nature) s’adresse à la connaissance de l’homme mais avant tout en vue de sa moralité. Le christianisme représente par conséquent la révélation vraiment infaillible, celle qui dépasse toutes les autres en valeur et en certitude. Ainsi Tindal s’approche-t-il de la définition qui sera reprise ultérieurement telle quelle par Kant dans sa Religion dans les limites de la simple raison. La religion consiste, selon Tindal, à reconnaître dans nos devoirs les commandements de Dieu, à rapporter des normes morales d’une validité et d’une portée universelles à leur auteur en les considérant comme l’expression de sa volonté. Même dans le développement du déisme anglais, donc, le centre de gravité s’est maintenant déplacé du plan purement intellectuel à celui de la « raison pratique » : le déisme « moral » a pris la place du déisme « constructif ». L’extraordinaire influence que le déisme anglais a exercé sur l’ensemble de la vie intellectuelle du XVIIIe siècle repose essentiellement sur cette nouvelle orientation. A ne considérer que son contenu théorique, l’intensité de cette influence est difficilement concevable. Parmi les penseurs les plus en vue de ce mouvement, aucun ne possède en effet une véritable profondeur, une marque vraiment originale et les raisonnements purement théoriques par lesquels le déisme appuie la défense de ses points de vue sont souvent contestables et s’en tiennent à des demi-vérités. Plus que tous ces raisonnements, l’attitude du déisme, la volonté sincère de vérité et de sérieux moral avec laquelle il aborde la critique du dogme a fortement impressionné. C’est là que réside sa puissance spécifique, celle qui le meut de l’intérieur. »

Ernst Cassirer, La philosophie des Lumières, p. 235 – 239

Le détail qui tue

26 dimanche Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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détail, Witold Gombrowicz

Le 3 février 1958 Gombrowicz consacre une page de son Journal à sa détestation de Balzac :

 » Dire qu’il suffit pour gâcher la meilleure des soupes d’y ajouter une cuillerée de vieille graisse ou un soupçon de dentifrice. Il suffit d’une goutte de mauvais Balzac, prétentieux et mélodramatique, pour rendre indigestes tous ces volumes, cette personnalité toute entière. »

Je ne résiste pas à la tentation de partager sa conclusion qui élargit le propos au delà du cas précis de Balzac :

« Dans le domaine des rapports personnels, et tels sont nos rapports avec les artistes, une bagatelle pèse parfois plus lourd que la pyramide de qualités la plus gigantesque. Il est plus facile d’en venir à détester quelqu’un parce qu’il se fourre les doigts dans le nez que de l’aimer parce qu’il a créé une symphonie. Car le détail est caractéristique et détermine la personne dans sa dimension quotidienne. »

Il est un point qu’il faudrait éclaircir : ce pouvoir de la bagatelle ne joue-t-il que dans un seul sens ? Si un geste vulgaire peut peser plus lourd qu’une pyramide de qualités, un geste charmant peut-il éclipser une montagne de défauts ?

L’excès d’amour de ma désespérance

25 samedi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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désespérance, Pier Paolo Pasolini, religion

Pur sopravvivendo, in una lunga appendice
Di inesausta, inesauribile passione
— che quasi in un altro tempo ha la radice —

so che una luce, nel caos, di religione,
una luce di bene, mi redime
il troppo amore nella disperazione…

[…]

Pier Polo Pasolini, Appendice alla “Religione”: Una luce (1959)

*

Bien que je me survive, en un long appendice
de passion inépuisée, inépuisable
— qui plonge, semble-t-il, en un autre temps ses racines —

je sais qu’en ce chaos une lueur de religion,
une lueur de bien, rachète
l’excès d’amour de ma désespérance…

trad. José Guidi

Joyeux Noël avec Lionel Hampton

24 vendredi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Célébrations, Paroles et musiques

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Lionel Hampton

Philosophie du confident (2)

22 mercredi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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confidence, dialogue, Roland Barthes

« Le rôle du confident est mythique : puisque je ne puis maîtriser réellement les contradictions où me jette le sentiment amoureux, je raconte une histoire dont la fonction est de dialectiser ces contradictions. Le confident me permet de narrer, de réciter, de produire un intelligible : j’arrange l’Image dans le sens qui me convient, soit que je l’exalte (et me rassure d’aimer un être dont je décris la valeur), soit que je la diminue, me permettant de petites agressivités, des ironies malignes que je n’oserais jamais assumer face à l’objet aimé. […]

(Ce profit narratif est ambigu, car ce n’est jamais que profit de l’Imaginaire. De la confidence amoureuse, on ne peut attendre aucun effet analytique ; car plus je parle (au confident), plus je chois dans l’Imaginaire ma confidence me ramène sans cesse au « psychologique ».) […]

Dans la confidence, le dialogue est faible. Le confident écoute, relance (par amitié), objecte parfois (sans conviction), ne conteste jamais longtemps, car (tout en lui le dit) il parle à un fou. Tel le coryphée antique, sa fonction est de faire marcher le monologue. Ce monologue est celui de la « souffrance », non de l’action ; la pièce montée (racontée) par l’amoureux n’est pas un drame, mais une tragédie, et des plus archaïques, entre le coryphée et le héros tragique, entre le confident et l’amoureux, nulle joute, l’un est subordonné à l’autre : seulement une longue plainte ; le dialogue (la « scène ») est réservé (fût-ce intérieurement) à mon autre. »

Roland Barthes, Le discours amoureux, Séminaire à l’École pratique des hautes étude, Seuil, p. 629 – 630

Lichtenberg féministe

21 mardi Déc 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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beauté, féminisme, Lichtenberg

« En ce monde, les hommes sont redevables de nombreuses et singulières trouvailles poétiques à leur instinct de reproduction, – on pensera ici, entre autres, à la jeune femme idéale. Il est dommage que les filles enflammées ne puissent écrire sur les beaux jeunes gens, comme elles le feraient bien si on le leur permettait. La beauté masculine n’a pas encore été peinte par de telles mains ; qui, seules, eussent pu la peindre avec une passion véritable. L’esprit qu’un regard fasciné découvre dans un corps qui l’a charmé se montre vraisemblablement d’une tout autre manière pour une jeune femme regardant un corps masculin, qu’il ne se découvre, pour un jouvenceau, à travers celui d’une femme. »

Lichtenberg, Le miroir de l’âme [A 139]

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