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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: septembre 2021

En attendant

30 jeudi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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attente, Idea Vilariño

Sólo esperar que caigan
que se gasten
que pasen
los días
los minutos
los segundos que quedan.

Idea Vilariño, Última Antología

*

Attendre seulement que tombent
que s’usent
que passent
les jours
les minutes
les secondes qui restent.

trad. Eric Sarner

Sens d’un silence

29 mercredi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Kierkegaard, silence

https://nospensees.fr/wp-content/uploads/2019/02/kierkegaard.jpg

« Que le secret et le silence, qui est la voix du secret, aient lourde­ment hanté Kierkegaard, c’est une évidence. Des pseudonymes tels que Frater Taciturnus et Johannes de Silentio contiennent à eux seuls toute une psychologie de l’autoclaustration et du masque. Il est un sens dans lequel la prolixité des écrits publiés par Kierkegaard exprime authentiquement une volonté de pré­server l’inviolabilité d’une zone de secret muet. Il est tout aussi évident que Kierkegaard s’identifie intensément et concrètement avec ces « fiancées du silence » que sont Antigone et Cordélia. Le rapprochement de ces deux personnages dans L’Alternative, où Cordélia est la proie du séducteur, suggère que Kierkegaard a pu percevoir intuitivement les affinités troublantes entre la figure d’Œdipe et celle de Lear. Et, de fait, il considère bien que sa rupture tragique avec Régine Olsen était la conséquence d’un absolu et de la nécessité compulsive à protéger un secret innommable. Mais la façon dont Kierkegaard traite ce thème n’est pas moins délicate ni obsédante que celle des autres romantiques. C’est pré­cisément le pivot des récits et des drames de Kleist : Alkmene, Kätchen, Penthesilea, la marquise d’O., toutes sont les porteuses tourmentées mais sanctifiées d’un secret qui les domine. Par conséquent, l’Antigone de Kierkegaard, tout comme ses sœurs romantiques en silence, exprime bien plus qu’un étouffement intime.

Elles s’intègrent très probablement dans une critique éloquem­ment et fréquemment formulée dans les premières décennies du XIXe siècle contre les nouvelles menaces que la technologie et le journalisme font peser sur l’autonomie spirituelle de l’individu. Comment faire pour demeurer hin enkelte (« cet individu »), cette présence singulière sans laquelle il ne peut pas y avoir d’intégrité spirituelle ni de conscience de l’identité à ce niveau, face aux pré­tentions bruyantes de la culture de masse ? Cette question n’a pas plus d’urgence pour Kierkegaard qu’elle n’en a, par exemple, pour Carlyle ou pour Emerson. Une des réponses qu’on peut lui donner réside dans la garde d’un secret, secret assez lourd et assez vaste pour protéger l’âme contre la dispersion. »

George Steiner, Les Antigones, Folio essais, p. 72

Tanz mit mir

28 mardi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Paroles et musiques

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FAUN

Pour Mater Taciturna qui sait mon goût pour la danse !
Merci à Abdelraouf de m’avoir fait découvrir cette chanson

Sans engagement (3)

28 mardi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Chritopher Lasch, engagement, liberté sexuelle, possessivité, sexualité

« La promiscuité sexuelle est la façon la plus courante d’échapper à la complexité des sentiments : elle marque une volonté de séparer nettement sexualité et affectivité. Là encore, la fuite en progrès. L’idéologie progressiste des « engagements libres » et du « sexe désentimentalisé » fait du désengagement affectif une vertu alors même qu’elle prétend s’ériger en critique de la dépersonnalisation de la sexualité. Des sommités comme Alex Comfort, Nena et George O’Neill et Anna Francœur soulignent la nécessité  de donner une dimension humaine à l’acte sexuel en en faisant une « expérience complète » et non un acte mécanique ; mais, dans le même temps, ils condamnent des émotions humaines comme la jalousie et la possessivité et s’insurgent contre les « illusions romantiques ». Dans leur sagesse, les thérapeutes d’avant-garde invitent hommes et femmes à exprimer leurs besoins et leurs désirs sans réserve — partant du principe qu’ils sont tous également légitimes — mais ils les mettent en garde contre l’illusion qui leur ferait croire qu’un seul partenaire peut les satisfaire tous. Cette éthique cherche à apaiser les tensions affectives, en fait, en limitant les exigences mutuelles, et non en renforçant la capacité des hommes et des femmes d’y faire face. Encourager la sexualité en tant que composante « saine » et « normale » de la vie masque un désir de la dépouiller de l’intensité affective qui s’y rattache inévitablement, tant à cause du souvenir des relations avec les parents au cours de l’enfance que de la tendance « malsaine » à réintroduire le même schéma dans les rapports amou­reux. L’insistance avec laquelle les experts affirment que la sexualité n’a rien de « sale » trahit la volonté de l’asep­tiser, en la débarrassant de toutes ses associations inconscientes. »

Christopher Lasch, La culture du narcissisme, p. 316 – 317

Amour immérité

27 lundi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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amour, Dostoievski, mérite

— Quant à toi, mon cher Arkadi, ne nous en veuille pas ; des gens intelligents, tu en trouveras toujours, mais qui t’aimera, si nous ne sommes pas là ?

— C’est justement pourquoi l’amour des parents est immoral, maman : il est immérité. Et l’amour doit être mérité.

— Tu le mériteras plus tard, en attendant on t’aime gratis.

Dostoïevski, L’adolescent, trad. Pierre Pascal, Folio, p. 284

Rassure-moi, mais pas trop

27 lundi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Perplexités et ratiocinations

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embarras, offense

Chose embarrassante : Constater que le meilleur moyen de rassurer une personne est de se montrer désobligeant envers elle.

— Ne t’inquiète pas, je ne te demanderai rien. J’ai  bien compris qu’on ne pouvait pas compter sur toi!

Quel snob es-tu ?

26 dimanche Sep 2021

Posted by patertaciturnus in confession

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snobisme

— Taciturnus, tu te plais à te proclamer « légitimiste culturel » pourquoi ne pas simplement dire que tu es snob ?

— Si ça peut te faire plaisir, disons que c’est une manière snob de reconnaître que je suis snob.

— Intégriste du snobisme, alors ?

— Oh que non ! J’ai plusieurs fois fait l’expérience douloureuse de mes limites en la matière. Par exemple, une année j’ai eu l’idée brillante de passer le nouvel an en regardant Stalker de Tarkovski …

— Et tu t’étonnes de ne pas avoir d’amis ?

— Non, mais le plus grave c’est que je dois reconnaître que je me suis ennuyé.

Providence genrée

25 samedi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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providence, Sénèque

Plutôt Dieu le Père que Mère Nature

« Ne vois-tu pas combien la bonté des pères est différente de celle des mères ? Les pères font lever leurs enfants de bonne heure, pour qu’ils se mettent au travail; ils n’admettent pas qu’ils restent oisifs même les jours de fête; ils font couler leur sueur et parfois leurs larmes. Mais les mères veulent les réchauffer dans leur sein, les tenir dans leur ombre, ne jamais les laisser pleurer, s’attrister, ou faire un effort. Dieu a envers les hommes de bien l’âme d’un père; il les aime sans faiblesse : « soient Stimulés, dit-il, par le travail, la douleur, les privations, afin d’acquérir une force véritable. » Les animaux trop nourris s’affaiblissent dans l’inaction ; non seulement le travail, mais le mouvement et même leur propre poids les épuisent. Un bonheur sans atteinte ne supporte pas le moindre coup. Mais dès qu’on a à lutter sans trêve contre les malheurs, on s’endurcit à leur rigueur, et l’on ne cède pas au mal ; et même si l’on tombe, on combat encore un genou en terre.

Es-tu étonné que Dieu qui aime par dessus tout les gens de bien, qui les veut les meilleurs et les plus excellents possibles, leur assigne un sort de nature à les éprouver. »

Sénèque, De la providence

« Sapere aude » vs « Sois toi-même »

24 vendredi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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émancipation, Emmanuel Kant, Nietzsche

Je dois avouer que la première fois que j’ai lu la Troisième considération inactuelle je n’avais pas remarqué que le début du premier chapitre faisait référence aux premiers paragraphes de Qu’est-ce que les Lumières ?

« Ce voyageur, qui avait vu beaucoup de pays et de peuples, et visité plusieurs parties du monde, et à qui l’on demandait quel était le caractère général qu’il avait retrouvé chez tous les hommes, répondait que c’était leur penchant à la paresse. Certaines gens penseront qu’il eût pu répondre avec plus de justesse : ils sont tous craintifs. Au fond, tout homme sait fort bien qu’il n’est sur la terre qu’une seule fois, en un exemplaire unique, et qu’aucun hasard, si singulier qu’il soit, ne réunira, pour la seconde fois, en une seule unité, quelque chose d’aussi multiple et d’aussi curieusement mêlé que lui. Il le sait, mais il s’en cache, comme s’il avait mauvaise conscience. Pourquoi ? Par crainte du voisin, qui exige la convention et s’en enveloppe lui-même. Mais qu’est-ce qui force l’individu à craindre le voisin, à penser, à agir selon le mode du troupeau, et à ne pas être content de lui-même ? La pudeur peut-être chez certains, mais ils sont rares. Chez le plus grand nombre, c’est le goût des aises, la nonchalance, bref ce penchant à la paresse dont parle le voyageur. Il a raison : les hommes sont encore plus paresseux que craintifs, et ce qu’ils craignent le plus ce sont les embarras que leur occasionneraient la sincérité et la loyauté absolues. Les artistes seuls détestent cette attitude relâchée, faite de convention et d’opinions empruntées, et ils dévoilent le mystère, ils montrent la mauvaise conscience de chacun, affirmant que tout homme est un mystère unique. Ils osent nous montrer l’homme tel qu’il est lui-même et lui seul, jusque dans tous ses mouvements musculaires ; et mieux encore, que, dans la stricte conséquence de son individualité, il est beau et digne d’être contemplé, qu’il est nouveau et incroyable comme toute œuvre de la nature, et nullement ennuyeux. Quand le grand penseur méprise les hommes, il méprise leur paresse, car c’est à cause d’elle qu’ils ressemblent à une marchandise fabriquée, qu’ils paraissent sans intérêt, indignes qu’on s’occupe d’eux et qu’on les éduque. L’homme qui ne veut pas faire partie de la masse n’a qu’à cesser de s’accommoder de celle-ci ; qu’il obéisse à sa conscience qui lui dit : « Sois toi-même ! Tout ce que tu fais maintenant, tout ce que tu penses et tout ce que tu désires, ce n’est pas toi qui le fais, le penses et le désires. »

Friedrich NIETZSCHE, Troisième Considération inactuelle, chapitre I

*

« Qu’est-ce que les Lumières ? La sortie de l’homme de sa minorité dont il est lui-même responsable. Minorité, c’est-à-dire incapacité de se servir de son entendement sans la direction d’autrui, minorité dont il est lui-même responsable puisque la cause en réside non dans un défaut de l’entendement mais dans un manque de décision et de courage de s’en servir sans la direction d’autrui. Sapere aude !  Aie le courage de te servir de ton propre entendement. Voilà la devise des Lumières.

La paresse et la lâcheté sont les causes qui expliquent qu’un si grand nombre d’hommes, après que la nature les a affranchis depuis longtemps d’une direction étrangère, reste cependant volontiers, leur vie durant, mineurs, et qu’il soit facile à d’autres de se poser en tuteur des premiers. Il est si aisé d’être mineur ! Si j’ai un livre qui me tient lieu d’entendement, un directeur qui me tient lieu de conscience, un médecin qui décide pour moi de mon régime, etc., je n’ai vraiment pas besoin de me donner de peine moi-même. Je n’ai pas besoin de penser pourvu que je puisse payer ; d’autres se chargeront bien de ce travail ennuyeux. Que la grande majorité des hommes (y compris le sexe faible tout entier) tienne aussi pour très dangereux ce pas en avant vers leur majorité, outre que c’est une chose pénible, c’est ce à quoi s’emploient fort bien les tuteurs qui très aimablement ont pris sur eux d’exercer une haute direction sur l’humanité. Après avoir rendu bien sot leur bétail et avoir soigneusement pris garde que ces paisibles créatures n’aient pas la permission d’oser faire le moindre pas, hors du parc où ils les ont enfermés. Ils leur montrent les dangers qui les menacent, si elles essayent de s’aventurer seules au dehors. Or, ce danger n’est vraiment pas si grand, car elles apprendraient bien enfin, après quelques chutes, à marcher ; mais un accident de cette sorte rend néanmoins timide, et la frayeur qui en résulte, détourne ordinairement d’en refaire l’essai.

Il est donc difficile pour chaque individu séparément de sortir de la minorité qui est presque devenue pour lui, nature. Il s’y est si bien complu, et il est pour le moment réellement incapable de se servir de son propre entendement, parce qu’on ne l’a jamais laissé en faire l’essai. Préceptes et formules, ces instruments mécaniques de l’usage de la parole ou plutôt d’un mauvais usage des dons naturels, voilà les grelots que l’on a attachés au pied d’une minorité qui persiste. Quiconque même les rejetterait, ne pourrait faire qu’un saut mal assuré par-dessus les fossés les plus étroits, parce qu’il n’est pas habitué à remuer ses jambes en liberté. Aussi sont-ils peu nombreux, ceux qui sont arrivés par leur propre travail de leur esprit à s’arracher à la minorité et à pouvoir marcher d’un pas assuré. »

Emmanuel KANT, Qu’est-ce que les Lumières (1784), trad. Piobetta

Sans engagement (2)

23 jeudi Sep 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Chritopher Lasch, dépendance affective, engagement

« C’est la destruction de la vie personnelle, et non le repli dans la sphère privée, qui doit être critiquée et condamnée. Ce qui est à dénoncer  dans le mouvement de prise de conscience, ce n’est pas qu’il traite de problèmes banals ou irréels, mais qu’il fournit des solutions qui vont à l’encontre de ses propres intentions. Né d’un profond malaise, dû à la détérioration des relations personnelles, ce mouvement conseille aux gens de ne pas trop s’engager en amour et en amitié, d’éviter de devenir trop dépendant des autres et de vivre dans l’instant – alors que ce sont, précisément, ces comportements qui sont à l’origine du malaise. »

Christopher Lasch, La culture du narcissisme, p. 55

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