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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: mai 2021

Pas de raisons plutôt que de fausses raisons ?

31 lundi Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Tentatives de dialogues

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raison

…

– Tu ne me dois pas d’explications, mais, si tu décides de m’en donner, je te prie de m’épargner les rationalisations de tes névroses.

– Oh ! monsieur joue les gardiens de la rationalité ! parce que toi, bien sûr, tu es parfaitement lucide sur les vraies raisons de ton comportement ?

Fillette à marier vs garçon à marier

30 dimanche Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Paroles et musiques

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appariement, Gabriel Yacoub, Malicorne, Tri Yann

« Lon et la et tralala » vs « Maluron malurette »

Il serait amusant d’imaginer que le berger évoqué dans la chanson de Malicorne soit le narrateur de la chanson de Tri Yann malheureusement celui-ci nous dit qu’il n’avait rien d’autre à faire  « qu’une femme à chercher », ce qui semble difficilement compatible avec le fait de mener des moutons.

L’excellence ou rien (3)

30 dimanche Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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art, excellence, Witold Gombrowicz

On pourrait qualifier d’absolutiste la conception de la poésie – et plus généralement de l’art – qui est exprimée dans ce passage des Années d’apprentissage de Wilhelm Meister que j’ai cité dimanche dernier :

« Parce qu’un poème doit être parfait ou ne pas être ; parce que tout homme qui n’a pas les dons nécessaires pour exceller dans les arts devrait s’en abstenir et se mettre sérieusement en garde contre la tentation. »

La critique de cette conception absolutiste la plus percutante que je connaisse est formulée par Witold Gombrowicz dans son roman Ferdydurke.

Que souhaite avant tout celui qui, à notre époque, a ressenti l’appel de la plume, ou du pinceau, ou de la clarinette ? Il souhaite avant tout être un artiste. Créer de l’Art. Il rêve de se nourrir du Vrai, du Beau et du Bien, d’en nourrir ses concitoyens, de devenir un prêtre ou un prophète offrant les trésors de son talent à l’humanité assoiffée. Peut-être veut-il aussi mettre son talent au service d’une idée ou de la Nation. Nobles buts ! Magnifiques intentions ! N’était-ce pas le rôle des Shakespeare, des Chopin ? Considérez cependant qu’il y a un petit ennui : vous n’êtes pas encore des Chopin ni des Shakespeare, et vous n’êtes pas encore pleinement artistes ni grands prêtres de l’art, et dans la phase actuelle de votre évolution vous n’êtes encore que des Demi-Shakespeare ou des Quarts de Chopin (oh, ces affreuses parties !), et par conséquent votre attitude prétentieuse révèle seulement votre triste infériorité, et l’on dirait que vous voulez monter de force sur le socle du monument en risquant d’abîmer vos plus précieuses et vos plus délicates parties du corps.

Croyez-moi : il existe une grande différence entre l’artiste qui s’est réalisé et la masse des demi-artistes et quarts de prophètes qui rêvent seulement à leur réalisation. Et ce qui convient à un artiste pleinement accompli donne, chez vous, une tout autre impression. Au lieu de créer des conceptions à votre propre mesure et selon votre propre vérité, vous vous parez des plumes du paon et voilà pourquoi vous restez des apprentis, toujours maladroits, toujours derrière, esclaves et imitateurs, serviteurs et admirateurs de l’Art qui vous laisse dans l’antichambre.[…]

Mais alors, demanderez-vous, quelle conception devons-nous adopter pour pouvoir nous exprimer de façon plus souveraine et mieux adaptée à notre vérité personnelle?

— Messieurs, il ne vous est pas possible de vous transformer soudain, d’un jour à l’autre, en maîtres accomplis, mais vous pourriez préserver dans une certaine mesure votre dignité en vous éloignant de cet Art qui vous cuculise et vous cause tant de soucis. Pour commencer, rejetez une fois pour toutes le mot « art » et le mot « artiste ». Cessez de vous plonger dans ces vocables et de les ressasser avec monotonie. Ne peut-on pas penser que chacun est plus ou moins artiste ? Que l’humanité crée de l’art non seulement sur le papier ou sur la toile, mais à chaque moment de la vie quotidienne ? Quand une jeune fille se met une fleur dans les cheveux, quand une plaisanterie surgit au cours d’une conversation, quand nous nous perdons dans le clair-obscur d’un crépuscule, tout cela n’est-il pas de l’art ? Pourquoi donc cette division étrange et sotte entre les artistes et le reste des humains ? Ne serait-ce pas plus sain si, au lieu de vous qualifier fièrement d’artistes, vous disiez simplement : « Moi, je m’occupe peut-être d’art un peu plus que les autres » ?

Soif de vérité

29 samedi Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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amour de la vérité

Un koan bouddhique dit ceci : » Le maître tient la tête du disciple sous l’eau, longtemps, longtemps ; peu à peu les bulles se raréfient ; au dernier moment, le maître sort le disciple, le ranime : quand tu auras désiré la vérité comme tu as désiré l’air, alors tu sauras ce qu’elle est. »

Roland Barthes, Fragments d’un discours amoureux, p. 24

Fidélité lunaire

28 vendredi Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Hâfez de Chiraz, lune

Je fus Ton partenaire quand Tu étais nouvelle Lune.
Maintenant que tu es pleine Lune, ne me refuse pas Ton regard !

Hâfez de Chiraz, Ghazal 242, beyt 3, Le Divân.
trad. C-H de Fouchécourt

La voie de l’immortalité

27 jeudi Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Friedrich von Schiller, Goethe, immortalité, poésie, science

Cette soirée de révélation des réponses des formations sur Parcoursup, me rappelle  à ma mission d’éclairer les jeunes générations sur les enjeux de l’orientation. Faut-il se lancer des études scientifiques ou dans des études littéraires? Foin de considérations financières, examinons les atouts de chacune de ces deux options en matière de renom immortel. A ce sujet, Schiller attire notre attention sur un élément digne d’intérêt : 

« Lorsque l’on songe que la destinée des ouvrages poétiques est liée fatalement à la destinée de la langue dans laquelle ils sont écrits, dont il n’est pas à prévoir que les transformations s’arrêtent au point où elle se trouve aujourd’hui, un renom immortel dans la science apparaît comme bien précieux. »

Schiller, Lettre à Goethe du 30 novembre 1798

L’amusant c’est que Schiller écrit cela à Goethe pour l’encourager à travailler sur sa théorie des couleurs. Or il nous semble aujourd’hui que si Goethe mérite un renom immortel c’est davantage  pour ses œuvres poétiques que pour ses contributions scientifiques.

Compagnons des bas-fonds

26 mercredi Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Abel Bonnard, amitié, éthique et esthétique

pour Abdelraouf

Bonnard défend une conception aristocratique de l’amitié :

« Un ami est un compagnon de noblesse. Il nous aide à atteindre la plus haute expression de notre nature, comme nous l’aidons à parvenir au même but. »

Abel Bonnard, L’amitié, Iere partie, chapitre II

Si telle est la nature de l’amitié, il reste à préciser quelles qualités nous devons privilégier dans le choix de nos amis. Sur ce point Bonnard, en relativisant l’importance de la vertu morale se démarque non seulement du stoïcisme (comme on l’a vu précédemment) mais également de l’aristotélisme qui fait de la vertu le fondement des formes supérieures d’amitié. La section consacrée à cette question est assez surprenante, on est tenté d’y suspecter un plaidoyer pro domo, une rationalisation par l’auteur de ses propres pratiques. Les arguments ne sont pourtant pas dénués d’intérêt. On peut croire reconnaître un lieu commun de l’amoralisme quand l’auteur semble faire prévaloir l’élégance -qualité esthétique – sur les qualités proprement morales :

« L’estime peut se rétablir secrètement en nous, à l’égard des hommes qui semblaient le moins faits pour l’obtenir. Ce ne sont pas ceux qui ont la morale la plus correcte, qui ont toujours la conduite la plus élégante. Tandis que les formalistes se bornent à éviter les fautes grossières, on voit des gens qui, bien loin d’avoir toujours été irréprochables, se donnent, à l’occasion, le luxe d’un acte vraiment généreux et chevaleresque. Quand nous avons affaire à des caractères de ce genre, notre confiance en eux n’en est pas moins ferme, pour changer un peu de nature. Nous n’osons pas croire qu’ils ne feront rien de mal, mais nous nous assurons qu’ils ne feront rien de laid. »

ibid. Iere partie, chapitre III

Pourtant Bonnard n’assume pas une position franchement amoraliste et il tient à faire présenter le choix d’amis non dénués de défauts moraux pour une forme supérieure de la moralité :

« En user ainsi dans nos amitiés, ce n’est pas faire fi de la question morale, mais l’entendre plus subtilement. Car il n’existe aucun mérite, de quelque genre qu’il soit, qui ne s’appuie sur une charpente morale. Cet homme dont le caractère se prête à tout, mais dont l’esprit déploie une vie indépendante, sans se laisser jamais suborner, reste au moins noble en cela et garde une faculté par où il se sauve. Cet artiste qui s’abandonne à des désordres sans fin, mais qui, lorsqu’il travaille, n’obéit qu’à son idéal, est au moins aussi moral que cet autre qui, bon époux et bon père, bâcle sa besogne pour de l’argent ; il l’est même beaucoup plus, puisqu’il a sa vertu au centre de soi et associée à sa fonction essentielle. »

ibid.

A lire la description finale que donne Bonnard de la recherche de ces amitiés « crapuleuses » on est pourtant tenté de se poser une question, est-ce ainsi qu’on voudrait être aimé ?

« Le charme de ces explorations, que nous menons à travers les hommes, pour y trouver nos amis, c’est que, comme il s’agit là d’une recherche où nous seuls courons des risques et qui ne regarde que nous, nous y sommes absolument libres : nous pouvons nous y donner des plaisirs de jugement dernier, c’est-à-dire considérer les êtres qui nous intéressent, non pas selon la conformité de leurs actes avec les règles reçues, mais dans leur source, leur fonds, leur essence. Ne jugeant que pour nous-mêmes, il nous est permis de juger. Nous pouvons aller chercher jusque dans la crapule quelqu’un de rare et d’exquis, et dédaigner, aussi bien, parmi les égards dont on l’entoure, un homme qui a galonné de vertu la pauvreté de son âme. On pourrait croire, à s’arrêter aux apparences, que nous goûtons dans certaines amitiés, comme dans certaines amours, une sorte d’avilissement délicat, mais, en vérité, la différence est grande, car, dans ces amours, notre plaisir consiste en effet à nous avilir, au lieu que, dans ces amitiés, il ne s’agit jamais que de découvrir, sous les dehors qui lui font tort, une nature vraiment élégante. Ces sortes d’amis nous plaisent d’autant plus que nous les avons distingués par un décret plus spécial et un choix plus aventureux : ils sont à nous plus que tous les autres et nous ne pouvons les voir sans éprouver la force et la sincérité du goût qui nous porte vers eux : nous ne les aimons pas seulement comme des personnes, mais un peu aussi comme on aime des vins : nous humons le parfum, le bouquet de leur nature. »

ibid.

Dispensateur de mystère

25 mardi Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Hugo von Hofmannstahl, mystère

Wo ich nahe, wo ich lande,
Da im Schatten, dort im Sande
Werden sie sich zu mir setzen,
Und ich werde sie ergetzen,
Binden mit dem Schattenbande!

An den Dingen, die sie kennen,
Lehr ich sie Geheimes nennen,
Auf und Nieder ihrer Glieder
Und den Lauf der Sterne wieder,
Kaum vermögen sies zu trennen!

Denn ich spreche: »Große Macht
Lenkt den Tag, versenkt die Nacht,
Doch in Euch versenkt sind gleiche
Sehr geheimnisvolle Reiche,
Ruhig wie in einen Schacht.«

Daß sie mit verhaltnem Grauen
An sich selber niederschauen,
Von Geheimnis ganz durchwoben
Fühlen sich emporgehoben
Und den Himmel dunkler blauen!

Hugo von Hofmannstahl

*

Où que j’approche, où que j’aborde,
Ici dans l’ombre, là sur le sable,
Ils viendront près de moi s’asseoir,
Et moi, je les divertirai,
Et les lierai de mon lien d’ombre.

Ce qu’ils connaissent, ils apprendront
A le nommer mystérieux.
Après, ils ne pourront plus guère
Croire les gestes de leurs corps
Sans lien avec le cours des astres.

Car je dirai: « Un grand Pouvoir
Tient les rênes du Jour, fait descendre la Nuit.
Mais en vous descendus se trouvent
De très mystérieux empires,
Aussi calmes qu’au fond d’un puits. »

Alors, réprimant un frisson,
Ils se pencheront sur eux-mêmes,
Et pris dans les rets du mystère,
Ils se sentiront emportés
Vers le ciel d’un bleu plus profond.

trad. Jean-Yves Masson

Croyez-vous que je sois jaloux ?

24 lundi Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Fantaisie

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appariement, sapiosexualité, T. W. Adorno

Depuis qu’il affichait son goût pour les écrits d’Adorno,
Jérémie avait sensiblement amélioré la qualité de ses matchs sur Tinder.

L’excellence ou rien (2)

23 dimanche Mai 2021

Posted by patertaciturnus in Lectures

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excellence, Goethe, poésie

Au début du deuxième Livre des Années d’apprentissage de Wilhelm Meister, Goethe décrit les tourments de son héros convaincu de la trahison de sa bien aimée Marianne. Ayant perdu sa Muse il en vient à rejeter les œuvres qu’elle lui a inspirées et à douter de son propre talent : 

« Accoutumé à se tourmenter ainsi lui-même, il poursuivit sans ménagement, de ses critiques amères, tout ce qui, après l’amour et avec l’amour, lui avait donné les joies et les espérances les plus grandes, c’est à dire son talent de poète et d’acteur. Il ne voyait dans ses travaux rien qu’une imitation insipide, et sans valeur propre, de quelques formes traditionnelles ; il ne voulait y reconnaître que les exercices maladroits d’un écolier, sans la moindre étincelle de naturel, de vérité et d’inspiration ; ses vers n’étaient qu’une suite monotone de syllabes mesurées, où se traînaient, enchaînées par de misérables rimes, des pensées et des sentiments vulgaires ; par là il s’interdisait encore toute espérance, toute joie, qui aurait pu le relever de ce côté. »

Wilhelm Meister entreprend alors de détruire ses premières œuvres. Alors qu’il vient de mettre au feu le premier paquet de ses cahiers, son ami Werner entre dans la pièce et tente de l’arrêter, Meister se justifie alors en invoquant une conception exigeante de la poésie que j’ai évoquée naguère en commentant un aphorisme de Lichtenberg.

Werner entra, et, surpris de voir cet embrasement, demanda à Wilhelm ce qu’il faisait là.

« Je donne la preuve, répondit-il, que j’ai résolu sérieusement de laisser là un métier pour lequel je n’étais pas né. » En disant ces mots, il jeta dans le feu le second paquet. Werner voulut l’arrêter, mais c’était chose faite.
« Je ne vois pas, lui dit-il, pourquoi tu en viens à cette extrémité : ces travaux peuvent ne pas être excellents, mais pourquoi les détruire ?
— Parce qu’un poème doit être parfait ou ne pas être ; parce que tout homme qui n’a pas les dons nécessaires pour exceller dans les arts devrait s’en abstenir et se mettre sérieusement en garde contre la tentation. Car chacun éprouve, il est vrai, je ne sais quel vague désir d’imiter ce qu’il voit ; mais ce désir ne prouve point que nous ayons la force d’accomplir ce que nous voulons entreprendre. Vois les enfants, chaque fois que des danseurs de corde ont paru dans la ville, aller et venir et se balancer sur toutes les planches et les poutres, jusqu’à ce qu’une autre amorce les invite à une nouvelle imitation. Ne l’as-tu pas observé dans le cercle de nos amis ? Chaque fois qu’un virtuose se fait entendre, il s’en trouve toujours quelques-uns qui entreprennent aussitôt d’apprendre le même instrument. Que de gens s’égarent sur cette route ! Heureux celui qui reconnaît bientôt que ses désirs ne prouvent point son talent ! »

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