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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: juillet 2019

Le Prince d’Orange

31 mercredi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Paroles et musiques

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Gabriel Yacoub, Malicorne

Enrichissons l’histoire en nous interrogeant sur son narrateur

29 lundi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures, Perplexités et ratiocinations

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Karen Blixen, narrateur, récit

« Le conseiller malgré ses préoccupations matrimoniales avait, lui aussi, trouvé matière à réflexion dans le sermon de Pâques. Il trouvait singulier que saint Pierre eût laissé divulgué l’histoire du coq, alors qu’étant seul à la connaître il aurait pu garder le silence. »

Karen Blixen, Le poète in Sept contes gothiques

*

De manière générale il est intéressant de soulever à propos des récits bibliques (ou d’autres textes sacrés) la question de savoir qui est le narrateur et d’où peut lui venir la connaissance de ce qu’il raconte. Ainsi lorsqu’un récit implique un narrateur omniscient nous devrions conclure que seul Dieu peut-être le narrateur originel de l’histoire (ainsi en va-t-il en particulier du premier livre de la Genèse qui narre des événements qui sont censés n’avoir eu d’autres témoins que le créateur), mais alors nous pouvons nous étonner que Dieu semble parfois parler de lui même à la 3e personne et que les circonstances dans lesquelles il a révélé aux hommes ces choses  que lui seul pouvait savoir ne soient pas elles-mêmes racontées.

Deuil interminable

28 dimanche Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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deuil, Philippe Jaccottet

Comme un homme qui se plairait dans la tristesse
plutôt que de changer de ville ou bien d’errer,
je m’entête à fouiller ces décombres, ces caisses,
ces gravats sous lesquels le corps est enterré

que formèrent nos corps quand ils étaient serrés
sur un lit de passage avec des cris de liesse.
(C’est dans ce temps que notre ciel s’est éclairé,
d’un astre sombre, et que j’eus bientôt mis en pièces…)

Ah ! lâcher pour de bon ferraille, plâtre et planches !
Non, comme un chien je flaire un parfum répandu
et gratte si profond qu’enfin j’aurai mon dû :

de tomber à mon tour en poussière bien blanche
et de n’être plus rien qu’ossements vermoulus
pour avoir trop cherché ce que j’avais perdu.

Philippe Jaccottet, L’effraie (1946 – 1950)

Un jour qu’il faisait nuit

27 samedi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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contradiction, Robert Desnos

Un jour qu’il faisait nuit
Il s’envola au fond de la rivière.
Les pierres en bois d’ébène, les fils de fer en or et la croix sans branche.
Tout rien.
Je la hais d’amour comme tout un chacun.
Le mort respirait de grandes bouffées de vide.
Le compas traçait des carrés et des triangles à cinq côtés.
Après cela il descendit au grenier.
Les étoiles de midi resplendissaient.
Le chasseur revenait carnassière pleine de poissons
Sur la rive au milieu de la Seine.
Un ver de terre, marque le centre du cercle sur la circonférence.
En silence mes yeux prononcèrent un bruyant discours.
Alors nous avancions dans une allée déserte où se pressait la foule.
Quand la marche nous eut bien reposé
nous eûmes le courage de nous asseoir
puis au réveil nos yeux se fermèrent
et l’aube versa sur nous les réservoirs de la nuit.
La pluie nous sécha.

Robert Desnos, Langage cuit

Plaisirs nocturnes

26 vendredi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Cesare Pavese

[…]

Torneremo stanotte alla donna che dorme,
con le dita gelate a cercare il suo corpo,
e un calore ci scuoterà il sangue, un calore di terra
annerita di umori: un respiro di vita.
Anche lei si è scaldata nel sole e ora scopre
nella sua nudità la sua vita più dolce,
che nel giorno scompare, e ha sapore di terra.

Cesare Pavese, Pacieri notturni

*

[…]
Nous irons cette nuit retrouver la femme qui dort,
et nos doigts glacés chercheront son corps,
une chaleur secouera notre sang, une chaleur de terre
toute noire d’humeurs : une haleine vivante.
Elle aussi est chaude de soleil, et dans sa nudité,
elle révèle maintenant sa vie la plus douce,
qui le jour disparaît et qui a goût de terre.

Cesare Pavese, Plaisirs nocturnes in Travailler fatigue
trd. Gilles de Van

L’histoire du petit vervet qui criait au léopard

25 jeudi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Daniel Dennett, fausse alerte, mensonge, vervet

« Seyfarth rapporte (dans une conversation) un incident : une bande de vervets perdait du terrain au cours d’une échauffourée avec une autre bande pour s’emparer d’un territoire. L’un des singes qui se trouvait du côté des perdants, mis temporairement sur la touche, sembla avoir une idée brillante : il émit soudain un cri d’alarme signalant des léopards (en l’absence d’un de ces animaux), conduisant tous les vervets à reprendre le cri et à se précipiter sur les arbres. Ce qui provoqua une trêve et permit aux vaincus de regagner le terrain qu’ils avaient perdu. Le sentiment intuitif que nous avons tous — que c’est peut-être (interpréta­tion maussade mise à part) un incident révélateur d’une grande habileté — peut conduire à un diagnostic détaillé en termes de systèmes intentionnels. Si cet acte n’est pas seulement une heureuse coïncidence, alors l’acte est réelle­ment la manifestation d’une démarche de pensée tor­tueuse ?, car ce n’est pas simplement un cas où le vervet énoncerait un impératif « montez aux arbres » avec l’espoir que tous les vervets obéiront, car le vervet (étant rationnel, selon notre levier prédictif) ne devrait pas s’attendre à ce que la bande rivale honore son impératif. Ou bien le cri signa­lant le léopard est considéré par les vervets comme étant informatif — un avertissement, pas un ordre — et par conséquent la crédibilité seule du locuteur mais pas son autorité suffit à expliquer l’effet, ou bien notre locuteur est plus tortueux encore : il veut que les rivaux pensent qu’ils captent un ordre destiné (bien sûr) à ses seuls congénères, et ainsi de suite. Un vervet pourrait-il vraiment avoir une appréciation aussi fine de la situation ? Ces degrés étourdis­sants de sophistication sont strictement impliqués par l’interprétation du second ordre et sa nécessaire présupposi­tion de rationalité. Seule une créature capable d’apprécier ces points pourrait à proprement parler disposer de ces croyances, désirs et intentions. »

Daniel Dennett, La stratégie de l’interprète, p. 322 – 323

L’histoire du petit vervet qui criait à l’aigle

24 mercredi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures, Père castor

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fausse alerte, vervet

 

« Les travaux de Dorothy Cheney et Robert Seyfarth sur les singes vervets contiennent maintes observations sur des contextes d’apprentissage. Il arrive ainsi au jeune vervet d’émettre le signal « Prédateur aérien en vue » à propos de toutes sortes de choses tombant des arbres ou encore « Serpent ici » en entendant un bruit de feuilles sur le sol. Le vervet adulte ne commet plus normalement ce genre d’erreur, non plus qu’il ne commet celle, fréquente chez les jeunes, d’émettre le signal « Préda­teur aérien en vue » lorsqu’il s’agit d’un vautour, inoffensif, à la différence de l’aigle. La scène suivante a été observée : un jeune émet le cri d’alarme dont la structure sonore correspond à celle de « Léopard en vue »; sa mère et lui grimpent instantanément à un arbre; là elle s’aperçoit qu’il ne s’agit que d’une mangouste et lui administre une tape. Pour répondre au reproche qui leur a été fait de rapprocher abusivement les signaux du vervet des mots humains, fonctionnellement s’entend, Cheney et Seyfarth se sont appliqués à mettre au point une technique expérimentale d’habituation/déshabituation. Ils furent alors les témoins d’un phénomène décrit par La Fontaine dans l’une de ses fables. L’un des vervets criait tant au loup que les autres finirent par l’ignorer. Ces derniers auraient donc fait la part entre émission du message standard et contenu informatif. Surtout — mais les deux phénomènes sont liés — ils ne confondraient pas la représentation formée par le vervet, dûment communiquée, et la situation représentée, absente du monde réel selon eux. »

Jean-Marie Hombert et Gérard Lenclud, Comment le langage est venu à l’homme, Fayard, p. 196 – 197

Maîtrise ton désir de stoïcisme

24 mercredi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Chris Haughton, Epictète, maîtrise de soi

Oh non George est placé sous le patronage d’Epictète dont le propos suivant est rapporté en 3e de couverture (du moins dans l’édition française) :

« Ce n’est pas par la satisfaction du désir que s’obtient la liberté, mais par la destruction du désir. Nul homme n’est libre s’il ne sait se maîtriser. »

Je n’ai pas retrouvé trace de cette phrase dans le Manuel, je présume qu’elle est tirée des Entretiens mais j’ai eu la flemme de vérifier. Toujours est il que cette citation reflète fort bien l’esprit de l’histoire du chien George qui aimerait être sage mais qui a bien du mal à résister aux tentations.

Graphiquement Oh non George ! a moins de charme à mes yeux que Chut ! on a un plan du même auteur, mais je dois constater que ce livre a un étonnant pouvoir addictif sur ma fille. A peine la lecture achevée elle réclame la relecture. Saura-t-elle apprendre à maitriser l’impulsion qui la porte à réclamer cette lecture  comme George apprend à résister à l’envie de poursuivre le chat ?

 

L’ignorant

20 samedi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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ignorance, Philippe Jaccottet

L’ignorant

Plus je vieillis et plus je croîs en ignorance,
plus j’ai vécu, moins je possède et moins je règne.
Tout ce que j’ai, c’est un espace tour à tour
enneigé ou brillant, mais jamais habité.
Où est le donateur, le guide, le gardien ?
Je me tiens dans ma chambre et d’abord je me tais
(le silence entre en serviteur mettre un peu d’ordre),
et j’attends qu’un à un les mensonges s’écartent :
que reste-t-il ? que reste-t-il à ce mourant
qui l’empêche si bien de mourir ? Quelle force
le fait encor parler entre ses quatre murs ?
Pourrais-je le savoir, moi l’ignare et l’inquiet ?
Mais je l’entends vraiment qui parle, et sa parole
pénètre avec le jour, encore que bien vague :

« Comme le feu, l’amour n’établit sa clarté
que sur la faute et la beauté des bois en cendres… »

Philippe Jaccottet, L’ignorant

Au temps de l’éternel féminin

19 vendredi Juil 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

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essentialisme, féminisme, Karen Blixen

« Vous, jeunes gens, qui riez des idées comme des tournures des années soixante-dix [1870], vous me direz sans doute qu’en dépit de tous ces artifices [les corsets], à la longue, il ne devait pas subsister grand-chose du mystère. Mais je me permettrai de vous faire remarquer qu’il ne vous est guère possible aujourd’hui de saisir toute la signification du mot. Rien n’est vraiment mystère avant d’être devenu symbole. Le pain consacré par l’Eglise est cuit, lui aussi, de même que le vin a été mis en bouteilles, n’est-ce pas ? Les femmes de cette époque représentaient bien davantage qu’un groupe d’indivi­dus. Elles symbolisaient et représentaient la Femme. Je sais que le mot lui-même, dans ce sens-là, a disparu du vocabulaire. Là où nous parlions de la Femme — de façon gentiment cynique — vous parlez des femmes. Voilà toute la différence. Vous souvenez-vous des clercs du Moyen Age qui discutaient si c’est l’idée du chien ou le chien lui-même qui a été créé le premier? Pour vous, à qui l’on enseigne la statistique dès l’école maternelle, je présume que la réponse va de soi; et l’on doit reconnaître qu’en effet votre monde actuel semble bien être le résultat d’une suite d’expérimentations. Mais pour nous, les idées de ce brave monsieur Darwin furent déjà une étrange nouveauté. Notre propre conception du monde, nous l’avions puisée dans les symphonies, les cérémonies de la cour et autres choses de cet ordre; et nous avions été élevés dans l’idée qu’il existe une différence profonde entre naissance légitime et illégitime. Nous ne doutions pas des causes finales. L’idée de la Femme — d’une das ewig weibliche, qui implique, vous le reconnaîtrez vous-même, un certain mystère, remonte pour nous aux origines de la création, et les femmes de mon temps considéraient que c’était leur devoir sacré d’incarner dignement cette idée, exactement comme le devoir sacré du chien en tant qu’individu a été, je l’imagine bien, d’incarner dignement l’idée du chien selon son créateur.
« On pouvait alors suivre le cheminement de cette idée de la Femme dans l’esprit d’une petite fille, au fur et à mesure qu’elle grandissait, qu’elle était peu à peu, et sans doute selon des règles très anciennes, initiée aux rites du culte, avant d’en être ordonnée prêtresse. Lentement, le centre de gravité de son être se déplaçait, elle perdait de son individualité pour devenir symbole, jusqu’au moment où l’on se trouvait confronté à cette fierté et à cette réserve que l’on rencontre chez les êtres qui détiennent un grand pouvoir, les très grands artistes par exemple. En effet, l’arrogance de la jolie jeune femme ou la majesté de la vieille dame n’était pas plus affaire de vanité personnelle, ni d’aucun sentiment analogue, que la fierté d’un Michel-Ange ou d’un ambassadeur d’Espagne à Paris. Quelles qu’aient pu être les huées d’indignation par lesquelles don Juan fut accueilli sur les bords du Styx par ses victimes échevelées, les seins nus, un jury de femmes de mon temps l’eût acquitté pour sa dévotion à l’idée de la Féminité. Mais, d’accord en cela avec les maîtres d’Oxford, elles eussent condamné Shelley pour son athéisme. Elles sont même parvenues à subjuguer le Christ en personne, en le montrant toujours comme un petit enfant dans les bras de la Vierge, dépendant d’elle. »

Karen Blixen, Le vieux chevalier errant, in Sept contes gothiques, p. 125 – 126

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