• À propos

Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: janvier 2019

Divergence sur les coquilles

31 jeudi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

coquilles, hasard, Karl Kraus, Kierkegaard

« Si, dans une phrase, il est resté une coquille et qu’elle donne malgré tout un sens, la phrase n’était pas une pensée. »

Karl Kraus, Pro domo et mundo, p.96

« On jette négligemment sur le papier ses propres pensées, on les fait imprimer et plus tard, en corrigeant les épreuves successives, des idées excellentes en nombre, une à une , surgissent à l’esprit. Prenez courage, vous qui n’avez pas encore osé faire imprimer, les fautes d’impression mêmes ne sont pas à dédaigner, et avoir de l’esprit grâce à des coquilles est encore une façon décente d’être spirituel. »

S. Kierkegaard, Diapsalmata, in Ou bien … ou bien …, Tel gallimard, p.18

Unsere Gottheit, die Geschichte, hat uns ein Grab bestellt, aus dem es keine Auferstehung gibt.

30 mercredi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

histoire, Ingeborg Bachmann, mort

BOTSCHAFT

Aus der leichenwarmen Vorhalle des Himmels tritt die Sonne.
Es sind dort nicht die Unsterblichen,
sondern die Gefallenen, vernehmen wir.

Und Glanz kehrt sich nicht an Verwesung. Unsere Gottheit,
die Geschichte, hat uns ein Grab bestellt,
aus dem es keine Auferstehung gibt.

Ingeborg Bachmann

*

Message

Du parvis céleste encore chaud de cadavres sort le soleil
Là ne se trouvent pas les immortels,
mais les morts au champ de bataille nous dit-on.

Et peu chaut à l’éclat la putréfaction. Notre divinité
l’histoire, nous a destiné une tombe
d’où il n’est pas de résurrection.

trad. Françoise Rétif

Tu désespères ? Tu es sur la bonne voie

29 mardi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

désespoir, philosophie, Vincent Descombes

« Ce problème de l’apprentissage philosophique se pose quelle que soit la doctrine enseignée, quel que soit le style pédagogique du professeur : l’élève doit entrer dans une construction intellectuelle qu’il ne peut pas comprendre tout de suite. On peut pressentir, on peut deviner, on peut même comprendre de façon maladroite, c’est-à-dire sans être capable de l’expliquer, mais il faut passer par un certain malheur. Cela fait partie de la philosophie. Je dirai que cela ne cesse pas avec l’âge et le métier. Aujourd’hui encore, si je dois préparer un exposé, il y aura inévitablement le temps de l’élaboration, et dans ce temps un moment qui est celui du désespoir complet, où j’ai l’impression que je n’y comprends rien, que rien ne sortira jamais, que c’est impossible … Il faut pourtant en passer par là, sinon on reste dans la dissertation scolaire, dans une sorte de promenade qui peut être brillante, ou habile, mais qui ne mord sur rien, qui philosophiquement ne produit rien. »

Vincent Descombes, Exercices d’humanité, p. 11

Quelle adaptabilité ?

28 lundi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

adaptation, Jean-Marie Schaeffer

« Il faut aussi distinguer la question du progrès évolutif et celle de la plasticité adaptative. On conclut souvent que l’humanité est l’espèce « la plus évoluée », parce que c’est celle dont la plasticité adaptative est la plus grande. C’est oublier que la plasticité adaptative peut être réalisée par deux moyens fort différents : comme plasticité comporte-mentale et cognitive au niveau de l’individu ou comme plasticité phylogénétique au niveau de l’espèce. L’humanité est sans conteste l’espèce qui fait preuve de la plus grande plasticité cognitive, donc de la plus grande intelligence adaptative au niveau des individus. De manière plus générale, les mammifères et les oiseaux sont les deux familles d’êtres vivants qui ont le plus investi dans la plasticité individuelle. Pourtant, si on se place du strict point de vue des avantages et coûts évolutifs, le même degré de plasticité a été atteint par les insectes, bien que par une voie opposée à celle des mammifères et plus spécifiquement de l’homme. En effet, si le répertoire comportemental des insectes est presque entièrement encodé génétiquement, ils remplacent ce manque de plasticité au niveau de l’adaptation individuelle par la plasticité de leur évolution phylogénétique rendue possible notamment par des populations très étendues et une durée de vie individuelle relativement courte. Il est par ailleurs intéressant de noter qu’à côté de l’espèce humaine ce sont sans doute les insectes qui tirent le plus grand profit adaptatif de la sociabilité. Mais ils ont développé cette sociabilité selon des voies opposées aux humains : non pas en maximalisant la flexibilité de la communication interindividuelle, mais tout au contraire, en encodant génétiquement les différents rôles sociaux »’. Comment décider laquelle des deux solutions est la plus « évoluée », sinon en se situant d’entrée de jeu dans une perspective anthropocentrique ?
L’« investissement » dans la flexibilité phylogénétique plutôt que dans la maximalisation de la flexibilité individuelle se traduit au niveau du nombre des espèces. Ce nombre est infiniment plus grand (entre 70 000 et 80 000 espèces) dans l’ordre des insectes que dans celui des mammifères 8 700 espèces, avec seulement entre 7 et 10 espèces directement parentes de l’espèce humaine (les grands singes). Et lorsqu’on étudie la phylogenèse des hominidés on découvre, comme Gould l’a rappelé, l’existence d’un véritable goulot d’étranglement : en quelques centaines de milliers d’années, les hominidés sont passés d’une demi-douzaine d’espèces à trois (Néandertal, Homo erectus, Homo sapiens sapiens) il y a trente mille ans, puis à une seule espèce aujourd’hui. Or, ajoute-il, plus une lignée devient pauvre en espèces plus elle est en général proche de l’extinction78. Voilà qui devrait sans doute nous inciter à un peu d’humilité quant à notre destin…
En effet, comparée à celle des insectes, la stratégie évolutive des mammifères, et de manière privilégiée celle de l’espèce humaine, est risquée. Nous avons en quelque sorte mis tous les oeufs dans le même panier. Tant que la plasticité individuelle marche, elle nous donne un avantage sélectif énorme dont témoigne notre domination actuelle, mais est-ce qu’elle marcherait encore si, par exemple, la terre entrait dans une phase d’instabilité écologique forte et prolongée ? Dans une telle phase qui se traduirait par des changements environnementaux de grande envergure il est probable que la plasticité individuelle — concrètement l’adaptation grâce à des stratégies cognitives et sociales —atteindrait vite ses limites. Or, nous venons de voir que notre plasticité génétique est bien moindre que celle des organismes plus « simples », voire que celle de nos plus proches cousins, et en plus nous sommes la seule espèce survivante de notre lignée. Dans des circonstances de ce type notre espèce, et au-delà notre lignée, serait donc vite condamnée à la disparition. Et comme, à en juger par l’histoire passée de la terre, de tels bouleversements écologiques vont tôt ou tard se produire, l’avenir à long terme de l’espèce humaine est sans doute des plus précaires. »

Jean-Marie Schaeffer, La fin de l’exception humaine, p. 192 – 194

L’enfant anonyme

27 dimanche Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Tahar Ben Jelloun

L’enfant anonyme

Un enfant anonyme
s’est endormi dans un lit de poussière
la joue mangée par la terre
les doigts frêles
transparents
désignent la mer

Il se prenait pour un navire
et lançait des torpilles
en papier et pour ire
dans un ciel vide
il aimait l’école
et les fenêtres

Dans dix ans j’aurai une barbe
et je serai capitaine
dans cinq ans j’aurai des chaussures
et un costume de laine
dans cinq ans
je ne dessinerai plus la mer
sur la tôle de notre chambre
mon père aura plus d’un cheval
et ma mère sera reine
ma petite sœur aura une île
un diadème et des cerises

Quand j’aurai appris l’histoire
la science et les navires
je partirai sur l’eau
dans une chemise de soie
sur un lit de couleur

Nous habitons une toute petite maison
une cage recouverte de cartons et de palmes
c’est une chambre plantée
comme une bouteille renversée
dans une terre de pierres

Il rêvait
un jour
il descendit dans la rue avec ses camarades
comme eux il leva le poing
pour défier le ciel amer
et les Forces de l’Ordre

Son petit corps avait peu de sang
léger
un papillon écrasé
perdu dans de grandes savates
rêve abrégé
rendu au regard lumineux
d’un enfant anonyme
vite enterré.

Tahar Ben Jelloun, A l’insu du souvenir

 

Immortalité

26 samedi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Edmund Husserl, immortalité

Cette semaine je procrastine en lisant des cours donnés par Husserl en 1925 sous le titre Psychologie phénoménologique, et c’est ainsi que je suis tombé sur ce texte dont la fin m’a pour le moins déconcerté.

« Il est clair qu’on ne peut faire l’expérience du psychique propre ou du psychique étranger que dans la mesure où ils animent la chair propre ou étrangère liée selon sa typique, et que l’être psychique quel qu’il soit, dont on a déjà fait l’expérience et l’épreuve , doit aussitôt s’annihiler lorsque sont supprimées les présuppositions aperceptives de l’expérience de l’âme, par conséquent lorsque la chair cesse de maintenir ce style organique qui est la condition de possibilité pour qu’elle soit susceptible d’une fonction d’animation, en l’occurrence pour qu’elle puisse indiquer qu’elle est animée. La mort en tant qu’événement réel dans le monde ne signifie pas, par conséquent, que l’âme se détache pour former une réalité propre à l’intérieur de ce monde. La mort est, d’un point de vue mondain, l’anéantissement de l’âme, nota bene en tant qu’âme dans le monde. La doctrine de l’immortalité devrait par conséquent, si elle ne doit pas entrer en contradiction avec le sens du monde tel qu’il est fixé par l’expérience universelle objective, avoir une toute autre signification et peut, de fait, l’avoir s’il est vrai que la considération naturelle du monde, celle de toute vie naturelle qui se manifeste dans le monde et de toute science, ne doit ni peut-être n’a le droit d’avoir le dernier mot ; si, en d’autres termes, on peut montrer que cet univers tout entier, ce tout des objets de l’expérience objective possible, ne peut pas valoir pour l’étant au sens absolu, et que l’absolu que le monde présuppose déjà est l’esprit mais il ne s’agit alors en aucune manière de l’esprit mondanisé, surtout pas en tant qu’âme. »

Edmund Husserl, Psychologie phénoménologique, Vrin 2001, p. 104

Sur la première partie (jusqu’au nota bene) je n’ai rien à redire si ce n’est que le statu de vérité a priori de ce qui y est énoncé mériterait d’être discuté. C’est la seconde partie qui suscite ma perplexité. Si je la comprends bien, Husserl ouvre la porte a une immortalité via la conscience transcendantale ; l’épochè transcendantale, ne serait alors pas simplement une opération cognitive mais une opération quasi-mystique nous donnant accès en cette vie à ce qu’il y a d’immortel en nous. Outre la question de la pureté des motifs d’une telle doctrine l’immortalité, se pose inévitablement la question du caractère personnel ou impersonnel de cette immortalité, en quoi la porte husserlienne vers l’immortalité s’apparenterait à celle qu’ont cherché les commentateurs d’Aristote dans l’intellect agent.

Crapahuter sur les chemins qui ne mènent nulle part

25 vendredi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Allain Glykos, marcher

« Plus de mille parcours sont possibles. Comment choisir ? Pourquoi ignorer ce croissant de basalte, ce cône de lave, cette anse de calcaire ?

[…]

Je marche à la recherche d’un bout de terre. rien à voir ? Qui m’interdira d’aller ne rien voir , de m’offrir ce rien? Marcher sur les chemins qui ont, siècle après siècle, scarifié les rochers?

Où que j’aille, je devine les tracés. Ils ne mènent nulle part, je les emprunte, ne les rends jamais. »

Allain Glykos, Égéennes, p. 18 – 19

 

Conditions d’une anthropologie de la croyance

24 jeudi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Alfred Métraux, croyance, ethnologie

« Mon propos dans ce livre est de parler du vaudou en ethnographe, c’est-à-dire avec méthode et prudence. Si je me suis gardé de l’enthousiasme de ceux qui, au contact d’une religion exotique, sont pris d’une sorte de vertige sacré et finissent par partager la crédulité de ses adeptes, je me suis aussi efforcé d’éviter l’attitude de ces voltairiens à la petite semaine qui parlent sans arrêt de fraude rieuse avec des clignements d’œil entendus. »

Alfred Métraux, Le vaudou haïtien

L’avenir de la parentalité

23 mercredi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Lectures

≈ 1 Commentaire

Étiquettes

éducation, Philip K. Dick, tu l'as vue ma grosse parentalité

Après l’evidence based medicine, et l’evidence-based education, est apparu l’evidence based parenting.  Qui oserait se vanter de recourir dans l’éducation de ses enfants à des pratiques dont il serait scientifiquement démontré qu’elles sont inefficaces voire nuisibles ? D’un autre côté voulons-nous de ce qui peut apparaitre comme l’aboutissement d’un tel mouvement ? Pour nourrir la réflexion à ce sujet on ne peut que recommander la lecture de Progéniture, une des géniales nouvelles de Philip K. Dick.

« Janet avait raison. C’était pour le bien de Peter. Peter ne vivait pas pour eux, comme un chien ou un chat, un animal familier dans la maison. C’était un être humain doté d’une vie propre. La formation lui était destinée à lui, et non à eux deux. Il s’agissait de son développement, de ses capacités et de ses pouvoirs à lui. On allait le modeler, le façonner, faire ressortir sa personnalité.
Naturellement, c’étaient les robots qui s’en tireraient le mieux. Ils sauraient l’élever scientifiquement, selon des méthodes rationnelles. Sans sautes d’humeur. Les robots ne se mettaient pas en colère, eux. Ils ne pinaillaient pas, ils ne se lamentaient pas continuellement. Ils ne donnaient pas la fessée aux enfants et ne leur criaient pas après. Ils ne donnaient pas d’ordres contradictoires. Ils ne se querellaient pas entre eux et n’utilisaient pas l’enfant à leurs propres fins. Et avec des robots pour seul entourage, pas de complexe d’ Œdipe à redouter.
Ni d’autres complexes, d’ailleurs. On savait depuis bien longtemps que la névrose avait sa source dans l’éducation que recevait l’enfant. Dans la façon dont ses parents l’élevaient. Les inhibitions qu’ils lui inculquaient, les comportements, les leçons, les punitions et récompenses. Névroses, complexes, anomalies du développement, tout cela provenait de la relation subjective qu’entretenaient parents et enfants. Si le facteur « parents » pouvait être éliminé…
Les parents n’étaient jamais capables d’objectivité vis-à-vis de leur enfant. Ils faisaient immanquablement sur lui une projection affective tendancieuse. Il était inévitable que leur point de vue soit erroné. Aucun parent ne pouvait être un bon instructeur pour son enfant.
En revanche, les robots, eux, savaient observer l’enfant, analyser ses besoins, ses désirs, tester ses aptitudes et ses centres d’intérêt. Jamais ils ne forçaient un enfant à se couler dans un moule particulier. On l’élevait au gré de ses propres tendances, toujours dans le sens de ses intérêts et de ses besoins, tels que déterminés par l’analyse scientifique. »

Philip K. Dick, Nouvelles 1947-1953, p.744

Monde meilleur

22 mardi Jan 2019

Posted by patertaciturnus in Divers vers

≈ Poster un commentaire

Étiquettes

Ingeborg Bachmann

Ich weiß keine bessere Welt.
Die schwachsinnige Moral der Opfer läßt wenig hoffen.

[…]

Ingeborg Bachmann

*

Je ne connais pas de monde meilleur.
La morale débile des victimes laisse peu à espérer.

trad. Françoise Rétif

← Articles Précédents

Archives

  • mars 2023 (5)
  • janvier 2023 (10)
  • décembre 2022 (6)
  • novembre 2022 (7)
  • octobre 2022 (6)
  • septembre 2022 (15)
  • août 2022 (24)
  • juillet 2022 (28)
  • juin 2022 (19)
  • mai 2022 (20)
  • avril 2022 (23)
  • mars 2022 (27)
  • février 2022 (29)
  • janvier 2022 (31)
  • décembre 2021 (25)
  • novembre 2021 (21)
  • octobre 2021 (26)
  • septembre 2021 (30)
  • août 2021 (24)
  • juillet 2021 (28)
  • juin 2021 (24)
  • mai 2021 (31)
  • avril 2021 (16)
  • mars 2021 (7)
  • février 2021 (6)
  • janvier 2021 (13)
  • décembre 2020 (11)
  • novembre 2020 (3)
  • octobre 2020 (3)
  • septembre 2020 (9)
  • août 2020 (18)
  • juillet 2020 (16)
  • juin 2020 (8)
  • mai 2020 (20)
  • avril 2020 (8)
  • mars 2020 (11)
  • février 2020 (18)
  • janvier 2020 (26)
  • décembre 2019 (21)
  • novembre 2019 (25)
  • octobre 2019 (26)
  • septembre 2019 (31)
  • août 2019 (27)
  • juillet 2019 (23)
  • juin 2019 (22)
  • mai 2019 (22)
  • avril 2019 (27)
  • mars 2019 (27)
  • février 2019 (24)
  • janvier 2019 (32)
  • décembre 2018 (13)
  • novembre 2018 (9)
  • octobre 2018 (12)
  • septembre 2018 (9)
  • août 2018 (13)
  • juillet 2018 (9)
  • juin 2018 (8)
  • mai 2018 (21)
  • avril 2018 (25)
  • mars 2018 (26)
  • février 2018 (22)
  • janvier 2018 (27)
  • décembre 2017 (24)
  • novembre 2017 (16)
  • octobre 2017 (19)
  • septembre 2017 (18)
  • août 2017 (21)
  • juillet 2017 (18)
  • juin 2017 (21)
  • mai 2017 (14)
  • avril 2017 (22)
  • mars 2017 (30)
  • février 2017 (12)
  • janvier 2017 (13)
  • décembre 2016 (14)
  • novembre 2016 (15)
  • octobre 2016 (22)
  • septembre 2016 (16)
  • août 2016 (24)
  • juillet 2016 (19)
  • juin 2016 (16)
  • mai 2016 (20)
  • avril 2016 (10)
  • mars 2016 (30)
  • février 2016 (28)
  • janvier 2016 (32)
  • décembre 2015 (27)
  • novembre 2015 (28)
  • octobre 2015 (31)
  • septembre 2015 (30)
  • août 2015 (33)
  • juillet 2015 (32)
  • juin 2015 (33)
  • mai 2015 (34)
  • avril 2015 (31)
  • mars 2015 (35)
  • février 2015 (32)
  • janvier 2015 (33)
  • décembre 2014 (37)
  • novembre 2014 (33)
  • octobre 2014 (33)
  • septembre 2014 (33)
  • août 2014 (33)
  • juillet 2014 (33)
  • juin 2014 (35)
  • mai 2014 (35)
  • avril 2014 (35)
  • mars 2014 (35)
  • février 2014 (30)
  • janvier 2014 (40)

Catégories

  • 7e art
  • Célébrations
  • Choses vues ou entendues
    • confession
    • Mon métier ma passion
  • Divers vers
  • Fantaisie
    • devinette
    • Philémon et Anatole
    • Taciturnus toujours au top
    • Tentatives de dialogues
  • Food for thought
    • Aphorisme du jour
    • Pessoa est grand
  • Insatiable quête de savoir
    • Il suffirait de quelques liens
  • Lectures
  • Mysticismes
  • Non classé
  • Paroles et musiques
    • Au chant de l'alouette
    • Berceuse du mardi
    • Bienvenue aux visiteurs
  • Père castor
  • Perplexités et ratiocinations
  • SIWOTI or elsewhere

Tags

Abel Bonnard alouette amitié amour art Auguste Comte Benjamin Fondane Bertrand Russell bonheur Cesare Pavese correspondance culture Dieu Djalâl ad-Dîn Rûmî Dostoievski Edmond Jabès Elias Canetti Emily Dickinson enseigner et apprendre esthétique Fernando Pessoa Friedrich von Schiller féminisme Gabriel Yacoub Goethe Hegel Hugo von Hofmannstahl humiliation Hâfez de Chiraz Ito Naga Jean-Jacques Rousseau Joseph Joubert Karen Blixen Karl Kraus Kierkegaard Kobayashi Issa Lichtenberg lune Malek Haddad Marina Tsvetaieva Marshall Sahlins mort Mário de Sá-Carneiro Nietzsche Nâzım Hikmet Omar Khayyâm Paul Eluard Paul Valéry perfection et imperfection Philippe Jaccottet philosophie Pier Paolo Pasolini Pierre Reverdy poésie profondeur racisme Ramón Gómez de la Serna Reiner Kunze religion rêve Simone Weil solitude souffrance Stefan George stoïcisme stupidité travail universalisme Urabe Kenkô utilitarisme vertu vie vérité Witold Gombrowicz éthique et esthétique

Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com.

Confidentialité & Cookies : Ce site utilise des cookies. En continuant à utiliser ce site, vous acceptez leur utilisation.
Pour en savoir davantage, y compris comment contrôler les cookies, voir : Politique relative aux cookies
  • Suivre Abonné∙e
    • Pater Taciturnus
    • Rejoignez 67 autres abonné∙e∙s
    • Vous disposez déjà dʼun compte WordPress ? Connectez-vous maintenant.
    • Pater Taciturnus
    • Personnaliser
    • Suivre Abonné∙e
    • S’inscrire
    • Connexion
    • Signaler ce contenu
    • Voir le site dans le Lecteur
    • Gérer les abonnements
    • Réduire cette barre