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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: avril 2018

Hospitalité pour l’hérétique

30 lundi Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures, Perplexités et ratiocinations

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bon exemple, conversion, hospitalité

Je voudrais apporter aujourd’hui un complément à l’article que j’avais consacré à l’opposition entre les deux apophtegmes suivants.

Abba Chomé, sur le point de mourir dit à ses fils : « N’habitez pas avec les hérétiques, ne liez pas connaissance avec les magistrats, que vos mains ne soient pas tendues pour ramasser mais plutôt ouvertes pour donner. »

I, 27

« Celui qui ne reçoit pas tous les hommes comme des frères mais fait des distinctions, celui là n’est pas parfait. »

I, 33

J’évoquerai aujourd’hui une histoire édifiante consignée dans la suite du recueil qui tranche clairement en faveur du second des apophtegmes susmentionnés. La voici :

« Il y avait un vieillard qui habitait dans un lieu désert. Et loin de lui, il y en avait un autre, manichéen, qui était prêtre, du moins de ceux qu’on appelle prêtres chez eux. Et un jour qu’il se rendait chez l’un de ses coreligionnaires, il fut surpris par le soir à l’endroit où se trouvait le vieillard, et il était dans l’angoisse, voulant frapper et entrer dormir chez lui; il savait en effet que le vieillard le connaissait comme manichéen et il craignait qu’il ne veuille pas le recevoir. Mais, poussé par la nécessité, il frappa. Et le vieillard lui ouvrit, le reconnut, l’accueillit avec joie, l’invita à prier et, après l’avoir restauré, le fit dormir. Et le manichéen, rentrant en lui-même pendant la nuit, se disait avec étonnement : «Comment n’a-t-il eu aucune méfiance envers moi? Vraiment c’est un homme de Dieu. » Et il alla se jeter à ses pieds en disant : «A partir d’aujourd’hui je suis orthodoxe.» Et ainsi il demeura avec lui. »

Apophtegmes des pères, XIII, 12

Alors que l’apophtegme I, 27 suggérait que le contact de l’hérétique était susceptible de détourner du droit chemin, XIII, 12 affirme au contraire qu’en offrant l’hospitalité à l’hérétique on pourra le ramener sur le droit chemin. Le récit veut donner foi dans la performativité de l’hospitalité : en les traitant « eux » comme s’ils étaient déjà des nôtres, ils finiront par rejoindre le « nous ».

On notera que dans ce récit, à la différence d’autres histoires édifiantes du recueil, il n’y a pas d’intervention divine (ou angélique) directe pour « récompenser » la bonne conduite du croyant : la conduite exemplaire de l’anachorète suscite « naturellement » la conversion de l’hérétique en sollicitant sa réflexion. L’absence de méfiance du moine envers l’hérétique (qui fait contraste avec la crainte qu’éprouve initialement celui-ci) est lue comme un signe de sa confiance en Dieu et de l’intimité de sa relation avec lui [1].

On peut spéculer sur une inversion de la situation  : le fait que le manichéen ait craint de n’être pas accueilli reflète-t-il ses propres dispositions à l’hospitalité (ce à quoi je m’attend de la part de l’autre témoignant de ce que de serai disposé à faire si j’étais à sa place) ? Si l’orthodoxe avait reçu l’hospitalité de la part du manichéen aurait-il dû en tirer la conclusion qu’il fallait se convertir au manichéisme ? Si l’exemple de l’hospitalité peut convertir, on ne voit pas pourquoi il devrait convertir à une conception déterminée de Dieu ; qu’il convertisse à l’hospitalité serait déjà un succès.

[1] Un point sur lequel j’essaierai de revenir parce qu’il me paraît important, c’est que la confiance réciproque entre les deux hommes est ici médiatisée par leur confiance envers Dieu : si l’anachorète ouvre sa porte c’est parce qu’il a confiance en Dieu plutôt que dans le manichéen lui-même. Se pose alors la question de la nécessité de ce tiers pour établir la confiance réciproque et de ce qui peut en tenir lieu dans un contexte laïcisé.

 

 

Sakura Sakura

30 lundi Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Paroles et musiques

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Rognures d’ongles et cinéma d’auteur

29 dimanche Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Choses vues ou entendues

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manucure et pédicure, Yasujiro Ozu

Yasujiro Ozu, Printemps tardif (1949)

 

Yasujiro Ozu, Bonjour (1959)

Au chant de l’alouette (19)

28 samedi Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Au chant de l'alouette, Paroles et musiques

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alouette, Henry Bishop, William Shakespeare

Hark, kark, the lark, n’est pas le seul texte de Shakespeare évoquant l’alouette qui ait été mis en musique. Découvrons aujourd’hui  Lo! Here the Gentle Lark, extrait du poème Venus et Adonis et mis en musique par Henry Bishop (le compositeur anglais n’a repris que les quatre premiers vers de la strophe).

Lo! here the gentle lark, weary of rest,
From his moist cabinet mounts up on high,
And wakes the morning, from whose silver breast
The sun ariseth in his majesty;
Who doth the world so gloriously behold,
That cedar-tops and hills seem burnish’d gold.

Deux versions accompagnées par Jean-Pierre Rampal sont à signaler : celle de Kathleen Battle …

… et celle de Miss Piggy

Pour le meilleur et pour le pire

26 jeudi Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures

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amour, Karen Blixen, mer

« En écoutant les autres, Charlie pensait : « Ces hommes sont des gens raisonnables et savent de quoi ils parlent ; car ceux qui voyagent pour leur plaisir quand la mer est calme et n’a pour eux que sourires ne connaissent rien à l’amour quand ils déclarent qu’ils aiment la mer. Ce sont les marins, qui ont été battus et maltraités par la mer, qui l’ont maudite et envoyée au diable, qui sont ses véritables adorateurs. La même loi s’applique sans doute aux relations entre maris et femmes. Il faut que je m’instruise auprès de ces hommes, et qu’ils m’apprennent la sagesse, car je ne suis qu’un enfant comparé à eux. »

Karen Blixen, Le jeune homme à l’œillet, in Contes d’hiver
trad. Marthe Metzger, Gallimard Folio, p. 47

Creux et superficiels

25 mercredi Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Karen Blixen, Maman les p'tits bateaux, profondeur, surface

« Combien ces vaisseaux, entourés d’eau de tous côtés, lui étaient supérieurs ! Ils flottaient ; la mer salée les menait partout où il leur plaisait d’aller. En les contemplant, il sentait un courant de sympathie venir à lui de ces énormes masses ; elles étaient chargées d’un message à son adresse. Mais, au commencement, il ne comprit pas ce message ; et puis, il trouva le mot juste dont il fallait qualifier la nature de ces bateaux : c’était « superficiel » : ils restaient à la surface de l’eau. C’est en cela que résidait leur puissance. Le danger pour un bateau, c’est d’aller au fond des choses, d’échouer. Les vaisseaux sont creux, c’est le secret de leur existence ; les plus grandes profondeurs sont à leur service tant qu’ils restent creux.

A cette pensée, un flot de bonheur envahit le cœur de Charlie, et il se mit à rire dans la nuit.

« Mes amis ! se disait-il, j’aurais dû venir vous trouver il y a longtemps ! O voyageurs magnifiques ! Voyageurs en surface, voyageurs courageux qui triom­phez des abîmes ! Je vous serai reconnaissant pendant ma vie entière. Dieu vous maintienne à flot, ô vais­seaux ! mes frères ! Que Dieu nous conserve notre pouvoir de rester superficiels ! de rester à la surface des choses ! »

Karen Blixen, Le jeune homme à l’œillet, in Contes d’hiver
trad. Marthe Metzger, Gallimard Folio, p. 40 – 41

Mise en abyme (2)

23 lundi Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Choses vues ou entendues

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Franz Schubert, Yasujiro Ozu

J’ai évoqué il y a un mois comment, après avoir vu Une femme de Tokyo, j’étais parti en quête du plus ancien film intégrant une scène de projection cinématographique. Je viens de découvrir qu’Ozu est un récidiviste de la mise en abyme et de la citation de films d’autres réalisateurs. En effet dans Le fils unique (1936), les deux personnages principaux, Ryosuke (le fils unique) et Tsune Nonomiya (sa mère) se rendent au cinéma. Plus exactement le fils emmène sa mère venue de province découvrir le cinéma parlant.

Pour apprécier pleinement cette mise en abyme il faut savoir que Le fils unique est le premier film parlant réalisé par Ozu.

Pour nous monter ce que regardent ses personnages, le réalisateur japonais intègre deux séquences de La symphonie inachevée, un film anglo-autrichien sorti en 1934 (le film est réalisé par l’acteur autrichien Willi Forst dont c’est la première réalisation, sous la supervision, du moins pour la version anglaise, de l’anglais Anthony Asquith). Comme vous l’aviez peut-être deviné il s’agit de ce qu’on appellerait aujourd’hui un biopic consacré à Franz Schubert et plus précisément à son idylle avec Caroline Esterhazy.

Séquence « le jeune Franz sous le charme des performances lyriques de la Fraulein »

Séquence « le jeune Franz rejoint sa blonde au milieu des blés »

Mais le meilleur de la mise en abyme réside dans sa touche ironique : la mère du « fils unique » s’endort pendant le film (pendant la séquence musicale qui plus est) …

… à la déception de son fils.

A la décharge de Tsune, outre son âge et la fatigue du voyage jusqu’à Tokyo, il faut dire que ça parle et ça chante en allemand et que le film semble n’être ni doublé ni sous-titré (je dois avouer que j’ignore combien de temps il a fallu après les débuts du parlant pour que s’imposent le doublage ou le sous-titrage).

[1] En allemand ce film est désigné par le titre d’une autre œuvre de Schubert : Leise flehen meine Lieder. Il est visible sur Daily motion (en allemand avec sous-titres en japonais).

Syndrome de l’imposteur

22 dimanche Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures

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imposture, Karen Blixen

« Le jeune écrivain songeait avec amertume que, dans son cas, une sorte d’influence démoniaque avait tout bouleversé. Quoi d’étonnant si le désespoir s’emparait de lui !

Il avait été pris dans une trappe, et s’en était aperçu trop tard, car il savait, sans que rien pût ébranler cette certitude, qu’il n’écrirait plus jamais un grand livre. Il n’avait plus rien à dire, et le manuscrit dans sa valise n’était qu’un amas de paperasses, qui pesait au bout de son bras. Il se rappelait un verset de la Bible, car, dans son enfance, il avait été à l’École du dimanche : « Je ne suis digne que d’être jeté dehors et foulé aux pieds. »
Comment oserait-il se retrouver face à face avec ceux qui l’aimaient et avaient eu confiance en lui : le public, ses amis, sa femme ? Jusqu’à présent, il n’avait jamais douté de leur affection ; il leur était plus cher que tout ce qui les concernait eux-mêmes ; ce qui le touchait, lui, les touchait au premier chef, parce qu’ils croyaient en son génie et voyaient en lui un grand artiste.

Mais si son génie l’avait abandonné, il ne lui restait qu’une alternative dans l’avenir : ou bien le monde le mépriserait et se détournerait de lui ; ou bien on continuerait à l’aimer, bien qu’il ne valût rien en tant qu’artiste. Il reculait d’horreur à la pensée de cette seconde hypothèse, lui qui d’ordinaire n’avait peur de rien. Si pareille éventualité se réalisait, le monde n’était qu’un espace vide, une caricature, un asile de fous. Le mépris, le bannissement, la ruine, tout était préférable à cela. La pensée de sa renommée ajoutait à son désespoir. Dans le passé, lorsqu’il était malheureux, et envisageait parfois de se jeter dans la rivière, il ne s’agissait que de son propre sort. Aujourd’hui, il était célèbre; sa vie se passait à la lumière d’un projecteur ; une centaine d’yeux étaient braqués sur lui ; son échec et son suicide seraient l’échec et le suicide d’un auteur de grand renom.

Cette pensée lui donnait envie de vomir.« 

Karen Blixen, Le jeune homme à l’œillet, in Contes d’hiver
trad. Marthe Metzger, Gallimard Folio, p. 31

 

Au chant de l’alouette (18)

21 samedi Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Au chant de l'alouette, Paroles et musiques

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alouette, koto, Michio Miyagi

ひばり

Pour en apprendre plus sur le compositeur de cet œuvre, le joueur de koto Michio Miyagi (1894 -1956) on pourra avantageusement consulter la version anglaise de sa page web oficielle.

Le goût de la routine

21 samedi Avr 2018

Posted by patertaciturnus in Lectures

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habitude, Roald Dahl, routine

« Croyez-moi, rien de tel que les heures fixes et la régularité pour conserver la paix de l’âme. J’ai effectué près de mille fois ce petit voyage matinal et cela ne m’empêche point de m’en réjouir un peu plus à chaque fois. Aussi — chose déplacée mais intéressante — j’ai fini par devenir une sorte d’horloge vivante. Je peux dire sans hésiter si nous avons deux, trois ou quatre minutes de retard et je n’ai jamais besoin de lever les yeux pour savoir où nous sommes.

Quant au parcours de Cannon Street à mon bureau, Il n’est ni trop long ni trop court, une saine petite promenade par les rues pleines de gens qui se rendent à leur travail avec la même assiduité que moi. Comme il est rassurant de circuler parmi ces êtres dignes de confiance et si respectables qui vont directement là où les appellent leurs occupations au lieu de traîner sans but dans les rues ! Leurs vies, comme la mienne, sont réglées comme les aiguilles d’une bonne montre et, très souvent, nos chemins se croisent à la même minute du jour, au même endroit.

[…]

La moitié au moins des visages que j’entrevois ainsi au cours de ma petite promenade me sont familiers à présent. Ce sont de bons visages, des visages à mon goût et qui appartiennent à des personnes de mon espèce. De braves gens, travailleurs et sains d’esprit, sans la moindre trace de ce petit air tourmenté que l’on trouve si souvent chez les spécimens dits intelligents qui cherchent à mettre le monde sens dessus dessous avec leurs gouvernements travaillistes, leurs assurances sociales et j’en passe. »

Roald Dahl, Foxley le galopant, in Bizarre ! Bizarre!

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