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alouette, Joseph Haydn, Olivier Messiaen, Ralph Vaughan Williams
On a vu la semaine dernière que l’alouette était présente dans l’œuvre de Haydn à travers l’arrangement d’un chant gallois Codiad yr ehedydd (L’envol de l’alouette), nous verrons cette semaine qu’elle a aussi donné son nom au Quatuor à corde Op.64 n°5 du compositeur autrichien. Les quatuors de Haydn n’ont pas reçu aussi systématiquement des surnoms que ses symphonies. Celui qui nous occupe semble devoir son nom à une évocation des trilles de l’alouette par le premier violon dans le premier mouvement.
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Le Catalogue d’oiseaux d’Olivier Messiaen fait place à deux espèces d’alouettes :
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Nous en terminerons pour aujourd’hui avec l’alouette en écoutant The lark ascending du compositeur britannique Ralph Vaughan Williams. Cette « romance pastorale pour orchestre » est inspirée par le poème éponyme de George Meredith.
Merci 🙂
sur le même oiseau (dans un tout autre genre) :
Merci, j’ai encore un certain nombre de choses sous le coude pour continuer cette série, mais je ne connaissais pas ce morceau (In the court of king crimson est le seul album du groupe que j’ai écouté jusqu’ici).
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