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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: juillet 2016

Passage d’inspirateur

31 dimanche Juil 2016

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Hugo von Hofmannstahl, inspiration

Einem, der vorübergeht

Du hast mich an Dinge gemahnet
Die heimlich in mir sind,
Du warst für die Saiten der Seele
Der nächtige flüsternde Wind

Und wie das rätselhafte,
Das Rufen der atmenden Nacht,
Wenn draußen die Wolken gleiten
Und man aus dem Traum erwacht,

Zu blauer weicher Weite
Die enge Nähe schwillt,
Durch Zweige vor dem Monde
Ein leises Zittern quillt.

Hugo von Hofmannsthal

*

Tu m’as éveillé à des choses
Qui habitaient en moi, secrètes,
Tu fus aux cordes de mon âme
Le murmure du vent de nuit.

Tu fus comme l’énigmatique
Appel de la nuit respirante,
Qui lorsque les nuages glissent
Au dehors, et qu’on sort du rêve,

Dilate notre étroite chambre,
La change en doux horizon bleu,
Parcourt les peupliers sous la lune,
D’un tremblement léger sans bruit.

trad. Jean-Yves Masson, Verdier

Opposition de classes et villégiature

29 vendredi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Lectures

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classes sociales, Elisabeth Pélegrin-Genel, spectacle, tourisme

saint-tropez

Source de l’image

« Que serait Saint-Tropez sans la foule de curieux issus des campings avoisinants qui vient admirer les bateaux des riches vacanciers ? On a l’image du zoo en tête, mais qui sont les singes et qui sont les visiteurs ? À la place de la grille, une simple passerelle qu’aucune personne non autorisée ne franchira jamais. La clôture est bien là, invisible. Que pensent réellement ces personnes bien habillées et bronzées sirotant leur cham­pagne sous l’œil des badauds en shorts et casquettes ? Chacun se réjouit de voir l’autre et de ne surtout pas appartenir à son monde, dans une grande complicité. L’un achète les revues dans lesquelles l’autre s’exhibe. Saint-Tropez demeure l’archétype de ce mélange de l’univers du show-biz, des grands patrons et du tourisme populaire qui se croisent et se regardent sans jamais se rencontrer. Saint-Tropez est un mélange inimitable d’espaces publics destinés à se montrer, d’espaces ouverts avec ses multiples campings et d’espaces tota­lement fermés composés de villas de rêve inaccessibles. « En effet ne pas se montrer à Saint-Tropez dans l’un des lieux les plus médiatisés de la planète est le comble du snobisme, le point ultime de l’aboutissement d’un processus […] qui repose sur un certain nombre de logiques spatiales ».

La possession d’une maison isolée avec vue sur la mer, perdue dans la nature au sein d’un endroit hyper­-fréquenté signe une certaine appartenance sociale. Est-ce pour la mer ou l’idée que l’on se fait de la mer ? Ces merveilleuses bâtisses possèdent toutes une piscine et personne n’en sort jamais, sauf pour se montrer juste­ment. Alors pourquoi pas la Creuse? Parce que, au milieu de la Creuse, aucun badaud ne pourra attester qu’on est bien là, il n’y aura pas ces subtils jeux de regards. »

Elisabeth Pélegrin-Genel, Des souris dans un labyrinthe –
Décrypter les ruses et manipulations de nos espaces quotidiens,
Les empêcheurs de penser en rond, p. 156 – 157

Le chant du coq réinterprété

28 jeudi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour, Divers vers

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brièveté de la vie, Omar Khayyâm

A l’aube, le coq matinal, sais-tu pourquoi
Il entonne à chaque instant son chant funèbre ?
C’est pour te dire que l’on vient d’indiquer dans le miroir du matin :
Qu’une nuit est retranchée de ta vie et que tu l’ignores.

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian : 498

Berceuse du mardi (13)

26 mardi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Berceuse du mardi

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*

Sur la route des vacances (2)

26 mardi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Lectures

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aire d'autoroute, aliénation, Elisabeth Pélegrin-Genel, espace, transport

« L’automobiliste sur l’autoroute, coincé entre ciel, bitume et glissière de sécurité, à vitesse constante ne perçoit que « le sentiment de l’absence d’environnement » comme le dit joliment Jean Baudrillard. Il circule sur un ruban ininterrompu qui ne lui donne aucune lisibilité ou repère et le conduit à des actions bizarres : s’il veut tourner à gauche à la prochaine intersection d’autoroute, il lui faut d’abord prendre à droite. Le rond-point produit un peu la même impression en réclamant dextérité et concentration pour être abordé avec aisance.

Un décor campagnard borde l’autoroute. Des pictogrammes de trois mètres sur quatre signalent aux automobilistes pressés qu’ils traversent une zone agricole : un rectangle marron sur lequel se détachent des arbres fruitiers stylisés, ou cinq petites pommes. D’autres invitent le conducteur à jeter un regard furtif sur un hameau « authentique » avec clocher roman ou citadelle en ruine.

Cet espace de mobilité permanente est entrecoupé aussi de « lieux du transit » qui obéissent à une logique de promenade et d’achats plus ou moins impulsifs. Ainsi, les stations-service des autoroutes demeurent des étapes obligatoires. Les « véritables produits du terroir» attendent les automobilistes lors de leur escale-pipi, avec animation, ballons, drapeaux, flonflons et parfois vrais paysans en costume régional. Aire des grandes herbes, du hibou ou du grand bœuf, les zones de repos bordant l’autoroute renouent, contre toute attente, avec le lieu-dit en reprenant son nom. Chaque jour, des milliers d’automobilistes s’y arrêtent. Leur rénovation est spectaculaire, l’offre se complexifie. Désormais gérées par la grande distribution, ces stations transforment le conducteur en consommateur et lui proposent de faire quelques courses en revenant de week-end, de se procurer des produits naturels ou d’essayer le tir à l’arc.

aire autoroute

Devinette 1 : saurez-vous reconnaître cette aire d’autoroute ?

 

[…]

On passe également un temps fou dans un aéroport, cet espace technique et sécuritaire où les arrivées et les départs ne se croisent jamais. Mais pourquoi les salles M’attente sont-elles aussi inconfortables ? Pourquoi les sièges sont-ils alignés et fixés au sol ? Craindrait-on des émeutes ? Pourquoi rien n’est jamais prévu pour les familles avec enfants ou les groupes d’amis ou de collègues, condamnés à s’asseoir en rang d’oignons, sans possibilité de mener une conversation ou de jouer ? Tout est conçu pour satisfaire les besoins d’un adulte seul qui ne souhaite entrer en interaction avec personne. Mais cet adulte reste, avant tout, un consommateur potentiel : l’inconfort des salles d’attente doit le pousser à se lever pour se dégourdir les jambes, se promener dans les galeries truffées de restaurants, de bars et de boutiques. Chaque passager contribue ainsi à faire marcher l’économie, non seulement des compagnies aériennes, mais aussi des boutiques, succursales de chaînes internationales, ce qui renforce encore cette impression de duplication d’un aéroport à l’autre.

Aéroport

Devinette 2 : de quel aéroport s’agit-il ?

Enfin, pourquoi l’étage des arrivées est-il aussi mal fichu ? La porte des sorties de vols internationaux toujours étroite et opaque crache ses voyageurs hagards au coup par coup. En l’absence d’informations sur la provenance du vol, les gens s’agglutinent le plus près possible de la porte. Lorsque la personne attendue arrive, les embrassades provoquent un bouchon qui gêne les autres. L’arrivée ne fait l’objet d’aucun soin, car la gestion du flux prédomine, il s’agit de faire partir au plus vite ceux qui ne sont plus des clients potentiels de l’aéroport. Et l’espace le signifie clairement.

Sur quatre roues, on circule donc, dans un vaste territoire faussement simple qui ignore superbement l’environnement : on est partout et nulle part, tout se ressemble. Un peu hypocrite, l’espace de la mobilité dissimule son efficacité et sa haute technicité, mais impose des usages et des conduites précises tout en se voulant familier. Carrément cynique, il interdit toute immobilité, empêche le repli, ne permet aucun ancrage, juste un passage rapide. C’est un espace fluide et déterritorialisé qui conduit à une certaine confusion malgré sa débauche de signalétique.

[…]

Rocade

Devinette 3 : quelle ville cette rocade permet-elle de contourner ?

Ainsi, nous aurions quitté naturellement les lieux-dits, car littéralement, en effet, « on ne peut plus les dire », pour un territoire mondialisé, sans frontières, parsemé çà et là d’œuvres atopiques. Le génie du lieu a déserté. »

Elisabeth Pélegrin-Genel, Des souris dans un labyrinthe –
Décrypter les ruses et manipulations de nos espaces quotidiens,
Les empêcheurs de penser en rond, p. 41 – 44

Sur la route des vacances

25 lundi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Lectures, Perplexités et ratiocinations

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aliénation, espace, Ivan Illich, Jean-Pierre Dupuy, transport

« Les transports, à en croire le discours qu’ils véhiculent, produiraient l’accès au monde et aux autres. Disons peuvent tout au plus produire les conditions qui favorisent la capacité autonome d’accès au monde et aux autres. Ils peuvent aussi la détruire. Nous y sommes.

L’autonomie implique ici un rapport à l’espace fondé sur des déplacements à faible vitesse, recourant pour l’essentiel à l’énergie métabolique de celui qui se meut. Si l’on n’est soumis à aucune contrainte, on ne marche que dans des lieux que l’on aime. La vitesse motorisée n’a d’intérêt que quand il s’agit de s’éloigner de lieux indésirables ou de vaincre des distances perçues comme des obstacles. La soumission de l’homme industriel aux véhicules révèle qu’il ne se sent chez lui nulle part, ou presque. Si l’homme habite en poète, le malheur de vivre dans un endroit inhabitable ne pourra jamais être compensé par l’accroissement des possibilités de le fuir le plus souvent possible. « Les usagers, écrivait Illich, briseront les chaînes du transport surpuissant lorsqu’ils se remettront à aimer comme un  territoire leur îlot de circulation, et à redouter de s’en éloigner trop souvent. »

L’alternative radicale aux transports actuels, ce ne sont pas des transports moins polluants, moins producteurs de gaz à effet de serre, moins bruyants et plus rapides ; c’est une réduction drastique de leur emprise sur notre vie quotidienne. Il faut briser pour cela le cercle vicieux par lequel une industrie contribue à renforcer les conditions qui la rendent nécessaire ; par lequel les transports créent des distances et des obstacles à la communication qu’eux seuls peuvent franchir.

L’espace vécu traditionnel est un espace connexe : deux points quelconques peuvent toujours être reliés par un chemin continu qui ne sorte pas du territoire. La société industrielle est la première à avoir brisé cette connexité. Les espaces personnels y sont éclatés en morceaux disjoints, éloignés les uns des autres : le domicile, le lieu de travail, quelques espaces publics de la ville, les commerces et le mythique « ailleurs » des loisirs et de l’évasion. Entre ces domaines, des déserts de sens, déserts esthétiques, symboliques, que l’on vise à franchir le plus efficacement possible en se livrant au système de transport. Pensez par exemple à l’espace de l’autoroute, dont on se protège par cette bulle métallique qui se transforme parfois en cercueil ; à plus forte raison, à l’espace dans lequel évolue votre jet.

Or les transports sont le rituel d’un mythe qui dit le retour au voisinage traditionnel possible grâce à eux. Pour obtenir le « village global », il n’est que d’annuler ces espaces vides de sens, ces espaces morts tout juste bons à être définitivement vaincus. Le discours publicitaire, cette obsécration de notre temps, exprime on ne peut mieux l’espérance que le dieu Transport est adjuré de satisfaire. Voyez ce placard qu’une compagnie d’aviation helvétique faisait naguère insérer dans quelques hebdomadaires européens. Le dessin y représentait une ville ancienne, riche de culture et variée, avec ses monuments, ses places, ses rivières et ses larges artères. A y regarder de plus près, cependant, vous compreniez qu’il s’agissait d’un monstre : y voisinaient, juxtaposés, les plus beaux quartiers des plus belles villes d’Europe. La place Rouge n’y était séparée de la place de la Concorde que par le lit d’un fleuve, et la Via Veneto débouchait dans Piccadilly Circus. Légende : grâce à notre compagnie, l’Europe est réduite aux dimensions d’une ville. »

Jean-Pierre Dupuy, Pour un catastrophisme éclairé, Points essais, p. 58 – 60

*

Je n’ai malheureusement pas réussi à trouver le placard de Swissair auquel fait référence Dupuy, j’ai cependant découvert deux affiches de cette même compagnie qui semblent qui jouent sur la même idée d’une abolition des distances transformant l’Europe en ville.

swissair

Source

 

 

swissair2

Source

Ce texte m’a aidé à comprendre la signification de l’aversion de ma mère pour l’autoroute et son goût pour les petites routes. Illichienne qui s’ignore, elle était sensible au fait que plus la route est aménagée pour nous permettre de gagner du temps plus on a l’impression d’y perdre son temps, le transit rendu plus rapide étant aussi rendu inintéressant.  Il faudrait cependant apporter une correction à l’idée d’Illich  citée par Dupuy :

« Les usagers, briseront les chaînes du transport surpuissant lorsqu’ils se remettront à aimer comme un  territoire leur îlot de circulation, et à redouter de s’en éloigner trop souvent. »

Cette formule me semble suggérer à tort qu’il n’y aurait que deux rapports à l’espace, que nous serions contraints de choisir entre arpenter un espace aimé et familier ou transiter (le plus vite possible) à travers un espace inhospitalier parce qu’anonyme et indifférencié. La fin de la phrase qui suggère que le rapport « authentique » à l’espace consisterait à rester dans un espace où l’on se sent « chez soi », tout trajet devenant un « tour du propriétaire », ne peut qu’apporter de l’eau au moulin de ceux qui soupçonnent la critique de l’aliénation technicienne d’être politiquement réactionnaire. En réalité on peut échapper à l’alternative suggérée ci-dessus : quitter son territoire ne signifie pas nécessairement transiter par un espace anonyme car l’espace extérieur peut aussi être appréhendé comme un espace à explorer. On peut sortir de son territoire le temps d’un saut jusqu’à une autre niche territoriale, on peut aussi le quitter dans le but de l’étendre en se familiarisant avec l’espace étranger, en apprenant à en découvrir les ressources.  Je ne conteste pas qu’il soit souhaitable de se remettre « à aimer comme un territoire [nos] îlots de circulation », mon propos est de souligner que l’activité exploratoire qui permet à la zone de transit de (re)devenir territoire a aussi vocation à repousser les limites « naturelles » de l’îlot de circulation.

Mise en garde

13 mercredi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour, Divers vers

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désillusion, Omar Khayyâm

Prends garde : le monde est là pour nous plonger dans la détresse ;
Ne dors point sur tes deux oreilles : le glaive du temps est acéré.
Si le sort met dans ta bouche des sucreries,
Garde toi de les avaler : elles sont empoisonnées.

Omar Khayyâm, Robâiyât
trad Rezvanian 327

Berceuse du mardi (12)

13 mercredi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Berceuse du mardi

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Recueillement

11 lundi Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Lectures, Mysticismes

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recueillement, solitude

« Abba Marc dit à Abba Arsène : « Dans quel but nous fuis-tu? » Le vieillard lui dit : « Dieu sait que je vous aime ;  mais je ne puis être avec Dieu et avec les hommes. Les myriades et les chiliades d’en haut n’ont qu’une seule volonté, tandis que les hommes en ont beaucoup. Je ne puis donc abandonner Dieu et aller avec les hommes. »

Apophtegmes des pères II, 5, Editions du Cerf

Des coups du sort

10 dimanche Juil 2016

Posted by patertaciturnus in Lectures

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mauvaise fortune, Pétrarque

DOULEUR – La Fortune rapace m’a arraché tout ce sur quoi je comptais.

RAISON – Elle ne t’a rien volé, elle n’a fait que reprendre son bien. Mais c’est là une marque ancienne, et bien connue d’ingratitude : oublieux de ce que vous avez reçu, vous vous souvenez de ce qu’on vous a pris. Ainsi rares et tièdes sont vos actions de grâces, et vos plaintes ardentes et nombreuses.

Pétrarque, Contre la bonne et la mauvaise fortune,
traduit du latin par Anne Duprat, Rivages poche, p. 138

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