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Pater Taciturnus

~ "Ton péché originel c'est d'ouvrir la bouche. Tant que tu écoutes tu restes sans tache"

Pater Taciturnus

Archives Mensuelles: juillet 2015

Ordre ménager

20 lundi Juil 2015

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microcosme et macrocosme, ordre et liberté, organisation domestique

« L’ordre qu’il  a mis dans sa maison est à l’image de celui qui règne au fond de son âme, et semble imiter dans un petit ménage l’ordre établi dans le gouvernement du monde. On n’y voit ni cette inflexible régularité qui donne plus de gène que d’avantage, et n’est supportable qu’à celui qui l’impose, ni cette confusion mal entendue qui pour trop avoir ôte l’usage de tout. On n’y reconnait jamais la main du maître et on ne la sent jamais ; il a si bien ordonné le premier arrangement qu’à présent tout va tout seul, et qu’on jouit à la fois de la règle et de la liberté »

Jean Jacques Rousseau, La nouvelle Héloïse
Troisième partie, Lettre XX

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Vie de la pensée

19 dimanche Juil 2015

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découverte, fécondité et stérilité, penser, Robert Musil

« C’est une chose étrange que les pensées. Elles ne sont souvent rien de plus que des accidents qui disparaissent sans laisser de traces, elles ont leurs temps morts et leurs saisons florissantes. On peut faire une découverte géniale et la voir néanmoins se faner lentement dans vos mains, telle une fleur. La forme en demeure, mais elle n’a plus ni couleur, ni parfum. C’est-à-dire que l’on a beau s’en souvenir mot pour mot, que sa valeur logique  peut bien être intacte, elle ne rôde plus qu’à la surface de notre être, au hasard, et sans nous enrichir.  Jusqu’à ce que revienne soudain – quelques années plus tard peut-être – un moment où nous prenons conscience que dans l’intervalle, même si notre logique a paru en tenir compte, nous avons complètement négligé sa présence.

Oui, il est des pensées mortes et des pensées vivantes. La pensée qui se meut à la surface, dans la clarté, celle que l’on peut à tout moment ressaisir par les pinces de la causalité n’est pas nécessairement la plus vivante. Une pensée croisée sur ces chemins là vous demeure indifférente comme le premier venu dans une colonne de soldats. Une pensée qui peut avoir traversé depuis longtemps notre cerveau ne devient vivante qu’au moment où quelque chose qui n’est plus de la pensée, qui ne relève plus de la logique, s’y ajoute : de sorte que nous éprouvons sa vérité indépendamment de toute preuve, comme si elle avait jeté l’ancre dans la chair vivante, irriguée de sang … Une grande découverte ne s’accomplit que pour une part dans la région éclairée de la conscience ; pour l’autre part, elle s’opère dans le sombre humus intime, et elle est avant tout un état d’âme à la pointe extrême duquel s’ouvre comme une fleur. »

  Robert Musil, Les désarrois de l’élève Törless
trad. P. Jacottet, Seuil, Points roman, p. 231 – 232

Trop bons pour connaître les hommes ?

18 samedi Juil 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures

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bonté, connaissance d'autrui, Jean-Jacques Rousseau

C’est un lieu commun que les personnes trop gentilles peinent à discerner la méchanceté dans leur entourage faute de pouvoir imaginer chez les autres des mauvaises intentions qu’elles ne trouvent pas en elles-mêmes. Mais la bonté peut encore faire obstacle d’une autre manière, moins souvent signalée, à la connaissance des hommes. La bonté peut en effet entrer en ligne de compte dans le fameux problème de l’interaction de l’observateur avec ce qu’il observe :

« Voilà ce qui doit arriver à toutes les âmes d’une certaine trempe ; elles transforment, pour ainsi dire, les autres en elles-mêmes ; elles ont une sphère d’activité dans laquelle rien ne leur résiste : on ne peut les connaître sans les vouloir imiter, et de leur sublime élévation elles attirent à elles tout ce qui les environne. C’est pour cela, ma chère, que ni toi ni ton ami ne connaîtrez peut-être jamais les hommes ; car vous les verrez bien plus comme vous les ferez, que comme ils seront d’eux-mêmes. Vous donnerez le ton à tous ceux qui vivront avec vous ; ils vous fuiront ou vous deviendront semblables, et tout ce que vous aurez vu n’aura peut-être rien de pareil dans le reste du monde. »

J.J. Rousseau, La nouvelle Héloïse
Seconde partie, Lettre V, de Claire à Julie

Savoir flatter

17 vendredi Juil 2015

Posted by patertaciturnus in Aphorisme du jour

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duperie de soi, flatterie, La Rochefoucauld

329. On croit quelque fois haïr la flatterie, mais on ne hait que la manière de flatter.

*

Qu’est-ce qui peut nous déplaire dans la manière d’être flatté ? Il me semble qu’on peut envisager deux pistes.

1) On n’est pas satisfait des louanges parce que nous ne sommes pas loués pour les raisons pour lesquelles nous voudrions être loués. Il ne nous suffit pas d’être aimé ou admiré, nous voulons encore l’être pour des motifs particuliers.

2) On n’est pas satisfait des flatteries parce que nous ne pouvons pas croire ce qu’on dit de nous,  ou du moins croire que celui qui formule ces louanges y croit lui-même. Ce qui nous déplait alors dans la flatterie c’est son caractère malhabile qui la fait apparaître comme telle. A l’appui de cette interprétation on peut citer une autre maxime :

144. […] La louange est une flatterie habile, cachée et délicate, qui satisfait différemment celui qui la donne et celui qui la reçoit.

On ne demande qu’à se duper soi-même, encore faut-il que le flatteur soit suffisamment subtil pour nous aider à le faire. On retrouve ici le problème, déjà évoqué, de la difficulté à se faire croire ce qu’on aimerait croire de soi.

Bienvenue à nos aimables visiteurs (33)

17 vendredi Juil 2015

Posted by patertaciturnus in Bienvenue aux visiteurs, Paroles et musiques

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Cinq styles en trois versions, fado, Fernando Pessoa, Maria Teresa de Noronha

Parce qu’il n’y a pas qu’Amalia

J’ai découvert Maria Teresa de Noronha à travers ce titre sur une anthologie de Fado, dont le livret précise que Fado em cinco estilos, est le premier titre qu’elle ait enregistré  et qu’il fut un de ses plus grands succès (ce que je n’ai aucun moyen de vérifier).

L’auteur des paroles est le poète João Silva Tavares sur lequel je n’ai guère trouvé d’information (comprenez, il n’a pas de page Wikipedia), pour quelques rudiments on pourra consulter cette page (version google translate).

Fado em cinco estilos

Eu quero bem aos teus olhos
Mas muito mais quero aos meus
Pois se perdesse meus olhos
Não podia ver os teus

Se eu de saudades morrer
Apalpa meu coração
Talvez eu torne a viver
Ao calor da tua mão

Se os meus olhos te incomodam
Quando estão na tua frente
Eu prometo arranca-los
E amar-te cegamente

Gosto de cantar o fado
Acho que o fado tem raça
E que não foi só criado
Para cantar a desgraça

Se tenho medo da morte
Não tanto como supões
Tenho mais medo da vida
E das suas ilusões

On trouve sur Youtube on trouve deux variantes de ce fado, sous l’intitulé Fado corrido (ce qui, d’après ce que j’ai cru comprendre, désignerait plutôt une famille de fado traditionnel)

Dans cette version, on constate que le premier couplet de la version précédente est remplacé par celui-ci

Teus olhos contas escuras,
São duas, Avé Marias
Dum rosário d’amarguras
Que eu rezo todos os dias.

Il s’agit de la première strophe d’un poème de Pessoa lisible ici. La transcription de ce couplet donnée sur ce blog me semble donc fautive.

Dans cette version, le premier couplet est le même que celui de la version précédente, mais le premier couplet de la première est réintroduit en troisième position et se trouve ainsi chanté de manière très différente de la première version. Le couplet commençant par « Se os meus olhos te incomodam » est lui supprimé, les deux derniers couplets sont les mêmes que dans les versions précédentes.

*

Je voudrais aussi recommander le Fado das Horas dont LE blog francophone de référence sur le fado donne les paroles et la traduction.

Pour le moment

16 jeudi Juil 2015

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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joie communicative, Pierre Reverdy

Pour le moment

La vie est simple et gaie
Le soleil clair tinte avec un bruit doux
Le son des cloches s’est calmé
Ce matin la lumière traverse tout
Ma tête est une lampe rallumée
Et la chambre où j’habite est enfin éclairée

Un seul rayon suffit
Un seul éclat de rire
Ma joie qui secoue la maison
Retient ceux qui voudraient mourir
Par les notes de sa chanson

Je chante faux
Ah que c’est drôle
Ma bouche ouverte à tous les vents
Lance partout des notes folles
Qui sortent je ne sais comment
Pour voler vers d’autres oreilles
Entendez je ne suis pas fou
Je ris au bas de l’escalier
Devant la porte grande ouverte
Dans le soleil éparpillé
Au mur parmi la vigne verte
Et mes bras sont tendus vers vous

 C’est aujourd’hui que je vous aime.

Pierre Reverdy, La lucarne ovale
in Plupart du temps, Gallimard Poésie

*

Dans le recueil La lucarne ovale, Pour le moment précède immédiatement D’un autre ciel dont la tonalité affective est profondément opposée.

Crainte des contrefaçons

15 mercredi Juil 2015

Posted by patertaciturnus in Fantaisie

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Hegel, imitation, Ramón Gómez de la Serna, rossignol

« Nous ne jouissons  jamais tout à fait du chant du rossignol parce que nous ne sommes jamais tout à fait sûr qu’il s’agit d’un rossignol ».

Ramón Gómez de la Serna, Greguerías
Editions Cent pages, p. 18

« Il y a des hommes qui savent imiter les trilles du rossignol, et Kant a dit à ce propos que, dès que nous nous apercevons que c’est un homme qui chante ainsi, et non un rossignol, nous trouvons ce chant insipide. Nous y voyons un simple artifice, non une libre production de la nature ou une œuvre d’art. Le chant du rossignol nous réjouit naturellement, parce que nous entendons un animal, dans son inconscience naturelle, émettre des sons qui ressemblent à l’expression de sentiments humains. Ce qui nous réjouit donc ici c’est l’imitation de l’humain par la nature. »

Hegel, Esthétique

Griechenland

14 mardi Juil 2015

Posted by patertaciturnus in Divers vers

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Grèce, Hölderlin

Griechenland

 An St.

Hätt’ ich dich im Schatten der Platanen,
Wo durch Blumen der Cephissus rann,
Wo die Jünglinge sich Ruhm ersannen,
Wo die Herzen Sokrates gewann,
Wo Aspasia durch Myrten wallte,
Wo der brüderlichen Freude Ruf
Aus der lärmenden Agora schallte,
Wo mein Plato Paradiese schuf,

 Wo den Frühling Festgesänge würzten,
Wo die Ströme der Begeisterung
Von Minervens heilgem Berge stürzten –
Der Beschützerin zur Huldigung –
Wo in tausend süßen Dichterstunden,
Wie ein Göttertraum, das Alter schwand,
Hätt’ ich da, Geliebter! dich gefunden,
Wie vor Jahren dieses Herz dich fand,

Ach! wie anders hätt’ ich dich umschlungen! –
Marathons Heroën sängst du mir,
Und die schönste der Begeisterungen
Lächelte vom trunknen Auge dir,
Deine Brust verjüngten Siegsgefühle,
Deinen Geist, vom Lorbeerzweig umspielt,
Drückte nicht des Lebens stumpfe Schwüle,
Die so karg der Hauch der Freude kühlt.

Ist der Stern der Liebe dir verschwunden?
Und der Jugend holdes Rosenlicht?
Ach! umtanzt von Hellas goldnen Stunden,
Fühltest du die Flucht der Jahre nicht,
Ewig, wie der Vesta Flamme, glühte
Mut und Liebe dort in jeder Brust,
Wie die Frucht der Hesperiden, blühte
Ewig dort der Jugend stolze Lust.

Ach! es hätt’ in jenen bessern Tagen
Nicht umsonst so brüderlich und groß
Für das Volk dein liebend Herz geschlagen,
Dem so gern der Freude Zähre floß! –
Harre nun! sie kömmt gewiß, die Stunde,
Die das Göttliche vom Kerker trennt –
Stirb! du suchst auf diesem Erdenrunde,
Edler Geist! umsonst dein Element.

Attika, die Heldin, ist gefallen;
Wo die alten Göttersöhne ruhn,
Im Ruin der schönen Marmorhallen
Steht der Kranich einsam trauernd nun;
Lächelnd kehrt der holde Frühling nieder,
Doch er findet seine Brüder nie
In Ilissus heilgem Tale wieder –
Unter Schutt und Dornen schlummern sie.

Mich verlangt ins ferne Land hinüber
Nach Alcäus und Anakreon,
Und ich schlief’ im engen Hause lieber,
Bei den Heiligen in Marathon;
Ach! es sei die letzte meiner Tränen,
Die dem lieben Griechenlande rann,
Laßt, o Parzen, laßt die Schere tönen,
Denn mein Herz gehört den Toten an!

Hölderlin

*

Traduction partielle ici.

Add. 04/03/2017

Le lien ci-dessus n’étant plus valide, je me permets de rendre accessible ici l’extrait de traduction dont j’ignore l’auteur. Une autre traduction partielle est disponible là.

Que ne suis-je avec toi, à l’ombre des platanes,
Où l’Illissos courait parmi les fleurs,
Où la jeunesse rêvait d’exploits glorieux,
Où Socrate se conquérait les cœurs,
Où Aspasie se promenait parmi les myrtes,
Où les accents d’une joie fraternelle
Retentissaient dans les bruyantes agoras,
Où mon Platon créait des paradis.

Où des chants de fête agrémentaient le printemps,
Où déferlant en vagues enthousiastes
Montait de la montagne sainte de Minerve,
L’hommage à la divine protectrice,
Où pendant mille douces heures créatrices,
Le temps passait, comme un rêve de dieux,
Là-bas où, Bien Aimé ! je t’aurais retrouvé,
Où voilà des ans t’a connu ce cœur.

L’astre de l’amour brille-t-il pour toi encore?
Et les douces roses de la jeunesse?
Quand te berçaient les heures dorées de l’Hellade,
Tu n’as pas senti la fuite des ans,
Pareils à la flamme éternelle de Vesta,
Les cœurs brûlaient d’amour et de courage,
Fière et joyeuse, la jeunesse fleurissait
Sans fin, comme le fruit des Hespérides.

Gracq pour les Grecs

14 mardi Juil 2015

Posted by patertaciturnus in Lectures

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Commune de Paris, Julien Gracq

En attendant de continuer à dire le mal que je pense de L’hypothèse communiste de Badiou, je voudrais partager un texte qu’il m’a permis de découvrir : il s’agit d’un extrait des Lettrines où Julien Gracq commente L’insurgé de Jules Vallès.

« Marx a été indulgent pour l’état-major de la Commune, dont il avait parfaitement vu l’insuffisance. La révolution a aussi ses Trochu et ses Gamelin. La franchise de Vallès consterne, et ferait prendre en horreur cet état-major proclamationnaire, ces révolutionnaires de chand’vins sur le passage desquels crachaient, les derniers jours de la semaine sanglante, les barricadiers les Belleville. Il n’y a pas d’excuse à mener même le bon combat quand on le mène si légèrement.

Une espèce de nausée atroce monte à suivre la chienlit ubuesque et pathétique des dernières pages, où le malheureux délégué de la Commune, son écharpe qu’il n’ose plus montrer serrée sous le bras dans un journal, sorte d’irresponsable de quartier, de Charlot pétroleur sautillant entre les éclats d’obus, erre comme un chien perdu d’une barricade à l’autre, inapte à quoi que ce soit, rudoyé par les blousiers qui montrent les dents, distribuant à la diable des bons de harengs, des bons de cartouches et des bons d’incendie, et implorant de la foule hargneuse qui le serre de trop près, furieusement secouée dans le pétrin où il l’a mise, — piteusement, lamentablement — « Laissez-moi seul, je vous prie. j’ai besoin de penser tout seul ».

Dans son exil de courageux irresponsable, il a dû quelquefois se réveiller la nuit et entendre encore ces voix tout de même un peu sérieuses de gens qui vont se faire trouer la peau dans quelques minutes, et qui lui criaient si furieusement de la barricade: « Où sont les ordres? où est le plan? » »

Julien Gracq, Lettrines, Pléiade II, p. 205

Cherchez l’intrus

12 dimanche Juil 2015

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– Eurozone

– Grexit

-Wolfgang Schäuble

– Espoir

Merci Pierre pour la forme

Merci Paul pour le fond

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