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« Lorsqu’on n’a point depuis longtemps rendu visite à une amante, qu’on imagine quel doit être son ressentiment, et, conscient de sa propre négligence, qu’on ne sait plus comment s’excuser, c’est un rare bonheur de recevoir d’elle un message disant par exemple : « auriez-vous un laquais à me prêter? » Quelqu’un me vantait l’agrément de personnes d’aussi bonne nature – et à fort juste titre! »
Urabe Kenkô, Les heures oisives, XXXVI
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